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Abnormal Report
14 septembre 2017

L'agent de l'étranger Ouyehia insulte le peuple algérien de chiens et de cafards !

 

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Ouyehia l'un des hommes les plus corrompu en Algérie aurait fini par reconnaitre posséder 1700 bus en Algérie; tout le monde sait qu'en Algérie en ayant un seul bus et une seule ligne attribué par le gouvernement on peut en fait en faire rouler trois avec les mêmes plaques minéralogiques et ainsi multiplier ses gains par trois en ne payant des taxes que pour un seul bus !

 C'est un homme mal élevé une crapule sans éducation qui ne sait ni parler ni être présentable alors qu'il gagne plus d'un million d'euro par mois uniquement grâce à ses activités en Algérie de transport de passagers et sa domination sur le réseau de transport algérien il a osé insulter le peuple algérien de cafards donc d'insectes nuisibles et de chiens qu'il fallait affamer pour les manipuler et briser leur volonté !

 Il ne posséde aucun niveau d'étude et travaillerait en fait pour les services secrets étrangers comme le Maroc !

 

Il déteste tout le monde et tout le monde le déteste il est raciste contre tous les africains et les musulmans !

 

 Il a osé insulter le peuple algérien de cafards avec Khalida Toumi et de chiens alors qu'il gagne au moins 1 millions d'euros grâce au peuple algérien !

   Ouyehia n'as jamais critiqué la France ou demandé à la France des comptes pour le génocide et le pillage du peuple algérien à la France et de ses tentatives d'obliger le peuple algérien à devenir catholique et à éffacer son histoire !

 

 Il a insulté le peuple algérien en le comparant à un chien qu'il fallait dresser par la famine et le fouet et un peuples de cafards !Et cet individu abject et répugnant  voudrait devenir président de l'Algérie alors qu'il sait à peine lire et écrire bref un crétin fini et ce alors qu'il déteste le peuple algérien  !

 

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M. Ahmed Ouyahia adore les taxes. Après avoir introduit la vignette automobile, il impose une nouvelle taxe sur les véhicules neufs.

La décision est aussi cynique qu'un bureaucrate, aussi sèche qu'un fonctionnaire en fin de carrière. Elle révèle mieux M. Ahmed Ouyahia que son programme politique, programme qu'il s'est, du reste, abstenu de présenter et de faire voter à l'Assemblée nationale, comme le prévoit la Constitution.

Présentée comme une mesure destinée à encourager le transport public, la décision d'imposer de nouvelles taxes pour l'achat de véhicules neufs, prise par le gouvernement en pleine canicule, est aussi improductive qu'inutile. Elle confirme aussi une tendance qui s'est installée dans le pays : le penchant des hauts responsables à prendre des décisions sans étude ni réflexion préalable sur les conditions à réunir et l'impact de leur choix. Pire encore, ces « études » se limitent souvent à de simples argumentaires destinés à justifier des choix parfois absurdes.

La décision de M. Ouyahia présente au moins dix raisons d'être critiquée :

1. La décision a été prise de manière brutale. Du jour au lendemain, le prix des véhicules augmentent de dix pour cent pour les moins chers, ce qui constitue une marge énorme. Dans la catégorie sociale intéressée, celle acheteurs des véhicules à 500.0000 dinars, cela représente deux à trois mois de salaire.

2. Des décisions d'un tel impact sur le budget familial déstabilisent les ménages concernés, et discréditent le gouvernement qui les prend. Elles installent la méfiance envers les gouvernants, et contribuent à éliminer le peu de visibilité encore possible. Qui garantit que le même gouvernement ne prendra pas des décisions similaires sur le logement, sur le prix du carburant, celui du pain ou du lait, des prix dont le niveau actuel est contestable ? Ce manque de visibilité constitue un handicap central pour tout investisseur, qui a besoin de savoir où il va, à quel rythme y aller, et dans quelles conditions.

3. Officiellement, l'argent collecté à la faveur de la nouvelle taxe serait destiné au financement du transport public. L'objectif est noble. Mais il contredit tout ce qui se fait par ailleurs. On ne peut affirmer vouloir relancer le transport public quand le principal projet du pays est une autoroute, quand tout équipement public est délabré, et quand un gouvernement n'arrive pas à faire démarrer un train : le nouvel autorail Alger-Chlef devant être mis en service cette semaine n'a pu prendre le départ. Quelle que soit la raison avancée, augmenter le prix de la voiture avant la mise en service du train et du bus est une erreur.

