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Abnormal Report
28 juillet 2017

Les erreurs médicales sont la première cause de mortalité en Algérie !

Le génocide médical du peuple algérien

Algerie: Qui travaille a l" Hopital de Constantine..? 06.06.2014

Source: Externe

 Les erreurs médicales sont trés fréquentes en Algérie on peut soupçonner une volonté de génocide du peuple algérien tout entier et un trafic d'organes du gouvernement sataniste et d'autres pays comme le Maroc la Tunisie la Suisse et la France!
Les médecins en Algérie ont une impunité totale ils ont le droit de tuer des musulmans comme s'il s'agissait de simples grenouilles selon un dicton populaire en Algérie les chirurgiens s'entrainent d'abord sur des être humains puis opérent des grenouilles ! Il n'est pas rare qu'en absence du chirurgien on ne se fasse opérer par la femme de ménage !

Enquête sur les erreurs médicales en algerie

L'Algérie fagocitée par des agents marocains du Mossad et Makhzen a les pires  hôpitaux et maternités au monde les médecins et chirurgiens disposent d'une impunité totale ils tuent des milliers de personnes chaque année pour de simples appendicites.L'erreur médicale est la première cause de mortalité en Algérie comme aux USA pays de l'argent roi!

  De riches suisse vont à l'hôpital de Constantine pour avoir des greffes d'organes pas de probléme la racaille terroriste du Maroc peut en prélever sur la population indigéne complétement inconsciente des dangers qui la menace!


En l'absence de statistiques officielles, des milliers de plaintes pour erreurs médicales sont déposées chaque année, seule une centaine a été jugée recevable par le Conseil de déontologie. Les erreurs sont plus fréquentes dans les services de gynécologie, de chirurgie et de réanimation. Le principe de déontologie médicale qui veut que 

