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Abnormal Report
10 juin 2019

La BNA et la Banque algérienne du commerce extérieur de Zurich épinglées pour corruption !

  

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 Selon Rachid Nekkaz l'Algérie aurait donné ses richeses à la France gratuitement , et si cela étiat vrai il est fort possible que Sarkozy ayant détruit la Libye et fait assassiner Kadhafi a fait du chantage à l'Algérie en 2011 et en 2012 ?

 

  Selon Saidani l'Algérie aurait engrangé en cette période plus de 1500 milliards de dollars !

 

  Bedjaoui serait un proche de Sarkozy et aurait obtenu de la BACE et de la BNA plus de 1400 milliards de dollars pour jouer à la bourse aux USA ?

Depuis sa luxueuse résidence d’Emirates Hills à Dubaï, Farid Bedjaoui attend des nouvelles d’Italie. Sous le coup de deux mandats d’arrêt internationaux lancés par les justices italienne et algérienne en 2013, il s’est réfugié aux Émirats arabes unis.

Au terme d’une enquête internationale qui aura duré près de quatre ans, les magistrats italiens accusent Farid Noureddine Bedjaoui, 46 ans, de nationalités algérienne, canadienne et française, d’avoir servi d’intermédiaire pour l’obtention de ces contrats contre 197,9 millions d’euros de commissions.

Selon les procureurs, une part de ce pactole a servi à corrompre des responsables de Saipem ainsi que Chakib Khelil, ex-ministre algérien de l’Énergie et des Mines réfugié aux États-Unis.

Une autre partie aurait permis d’acquérir des oeuvres d’art et des biens immobiliers en France, aux États-Unis, au Canada, aux Émirats ou aux Bahamas. Si la juge, qui a accordé un mois à la défense pour étudier le dossier, validait les accusations de De Pasquale, Bedjaoui pourrait écoper de lourdes peines.

Si en revanche Clemente concluait que les pièces à conviction ne constituent pas des preuves probantes, il pourrait s’en tirer avec des peines financières plutôt légères au regard du scandale.

L’histoire commence en février 2011 lorsque le parquet de Milan lance des investigations sur ces fameux contrats. Lors de la perquisition du domicile de Pietro Varone, ex-dirigeant de Saipem poursuivi dans cette affaire, les magistrats découvrent des documents liés à une convention signée le 17 octobre 2007 par Saipem avec la firme Pearl Partners, domiciliée à Hong Kong et appartenant à Farid Bedjaoui, neveu de Mohamed Bedjaoui, ancien ministre algérien des Affaires étrangères.

  

Les banques publiques algériennes qui ont joué le rôle de « facilitatrices » dans le système de corruption mis en place par le duo Chakib Khelil, ancien ministre algérien de l’Energie et des Mines, et Farid Bedjaoui, le « neveu du système », comme se plaisent à le qualifier ironiquement les juges milanais en charge du dossier Saipem-Sonatrach.

Ces documents prouvent de manière claire que Chakib Khelil et la famille Bedjaoui ont utilisé des banques publiques en Algérie, dont aussi la Banque Extérieure d’Algérie (BEA), par le biais de sa filiale suisse, la banque algérienne du Commerce extérieur, basée à Zurich, pour détourner pour leur propre compte des sommes d’argent qui dépassent l’imagination.
La BACE détenait l’argent de la Présidence, du groupe Sonatrach et d’importantes institutions de l’Etat, dont la Défense, la Sûreté nationale.
Jusque-là restées en retrait des scandales qui ont mis en cause Khelil et son clan, ces banques dévoilent au grand jour une corruption à grande échelle, et qui n’aurait pu être menée à son terme sans l’inaction coupable contre ces entourloupes de la part du ministre des Finances de l’époque, à savoir Abdelatif Benachenhou, du PDG de la Banque extérieure d’Algérie (BEA) – réputée être la banque de Sonatrach – et du PDG de la Banque nationale d’Algérie (BNA), qui est aussi un des patrons de la Banque algérienne du commerce extérieur (BACE).
La Banque algérienne du commerce extérieur, dont le siège se trouve à Zurich, en Suisse, est détenue à 50% par la BNA. Elle a été à la source du transfert en plusieurs tranches, pour le compte de la BEA, des 3 milliards de dollars de Sonatrach dans les caisses de Rayan Asset Management, qui a fait vite de transférer les mêmes fonds dans les caisses de Russells Investments.
La Banque algérienne du commerce extérieur est une banque organisée en tant que société anonyme suisse en mains étrangères, spécialisée dans les opérations de financement du commerce extérieur entre les pays européens, notamment, et l’Algérie. La banque se décrit comme une « passerelle financière » entre la Suisse et l’Algérie. La Banque nationale d’Algérie (BNA) et le Fonds national d’investissement sont les actionnaires de la banque.
La Banque algérienne du commerce extérieur SA, Zurich (BACE) est une banque de droit suisse spécialisée depuis des dizaines d’années dans les opérations de financement du commerce extérieur – spécialement les crédits documentaires – entre les pays européens notamment et l’Algérie.
Véritable «passerelle financière» avec l’Algérie, la BACE constitue un atout important et certain pour les activités et les échanges internationaux. Jusque-là, la BACE a été maintenue hors scandales…