4. Un gouvernement peut augmenter la fiscalité, à trois conditions : il doit avoir besoin de ces nouvelles ressources, avoir la capacité de les utiliser, annoncer au préalable, dans une campagne électorale, ses intentions en la matière. Le gouvernement algérien n'a pas besoin de recettes supplémentaires. Il a de l'argent à ne savoir qu'en faire, et les institutions susceptibles de transformer l'argent en richesses ou en bien-être n'existent pas. Au pire, le gouvernement va collecter ces nouvelles taxes pour les gaspiller, ou les transférer au profit d'une clientèle du pouvoir. Au mieux, il va les déposer en bons du trésor américain, et contribuer à alléger le déficit budgétaire des Etats-Unis.

5. Le gouvernement affirme que la taxe sera répartie entre l'acquéreur du véhicule et le concessionnaire. L'affirmation est évidemment fausse. Le concessionnaire va simplement répercuter la valeur de la taxe sur le prix, et conserver intégralement sa marge bénéficiaire. Il va même gagner davantage : en introduisant la nouvelle taxe dans le prix, et en gardant la même marge bénéficiaire, il va gagner davantage !

6. La décision vise a priori tous les véhicules, mais ce sont les voitures d'entrée de gamme qui sont visées. La nouvelle mesure n'aura aucun effet sur l'acquéreur d'un véhicule 4x4 à un demi-milliard. Par contre, les ménages à bas revenu devront faire des sacrifices supplémentaires pour accéder à la voiture.

7. Le propriétaire d'un véhicule est surtaxé. Il paie la vignette, le droit de stationner, avec toutes les rues du pays qui sont squattées, et la nouvelle taxe.

8. Le gouvernement est incapable d'améliorer la rentabilité fiscale, en s'attaquant à la fraude et à la corruption. Il préfère donc avoir recours aux méthodes primaires, les plus faciles : taxer à la source. L'abondance de ces taxes va détourner l'administration fiscale de l'effort qu'elle serait amenée à faire pour assurer une meilleure collecte des impôts.

9. La nouvelle taxe aurait pour objectif d'inciter au lancement d'une industrie automobile en Algérie. L'argument est recevable, mais M. Ouyahia, au pouvoir depuis plus de dix ans, n'a pas réussi à convaincre les firmes automobiles à investir en Algérie. Pourquoi réussirait-il aujourd'hui après avoir échoué tant d'années ? Le gouvernement a-t-il seulement fait le nécessaire pour qu'une compagnie étrangère puisse acquérir un lot de terrain ?

10. Le gouvernement avait une possibilité de pénaliser les propriétaires de véhicules en s'attaquant à un autre chantier, celui du prix des carburants, encore très bas si on les compare à ce qui se passe sur le marché international ou si on se réfère à la flambée du prix du pétrole. Mettre à niveau ces prix est une opération nécessaire, pour rationnaliser la consommation, lutter contre les trafics, notamment aux frontières, et amener l'économie algérienne aux standards internationaux. Corriger les prix des carburants exige toutefois des compensations, ce qui constitue une opération complexe, hors de portée de l'administration algérienne.

 Les généraux algériens ont juré d'exterminer le peuple algérien; de l'humilier de l'étouffer et de la maintenir dans la pire misère au monde !Ils sont 11 peut être 12 ils règnent en despotes sur des jeunes qui eux sont ingénieurs ou ont des doctorats alors que ces généraux savent à peine lire et écrire !

 L'Algérie est devenue un immense camp d'extermination ou les gens n'ont aucun droit ni le droit de se syndiquer ni de porter plainte contre l'état ou les généraux pour leur crimes!

 Après 1991 et la destruction de l'Irak et l'écroulement de la Russie et sous la menace de Waschington l'Algérie a donné gratuitement le Sahara aux compagnies pétrolières américaines et françaises !

 Par exemple les généraux interdisent l'importation et la fabrication d'automobiles mais eux achètent des voitures en Roumanie et en Turquie qui sont de moins bonne qualité et mons chères que celles produites en Europe  puis revendent ces voitures en Algérie plus cher qu'en France par exemple alors que ces voitures sont dangereuses et ne répondent pas aux normes de sécurité de la CEE; ces voitures ont une tôle plus mince une peinture et une finition vraiment passable parfois n'ont même pas de vernis et cela peut être des Wolkswagen ou des tout terrains japonais !