“le médecin a obligation de moyens et non de résultat” trouve tout son sens en Algérie avec un système de santé qui a du mal à satisfaire une demande toujours croissante.
Si nos médecins réussissent des exploits, en revanche beaucoup d'erreurs, pour ne pas dire de fautes, sont commises. Où commence et où se termine la responsabilité médicale ? Quels sont les droits du malade et à quelle prise en charge peut-il prétendre ? Car dans les établissements, publics et privés, un silence total entoure les fautes commises. À l'heure de la réforme hospitalière, les erreurs médicales sont toujours un sujet tabou en Algérie.
C'est depuis le centre hospitalier de Hussein Dey, ex-Parnet, que le premier cri de détresse nous est parvenu. Une lettre adressée au procureur de la république de la circonscription de Hussein-Dey, en date du 30 octobre, demandant l'ouverture d'une enquête suite à une “négligence” qui a failli coûter la vie à Mme B. Meriem.
Dans sa missive, la jeune parturiente, âgée de 21 ans, dénonce une “négligence et non-assistance à personne en danger”.
Contactée à cet effet, la famille de la plaignante soutient cette requête et demande que réparation soit faite. “Ma nièce a été admise au service gynécologie samedi soir. À 5h30 du matin, elle nous appelle pour nous informer qu'elle était sortie de la salle de travail et que son accouchement s'était passé dans les meilleures conditions”. Deux heures plus tard, Meriem rappelle sa famille. “Elle était en pleurs et disait qu'il y avait du sang partout. J'accours à l'hôpital pour l'aider à faire sa toilette et lui changer de vêtements et de draps. Je pensais que c'était normal pour une femme qui venait d'accoucher. Je l'ai quittée aux environs de
8h pour rejoindre mon travail”, dira la tante de Meriem.
Mais la jeune maman n'est pas au bout de ses peines. L'hémorragie continue et elle sera conduite au bloc à deux reprises. “Il n'y avait personne pour s'occuper d'elle, elle est restée sans aucune assistance. C'est une autre patiente qui partageait sa chambre qui a alerté les médecins. Elle est alors conduite au bloc une première fois et une deuxième fois suite à l'intervention du professeur chef de service”, poursuit notre interlocutrice, qui précisera que sa nièce sera admise le lendemain au service de réanimation. Elle y passera trois jours.
S'agit-il réellement de négligence ou simplement de complications survenues après l'accouchement ? L'affaire est désormais entre les mains de la justice. Mais les témoignages qui concernent les cas de négligence ou d'erreurs ne manquent pas. Le calvaire de Meriem dans cette grande structure hospitalière d'Alger n'est pas un cas isolé. Vendredi 20 octobre, M. B. Zouina, 73 ans, est évacuée en urgence au CHU Bab El-Oued. Elle souffre de douleurs abdominales et de vomissements. Le médecin diagnostique une gastrite et prescrit une injection de Ranitidine. Son fils, qui est dans le domaine médical, demande une échographie abdominale. “Le médecin m'a tout simplement dit qu'il s'agissait d'une gastrite et qu'une échographie était inutile. J'ai tout de même insisté pour faire l'échographie à titre externe”, dira le fils de la malade.
Samedi 21 octobre, Mme Zouina fait son échographie et le radiologue constate une occlusion au niveau de l'abdomen. Il recommande le transfert de la patiente aux urgences chirurgicales. “Je reconduis ma mère au CHU Bab El-Oued, au service des urgences chirurgicales. Là encore, le médecin en service pense à une gastrite. Je demande à une assistante de la chirurgie de faire une consultation. Elle refuse et me demande de déplacer ma mère au service où elle travaille, mais qui malheureusement se trouve au deuxième étage. Malgré tout, je monte les deux étages sans aucune assistance avec ma mère clouée à sa chaise, déshydratée et pratiquement inconsciente. Tout cela va durer de 9h du matin jusqu'à 17h. N'en pouvant plus, je conduis ma mère à l'hôpital Birtraria. Une autre résidente, qui a procédé à une énième consultation, me dit qu'elle ne peut rien faire et que les explorations doivent être faites à titre externe”.
Le soir même, la vieille dame est évacuée à l'Hôpital central de l'armée à Aïn Naâdja, où toutes les explorations seront faites et où elle sera déshydratée durant la nuit.
Dimanche 22 octobre, aux premières heures, elle sera opérée pour “occlusion intestinale aiguë et ovaire infecté”. “Ma mère a eu la chance d'avoir un fils militaire et, par conséquent, peut bénéficier d'une prise en charge médicale de qualité. Sans laquelle elle n'aurait pu s'en sortir. Elle a souffert le martyre et a failli y passer à cause de la négligence de nos médecins”.