Annane Imad-EddineJusque-là restées en retrait des scandales qui ont mis en cause Khelil et son clan, ces banques dévoilent au grand jour une corruption à grande échelle, et qui n’aurait pu être menée à son terme sans l’inaction coupable contre ces entourloupes de la part du ministre des Finances de l’époque, à savoir Abdelatif Benachenhou, du PDG de la Banque extérieure d’Algérie (BEA) – réputée être la banque de Sonatrach – et du PDG de la Banque nationale d’Algérie (BNA), qui est aussi un des patrons de la Banque algérienne du commerce extérieur (BACE).

Les banques publiques algériennes qui ont joué le rôle de « facilitatrices » dans le système de corruption mis en place par le duo Chakib Khelil, ancien ministre algérien de l’Energie et des Mines, et Farid Bedjaoui, le « neveu du système », comme se plaisent à le qualifier ironiquement les juges milanais en charge du dossier Saipem-Sonatrach.
Ces documents prouvent de manière claire que Chakib Khelil et la famille Bedjaoui ont utilisé des banques publiques en Algérie, dont aussi la Banque Extérieure d’Algérie (BEA), par le biais de sa filiale suisse, la banque algérienne du Commerce extérieur, basée à Zurich, pour détourner pour leur propre compte des sommes d’argent qui laissent interdits.
La BACE détenait l’argent de la Présidence, du groupe Sonatrach et d’importantes institutions de l’Etat, dont la Défense, la Sûreté nationale.
Jusque-là restées en retrait des scandales qui ont mis en cause Khelil et son clan, ces banques dévoilent au grand jour une corruption à grande échelle, et qui n’aurait pu être menée à son terme sans l’inaction coupable contre ces entourloupes de la part du ministre des Finances de l’époque, à savoir Abdelatif Benachenhou, du PDG de la Banque extérieure d’Algérie (BEA) – réputée être la banque de Sonatrach – et du PDG de la Banque nationale d’Algérie (BNA), qui est aussi un des patrons de la Banque algérienne du commerce extérieur (BACE).
La Banque algérienne du commerce extérieur, dont le siège se trouve à Zurich, en Suisse, est détenue à 50% par la BNA. Elle a été à la source du transfert en plusieurs tranches, pour le compte de la BEA, des 3 milliards de dollars de Sonatrach dans les caisses de Rayan Asset Management, qui a fait vite de transférer les mêmes fonds dans les caisses de Russells Investments.
La Banque algérienne du commerce extérieur est une banque organisée en tant que société anonyme suisse en mains étrangères, spécialisée dans les opérations de financement du commerce extérieur entre les pays européens, notamment, et l’Algérie. La banque se décrit comme une « passerelle financière » entre la Suisse et l’Algérie. La Banque nationale d’Algérie (BNA) et le Fonds national d’investissement sont les actionnaires de la banque.
La Banque algérienne du commerce extérieur SA, Zurich (BACE) est une banque de droit suisse spécialisée depuis des dizaines d’années dans les opérations de financement du commerce extérieur – spécialement les crédits documentaires – entre les pays européens notamment et l’Algérie.
Véritable «passerelle financière» avec l’Algérie, la BACE constitue un atout important et certain pour les activités et les échanges internationaux. Jusque-là, la BACE a été maintenue hors scandales…

La Banque Algérienne du Commerce Extérieur a été créée le 06 Juin 1981 à Zurich en Suisse. L’actuel Président du conseil d’administration de la BACE, Mr Achour ABBOUD, est également PDG de la BNA.

Nous retrouvons également Ahcène HADDAD, Directeur Général du FNI, comme membre du conseil d’administration de la BACE. La BACE s’est spécialisée depuis des dizaines d’années dans les opérations de financement du commerce extérieur – spécialement les crédits documentaires entre les pays européens notamment et l’Algérie.

 

La Banque Algérienne du Commerce Extérieur est une banque commerciale de droit suisse, installée exclusivement sur le territoire helvétique depuis plus de 36 ans. Elle ne possède pas de filiale, succursale ou de bureau de représentation.

Cette banque de droit Suisse est autonome, même si son capital est détenu par la BNA à hauteur de 50 % du capital et le fonds national des Investissements (FNI) pour le reste du capital qui s’élève à 200 millions de Francs suisses.

Avec sa propre licence, la BACE opère indépendamment et le principe de consolidation des entités n’est pas applicable. Elle obéit, d’ailleurs, aux règles suisses et aux recommandations relatives ou régissant les activités financières en général.