 Les algériens sont même interdits de s'acheter des tomates et des oignons au Maroc ! D'un côté le Maroc ferme la frontière pour empêcher les marocains de s'acheter du carburant et du gaz moins cher en Algérie et de l'autre le gouvernement faschiste alégrien empêche les algériens de s'acheter de la nourriture dix fois moins chère au Maroc comme les pommes de terre et les tomates; les oignons etc....

 En Algérie le taux de chômage est de 80 pourcent car pour les grands chantiers le gouvernement raciste et anti-algérien composé d'étrangers avec de fausses identités et faux papiers privilégie les sociétés étrangères aux entreprises algériennes qui quand elle décrochent un contrat ne sont pas payées par le gouvernement et font faillite !

 Pour résumer l'Algérie à le taux d'imposition le plus élevé au monde qui est de 80 pourcent en réalité la corruption est elle que seules les entreprises algériennes payent des impôts enfin celles qui ne pas parrainées par les généraux !

 En Algérie le prix des terrains dépasse celui de la France alors que la superfice du pays est 4 fois plus grande le prix de la nourriture est plus élevé qu'en Suisse ou au Japon alors que la population à un salaire moyen de 70 euros par mois !

 Les algériens vivent avec moins de un dollar par jour ! Les étudiants n'ont plus de bourse depuis 1991 !

Bien avant son adoption, les Algériens ont déjà une idée sur la loi de finances 2017 dont ils commencent déjà à ressentir les effets, les commerçants ayant déjà mis en application les augmentations qui y sont prévues.
Un échantillon de ces réactions à Oran et à Constantine.

Les Oranais n’ont pas attendu l’adoption de la loi de finances 2017 par le Parlement pour exprimer leur indignation devant le nombre des augmentations portées par le texte.

“On fait endosser aux Algériens le fourvoiement des autorités durant 15 années et leur mauvaise gestion, c’est inadmissible et indigne !”, estime le consommateur qui, du reste, a déjà eu un aperçu de la flambée des prix des produits de large consommation, les commerçants s’étant empressés d’appliquer la hausse dès que les choses ont commencé à se gâter avec le recul des recette pétrolières. “Et les autorités ne sont même pas intervenues pour mettre un holà sous prétexte que les prix sont libres”, se lamente-t-on encore.

Pour les Oranais, l’impératif de sauver les équilibres budgétaires en affaiblissant le pouvoir d’achat est significatif de l’incompétence des dirigeants. “De 2000 à 2014, l’Algérie disposait de très importantes ressources financières et l’État aurait pu jeter les jalons d’une économie productive et créatrice d’emplois que l’on chante aujourd’hui. Malgré les appels des économistes et des analystes, les dirigeants ont fait la sourde oreille préférant la gestion populiste.

Voilà le résultat…”, déplore un universitaire en fustigeant cette imprévoyance coupable. De la ménagère à l’automobiliste en passant par les retraités, les malades et toute sorte de “profils”, les Oranais interrogés sont unanimes à dénoncer la facilité avec laquelle les responsables ont préféré se tourner vers la population, au risque d’affaiblir son pouvoir d’achat, au lieu d’aller chercher l’argent “des transferts illégaux ou de la fraude fiscale”.

“Malheureusement, il est plus facile et moins risqué de taxer le pauvre contribuable plutôt que d’amener les responsables de cette faillite à rendre des comptes”, s’étrangle cette mère de famille en affirmant ressentir les effets de l’augmentation des prix depuis quelques mois déjà. “C’est moi qui fais les courses et j’ai constaté que les prix ont sérieusement augmenté. Cela fait un petit moment que j’ai renoncé aux fruits et je me permets moins de viande.

D’ailleurs, les commerçants nous rappellent à chaque fois qu’il faut se préparer à d’autres augmentations. Cela fait vraiment peur.”

2017 est assurément l’année de toutes les peurs, de toutes les inquiétudes : inquiétude des effets sur le pouvoir d’achat des augmentations qui embrassent l’ensemble des produits de consommation, mais aussi peur de la réaction de la population.

À Oran, la rue gronde et il n’est pas dit que l’application de la  loi de finances 2017 passe sans encombre.