Des victimes de la mauvaise prise en charge médicale, il y en a beaucoup ; le cas de cette vieille dame de Batna qui, à 71 ans, traîne un gonflement du bras depuis 5 années suite à une ablation du sein. Chaque jour des affaires du genre défraient la chronique. La plus récente peut-être est celle rapportée par un confrère, dont la victime, le jeune Idir Nabil, âgé d'une vingtaine d'années, admis en 2004 à hôpital Khelil-Amrane de Béjaïa pour une simple fracture du fémur, suite à un accident de la circulation, et qui décédera cinq jours plus tard dans des “circonstances énigmatiques”. Si les familles de Meriem et de Nabil ont eu le courage de porter l'affaire devant la justice, en revanche beaucoup de parents n'osent pas le faire.
Ignorance, fatalisme et absence de preuves… que faire ?
Si dans le passé, l'Algérien ne connaissait pas ses droits et se contentait de subir l'indifférence et la négligence de certains médecins et paramédicaux, les choses ont relativement évolué aujourd'hui. Les gens ont de plus en plus recours à la justice lorsqu'ils soupçonnent une erreur ou une négligence. “Contrairement à ce qu'on voyait dans le passé, on constate une véritable prise de conscience chez les Algériens. Beaucoup de familles, lorsqu'elles soupçonnent une négligence ou une mort suspecte, n'hésitent pas à déposer une plainte. Des milliers de plaintes sont ainsi enregistrées chaque année à travers tout le territoire”, souligne le professeur Laïdli, chef de service de médecine légale au CHU de Bab El-Oued.
Malgré cette prise de conscience, l'Algérien est loin de connaître ses droits et de demander par conséquent réparation, contrairement à ce qui se fait ailleurs.
“Il y a trois ans de cela, mon fils a été victime d'une grave négligence médicale. Il souffrait d'une fracture qui a été mal prise en charge. L'indifférence et les avis contradictoires de nos médecins nous ont contraints à le transférer en France. Je n'oublierai jamais le mépris auquel j'ai été confrontée. Nous sommes obligés, à ce jour, de le prendre pour le contrôle avec tout ce que cela implique comme moyens financiers”, confie la maman de Adlane.
Si la maman est convaincue qu'il s'agissait de négligence, elle n'a à ce jour intenté aucune procédure au niveau de la justice. “Pour mener une action en justice, il faut avoir une preuve, pensez-vous que je pouvais me procurer cette preuve? Et puis, à l'époque, l'urgence, c'était de réduire le risque que courait mon fils et qu'il puisse s'en sortir sans grande infirmité”, poursuit la maman qui, tout en reconnaissant les efforts consentis par notre corps médical et paramédical, n'a pas manqué de souligner son indignation quant à la prise en charge, surtout au niveau psychologique, dans nos établissements hospitaliers.
“Il y a beaucoup d'erreurs qui sont commises dans le silence le plus absolu et qu'on n'ose même pas reconnaître. Les familles des victimes, souvent de niveau d'instruction et social modeste, ont peur de revendiquer ou de dénoncer. Ils préfèrent s'en remettre à la volonté divine et au mektoub”, déplore un surveillant médical. Notre interlocuteur, qui exerce depuis presque une trentaine d'années dans un grand hôpital de la capitale, ne manque pas de s'indigner du laxisme qui s'est propagé parmi le corps médical et la négligence du personnel paramédical, une culture nouvelle qui s'est développée au cours des dernières années. “Avant, les gens étaient dévoués, ils s'investissaient réellement dans leur travail, même si le manque de moyens était flagrant. Aujourd'hui les choses ont changé, les médecins sont moins disponibles, moins attentionnés et surtout moins motivés. Si le médecin en consultation est absent, on préfère reporter tous les rendez-vous, sans se soucier de la santé des malades. Il m'arrive de supplier un médecin pour prendre en charge un patient, afin d'éviter à ce dernier un autre déplacement. Il y a de plus en plus d'erreurs aussi parce que des internes se retrouvent à faire le travail des résidents ; ne sachant quoi faire ils se contentent de faire des évacuations”.
Ne niant pas l'existence d'erreurs médicales, le professeur Laïdli minimise toutefois leur ampleur et affirme que tous les cas qu'il a eu à traiter relèvent essentiellement du civil et jamais du pénal. “L'erreur médicale dans notre pays est un sujet tabou, il est aussi très difficile de prouver cette erreur. Sur les milliers d'affaires qui arrivent au niveau de la justice, peu d'entre elles concluent à une faute médicale.”
Notre législation, qui garantit le droit au recours à la justice en cas de préjudice, ne garantit, malheureusement, pas l'aboutissement de la procédure judiciaire, cette dernière étant étroitement liée à la présence de preuves matérielles, qui sont généralement portées sur les dossiers médicaux des patients, auxquels seul le personnel en service a accès.
Les services de gynécologie, de chirurgie et de réanimation les plus concernés