Ainsi, la banque s’est engagée à ne pas procéder ou soutenir des activités de blanchiment et de fonds provenant d’activités illicites : corruption, terrorisme… comme nous le montrent les documents que nous vous exposons.

La BACE serait un prolongement logique de l’affaire des comptes de Khider qui abritaient l’équivalent de 60 millions de francs suisses, ouverts à la Banque Commerciale Arabe à Genève (BCA) depuis la guerre pour l’indépendance comme le démontre ce document :

 

C’est Zoheir Mardam Bey, le fils du fondateur de la banque et ‘’ami’’ de Khider qui dirigeait la BCA lorsque l’affaire dite du « trésor du FLN » éclatera et qui précipitera l’expulsion du dirigeant algérien de Suisse.

L’Algérie, en Juin 1973, comme vous pouvez le lire sur les documents que nous vous proposons, après une longue bataille juridique et un scandale international, a pu avoir gain de cause et récupérer ce trésor de guerre dont le montant avoisinait les 43 millions de francs suisses à l’époque, et surtout hériter d’une banque en Suisse.

La BACE n’en aura pas fini, pourtant, avec les scandales puisqu’elle a été à nouveau impliquée dans l’affaire les transferts illicites de pots de vin de la Sonatrach sous l’ère de Chakib Khelil.

Nous vous rappelons qu’à partir de 2003, Chakib Khelil, alors ministre de l’Energie et P-DG de Sonatrach, confia au fonds d’investissement américain Russel Investment et plus précisément à sa succursale basée à Dubaï et dirigée par Farid Bédjaoui, Rayan Asset Management, la gestion du portefeuille de titres diversifié, pour près de trois milliards de dollars selon les dernières estimations.

Et c’est précisément la BACE  qui avait été chargée de «transférer» les fonds de Sonatrach dans les caisses de la Rayan Asset Managment !

Les comptes de cette banque, pourtant approuvés, comportent des postes et des comptes qui ont suscités l’étonnement d’experts comptables, tels les dépenses d’exploitation liées à l’informatique et à la communication, qui s’élèvent pour l’année 2016 à près d’1,5 millions de francs suisses ! Ce document rend compte de ces dépenses qui soulèvent de nombreuses interrogations et explique que les bénéfices de cette banque algérienne dépassent les 4 millions de francs suisses en 2016. Comment est géré cet argent ?
Alors la responsabilité des dirigeants de cette banque n’était-elle pas engagée dans la mesure où personne n’a attiré l’attention du gouvernement algérien, la banque d’Algérie sur les transferts illicites?

Ahcène HADDAD, l’inamovible Directeur du FNI et membre permanent du conseil d’administration de la BACE ne doit-il pas rendre des comptes pour son silence sur l’utilisation de la banque pour transférer des fonds dans une affaire de corruption et de blanchiment alors que, comme précisé plus haut la, BACE a pris un engagement ferme vis-à-vis de la loi Suisse et Algérienne ?

Enfin qu’en est-il de la fiscalisation des différentes rémunérations des membres du conseil d’administration ? ou du personnel? Les déclarations seraient elle soumises taxation en Algérie ?

Les fonds de cette banque appartenant au sacrifice du peuple algérien pendant la guerre de libération et remis aux dirigeants du FLN comme soutien de la cause nationale seront-ils soumis à un audit sérieux quant à leur exploitation et utilisation?

Une part des bénéfices ne pourrait-elle pas servir à financer des bourses d’études aux meilleurs de nos élèves à l’étranger par exemple ?

Il y a dans notre pays des magistrats, des élites, des personnes intègres et compétentes qui pourraient soutenir cette honorable cause.

 

 

Depuis l’arrivée du président Bouteflika en 1999, l’Algérie est dans un processus antirévolutionnaire continu. Tout le désert algérien n’appartient plus à l’Algérie, il appartient aux multinationales étrangères, dont la majorité sont des multinationales françaises et américaines. C’est pourquoi aujourd’hui l’Algérie est obligée d’exploiter du gaz de schiste. L’Algérie a, par exemple, été obligée d’augmenter les prix de l’essence et du gasoil de 35% en janvier parce qu’il n’y avait plus assez d’argent.

Ainsi selon Rachid Nekkaz l’Algérie aurait cédé sans aucune contrepartie les champs de gaz de l’Adrar dont 65 pourcent seraient détenus par gaz de France et 35 pourcent à des fonds de pension israéliens !
Ce n’est pas tout des gisements de Hassi R’mel et Hassi Messouad aurait été cédé à une société écran italienne proche de Berlusconi et Sarkozy !
Chekib Khelil dés 2002 a donné les gisements de l’Adrar a gaz de France sans aucune contrepartie au peuple algérien lui aurait reçu 250 millions en Suisse pour cette spoliation du peuple algérien au profit de la France !

  
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