Pour les Constantinois, “elle mettra à rude épreuve le pouvoir d’achat”
Pour beaucoup de Constantinois rencontrés dans la rue, “l’État tente, par cette loi, de récupérer ce qu’il a perdu, sur le dos des citoyens”. Cette loi, qui, à l’évidence, mettra à rude épreuve “le pouvoir d’achat—déjà confisqué— des Algériens”, nous dit-on. Pourtant, de nombreuses voix se sont élevées pour que cette loi ne soit pas adoptée par l’APN, en raison de l’augmentation des taxes et impôts. “Cette loi est venue pour achever le simple citoyen qui souffre déjà de la cherté de la vie”, nous dit un citoyen rencontré, hier, dans la rue. “Ce pays leur appartient, il n’y a pas de place pour nous. Je ne comprends pas pourquoi toutes les nouvelles mesures d’austérité ne touchent que le simple citoyen ?”, s’interroge un autre que nous avons interpellé au marché Ferando, au centre-ville.

Les commerçants, quant à eux, déclinent toute responsabilité, quant à l’augmentation des prix des différents produits de consommation. “On n’y est pour rien ! Fruits, légumes et même les viandes, tous les prix de gros ont augmenté, ce qui nous oblige à procéder, nous aussi, à quelques augmentations”, affirme un marchand de fruits et légumes rencontré sur les lieux.

Un autre nous lance : “Ces augmentations doivent toucher tout le monde, pas seulement le simple citoyen. Pourquoi les députés et les hauts responsables ne diminuent-ils pas leurs salaires ?” Il conclura par une interrogation : “Cette loi de finances va-t-elle régler le problème ? Non. Pourra-t-elle nous sortir de la crise ? Non. Car ce sont toujours les mêmes qui sont à la tête du pays et il y aura toujours des… pour voler l’argent du peuple et nous plonger encore plus dans la misère.”

 Les hôptaux et maternités sont de vraies mouroir ou les malades sont traités pire que dans des abattoirs; les erreurs médicales sont la première cause de mortalité dans le pays ce qui explique que les généraux et politiciens se font tous soignier en France ou en Suisse avec l'argent du peuple !

 Ouyehia a déclaré il faut affamer ton chien pour qu'il te suit ou te supplie!

Selon Ouyehia le peuple algérien est le chien des généraux et du gouvernement de faux papiers marocains sionistes au pouvoir en Algérie !

 Tahkout affirme également qu’il est blanc comme neige. “Je n’ai jamais détourné d’argent public. Je n’ai pas volé. Et ceux qui m’accusent n’ont qu’à présenter des preuves. Propager des rumeurs et alimenter la propagande, c’est très facile. Je suis victime d’une campagne de dénigrement”, a-t-il dénoncé dans cette interview diffusée par la chaîne privée en deux parties. Quant à ses soi-disant relations avec l’ancien Premier Ministre, Ahmed Ouyahia, l’homme d’affaires a tout démenti. “Ahmed Ouyahia est un homme pour lequel j’ai beaucoup de respect. Mais il n’a jamais été mon associé. IL n’a jamais travaillé avec moi dans mon entreprise. Il n’a aucun intérêt avec moi. Toutes ces informations sont mensongères. Et je m’apprête à enclencher des poursuites judiciaires à l’encontre de leurs auteurs”, a-t-il prévenu. Mahieddine Tahkout se dit victime d’une terrible machination. Un complot que des “jaloux”, “menteurs, “lâches” ont élaboré pour mettre en péril sa réussite sociale et le succès de sa compagnie.

 

Affame ton chien, il te suivra; engraisse-le, il te mangera.Donc cela signifie clairement que Ouyehia considère que le peuple algérien est son ennemi et le cobaye de ses expériences !

Cette citation vient en fait de Abu Jafar al-Mansur!

 

“Il est aussi dans l'intérêt d'un tyran de garder son peuple pauvre, pour qu'il ne puisse pas se protéger par les armes, et qu'il soit si occupé à ses tâches quotidiennes qu'il n'aie pas le temps pour la rébellion.” Aristote .

 

«Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits ( des gens ) leur individualisme, leur loyalité aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux. » George Brock Chisholm ex-directeur de l'Organisation Mondiale de la Santé .

 

 

« Dans l’éventualité où je serais réincarné, je voudrais revenir comme un virus mortel, afin de contribuer en quelque chose pour résoudre la surpopulation » – Extrait de la préface de la biographie « Si j’étais un animal ». du Prince Philip Duc d'Edinburgh .

 

“Une population mondiale totale de 250-300 million d'individus, une diminution de 95% de la population actuelle, serait idéale.” Ted Turner, milliardaire fondateur de CNN, dans une entrevue pour Audubon Magazine .