En dépit de l'absence de statistiques, de données et d'études sur l'erreur médicale dans nos établissements hospitaliers, publics et privés, il est néanmoins facile de cerner les services où les erreurs médicales sont les plus dénombrées. “Le plus grand nombre d'erreurs que j'ai eu à traiter dans le cadre de l'expertise médicale relève du domaine de la gynécologie obstétrique et de la chirurgie”, soulève le professeur Laïdli. Le responsable du service de médecine légale du CHU Bab El-Oued souligne également que le plus grand nombre d'erreurs émane du secteur privé. Dans le privé comme dans le public, ce sont les mêmes services qui sont concernés. “Au niveau de notre hôpital, le plus grand nombre d'incidents est enregistré dans les services de gynécologie, de réanimation et de chirurgie. Concernant la gynécologie, le problème se pose pour les grossesses qui nécessitent des césariennes et où la décision est souvent prise en retard. Je peux parler d'un cas que nous avons reçu il n'y a pas longtemps. Une maman avait un gros bébé et, par conséquent, il fallait procéder à une césarienne. Mais la sage-femme a préféré attendre et la parturiente a accouché par forceps. Malheureusement, le bébé est décédé quelques jours après”, confie le surveillant médical. Il soulignera par la même occasion la gravité de la situation que vivent particulièrement les services de gynécologie, où le nombre d'accouchements quotidiens dépasse la trentaine dans certaines structures hospitalières. “Comment peut-on imaginer que des infections nosocomiales ne se développent pas dans nos services quand le nombre d'accouchées est le double de ce que peut accueillir le service ?”
Infections nosocomiales, complications à l'accouchement, grossesses à risque… sont autant de causes évoquées dans les cas de décès de bébés et où il est pratiquement impossible de prouver l'erreur médicale. Si les services de gynécologie tiennent la tête du hit-parade d'erreurs médicales, les services de chirurgie arrivent en deuxième position.
Esprit de corporation… à quel prix ?
“Sur toutes les affaires que j'ai eu à traiter, celles relevant du pénal sont pratiquement inexistantes”, affirme le professeur Laïdli. Le même constat est fait par les docteurs Abane et Bekkat, respectivement présidents de l'ordre des chirurgiens-dentistes et des médecins.
On pourrait presque se réjouir de ce constat, mais comment expliquer aux parents du jeune Nabil que l'on puisse mourir d'une fracture ? Comment expliquer que les morts en série de bébés sont toujours dues à des infections nosocomiales ? Comment justifier qu'une gastrite dégénère en l'espace de quelques heures et qu'on se fasse opérer pour occlusion intestinale aiguë ? Autant de questions auxquelles seuls les médecins peuvent répondre et devant lesquelles les familles restent sans le mot.
Mais admettre une erreur, c'est aussi admettre une responsabilité que les plus grands hôpitaux du monde fuient.
“On est tous responsables, même s'il est difficile d'admettre une erreur quand il s'agit de la vie des gens. Généralement, les gens préfèrent se taire, un professeur juge qu'il est de son devoir de protéger ses médecins et c'est compréhensible. Mais il est inadmissible de couvrir des médecins qui récidivent dans l'erreur”, dira le surveillant médical. Notre interlocuteur souligne particulièrement les problèmes liés à la formation durant laquelle les médecins en internat sont livrés à eux-mêmes. Une formation solide, c'est aussi le point de départ pour une bonne médecine, insiste le professeur Laïdli. “Dans notre service, nous recevons des étudiants auxquels nous dispensons une formation de trois semaines en médecine légale et de la responsabilité qui découle de l'acte médical”. Dans différentes structures hospitalières, la même question revient parmi le personnel paramédical. “Pourquoi couvrir les médecins et pas les infirmiers ? Pourtant les erreurs des médecins ont des conséquences plus graves.”
Si le personnel paramédical dénonce l'indulgence des responsables de service à l'égard des médecins, ces derniers s'interrogent sur le contrôle auquel sont soumises les cliniques privées. “C'est bien de parler des erreurs médicales dans le milieu hospitalier, mais il faut aussi voir du côté des cliniques privées. Récemment, nous avons été sollicités par une clinique pour l'emprunt d'une couveuse. Des évacuations, nous en recevons très souvent. Les gens paient cher pour se retrouver en cas de complications renvoyés vers les hôpitaux publics”, souligne un médecin.
Qu'il s'agisse de médecins ou d'infirmiers, du secteur public ou de celui du privé, comment peut-on se taire lorsque des vies humaines sont en jeu ?
Si le manque de moyens est le premier problème dont souffrent nos établissements hospitaliers, qui ne disposent que de 73 dollars US par an et par habitant (rapport de l'OMS, 2004), une véritable crise de confiance médecin-patient s'est bel et bien installée.

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