 

« Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité» Robert Mac Namara .

 

“Répétez un mensonge assez fort et assez longtemps et les gens le croieront.” Et : “Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d'une mort soudaine.” Adolf Hitler .

 

 

"Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncherait."  George H.W. Bush, 41e Président des Etats-Unis d'Amérique .

 “C’est une chose terrible à dire. Mais pour stabiliser la population mondiale, nous devons éliminer 350.000 personnes par jour. C’est une chose horrible à dire, mais ne rien dire l’est encore plus.” (Jacques-Yves Cousteau) .

 

À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :

« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! » (Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.) .

 

“Quand vous arrivez à la tête d’un pays, des présidents virtuels prennent les décisions à votre place” (Bill Clinton) .

 

“Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements.” (Honoré de Blazac) .

 

“En démocratie, la politique est l'art de faire croire au peuple qu'il gouverne.” Louis Latzarus  .

 

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. Napoléon Bonaparte .

“Nous sommes devenus un des pays les moins bien dirigé, un des plus entièrement contrôlé et dominé des Gouvernements du monde, non plus un gouvernement de libre opinion, non plus un gouvernement par conviction et vote de la majorité, mais un gouvernement par l'opinion et la coercition d'un petit groupe d'hommes dominants.” Woodrow Wilson 

 

 « Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnaît aucune responsabilité. Anéantir ce gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires corrompues avec la politique, elle-même corrompue, tel est le devoir de l'homme d'Etat » Théodore Roosevelt 1912 vingt-sixième président des États-Unis .

 

  Le gouvernement sioniste marocain d'Algérie essaie ç tout prix de créer une révolte qui lui permettrait un nouveau génocide pour comme le dit le ministre du culte Benaissa le but est de chasser les musulmans pour construire des synagogues en Algérie pour les juifs marocains et faire du peuple algérien des esclaves !

     Confiscation des biens immobiliers du Ministère des Affaires étrangères Bouteflika, Ouyahia, El­Ibrahimi, Belkheïr… impliqués Des appartements de grand standing et de somptueuses villas ont été détournés au profit de hauts responsables. Sur plus d’un millier de résidences luxueuses relevant des biens immobiliers du ministère des Affaires étrangères, il n’en reste, à présent, qu’un nombre réduit. Pour cause, des hauts responsables, qui se sont succédé à la tête des ministères et des institutions de la République, les ont accaparées, voire détournées au dinar symbolique. Des exemples édifiants dans ce sens sont légion, selon notre confrère El Khabar. En effet, le quotidien arabophone a fait, dans son édition d’hier, des révélations, pour le moins fracassantes, sur le détournement et la confiscation des villas somptueuses et des appartements de grand standing situés dans les quartiers les plus huppés de la capitale. Il s’agit des demeures occupées auparavant par des ambassadeurs et des consuls étrangers, mises à leur disposition par le ministère des AE à titre de résidences personnelles ou de sièges abritant les représentations diplomatiques étrangères à Alger. Au lendemain de l’Indépendance, le pouvoir politique proposait des villas et autres résidences abandonnées par les Français aux pays amis et frères, pour les encourager à ouvrir des représentations diplomatiques en Algérie. Cependant, cette générosité vis­à­vis des étrangers a commencé à cesser après l’entrée en vigueur du principe de réciprocité. C’est ainsi que la “rafle” des propriétés du ministère des Affaires étrangères a été érigée en règle générale. C’était du temps où M. Abdelaziz Bouteflika était le premier responsable de la diplomatie. L’ex­ministre des AE s’est adonné impunément au “partage” des villas et autres palais situés sur les hauteurs d’Alger entre les anciens membres du Conseil de la Révolution et autres hauts responsables de l’État à l’époque. Ces attributions ont été accordées, incontestablement, d’une manière confuse et anarchique et ce, en l’absence de textes de loi régissant ces biens. Cela faisant, cette razzia a incontestablement atteint son pic dans les années 1980, durant le règne de Chadli Bendjedid. En 1982, les hautes autorités du pays ont pondu à cet effet la loi relative à la cession des biens de l’État. Le passage de Ahmed Taleb El­Ibrahimi à la tête du département des Affaires étrangères a été marqué de façon indélébile par les ventes massives des biens immobiliers de son ministère à bas prix. Notre confrère, citant des anciens diplomates, révèle que Ahmed Taleb El­Ibrahimi a distribué, durant son règne, plus de 50 résidences somptueuses, situées à Didouche­Mourad, El­Biar, boulevard Mohamed V et Hydra. Les bénéficiaires étaient des cadres du ministère et des personnes étrangères à son département. Le journal cite une longue liste d’attributaires. Il évoque, pêle­mêle, Larbi Belkheïr, directeur de cabinet à la présidence, le secrétaire général des AE, Ben Ghezel, Salah Ben Kobi, conseiller au Conseil de la nation, Antar Ben Daoud, actuel ambassadeur d’Algérie au Mali, Ramdhane Lamamra, M. Harbi, ancien ministre de la Coopération, Cherif Rahmani, Ahmed Attaf, ancien ministre et ambassadeur à Londres. Ce dernier a bénéficié d’un appartement qu’il aurait revendu à 1,5 milliard de centimes. Taleb a également fait profiter les proches de Chadli Bendjedid dont le gendre, Lahouel, ancien wali de Tipasa, ainsi que le général Noureddine Ben Kortbi, qui a, pour sa part, revendu sa villa à plus de 13 milliards de centimes. Signalons au passage que Hocine Aït Ahmed a aussi bénéficié d’une villa située au Chemin des Glycines. Le bénéficiaire qui sort du lot et qui a accaparé, à des prix insignifiants, le plus de biens du ministère des Affaires étrangères est incontestablement M. Abdelaziz Bouteflika. Le président de la République s’est approprié pas moins de huit résidences. Il a acquis une villa à Sidi Fredj, un étage de deux appartements, ainsi qu’une autre villa à l’avenue Bachir­El­Ibrahimi. Le chef de l’État a fait également profité sa petite sœur d’un grand appartement à El­Mouradia. Le premier magistrat du pays a également acheté une autre villa, en 1991, d’une superficie de 9 000 m2, à… 20 DA le mètre carré ! La valeur de cette demeure est estimée à présent à plus de 50 milliards de centimes. Le président de la République ne s’est pas contenté uniquement de l’acquisition de biens de l’État en Algérie. Citant des sources concordantes, notre confrère a divulgué que M. Abdelaziz Bouteflika dispose de biens immobiliers à l’étranger, un immeuble, un ranch et des puits de pétrole à Abou Dhabï. Auxquels faut­il ajouter un appartement luxueux à Paris, acheté au nom de son frère Saïd Bouteflika. L’actuel Chef du gouvernement a eu sa part de ces biens bradés au dinar symbolique. M. Ahmed Ouyahia a bénéficié de trois demeures, la première à Hydra, la deuxième à Kouba et la troisième au Club­des­Pins. À cette liste s’ajoute les ministres qui se sont succédé à la tête du département des Affaires étrangères. Les Dembri, Attaf, ainsi que le général Betchine, la chanteuse Fella Ababsa, Noureddine Morsli… ont eu le privilège d’accaparer des villas à bas prix. Le seul haut responsable qui aurait refusé de s’approprier ces villas somptueuses proposées par M. Ahmed Ouyahia est l’ancien chef de l’État, M. Liamine Zeroual. Au lendemain de l’investiture de Bouteflika à la présidence, Zeroual a remis les clés de la demeure qu’il occupait durant l’exercice de ses fonctions, située à l’avenue Bachir­El­Ibrahimi, à proximité de l’ambassade des USA. Cette villa fait l’objet de procédures judiciaires pour être cédée à la mère de M. Abdelaziz Bouteflika, qui l’occupe actuellement. R. H. Panique au sommet de l’État Sollicités par nos soins pour avoir d’éventuelles précisions par rapport aux révélations faites par notre confrère El Khabar, les services de la présidence de la République et du Chef du gouvernement se sont dérobés à nos questions. Une source de la présidence nous a néanmoins confié qu’il est nécessaire de se rapprocher du département ministériel de Abdelaziz Belkhadem. La source a ajouté qu’elle n’est pas habilitée à s’exprimer sur un sujet qui relève directement du ministère des Affaires étrangères. Au niveau des services du Chef du gouvernement, notre interlocuteur, chargé des relations avec la presse, s’est dérobé à sa manière, puisque il a promis de nous fournir une réponse, mais en vain. En revanche, une source autorisée au ministère des Affaires étrangères, après insistance, nous a précisé tout de même que M. Abdelaziz Belkhadem a présidé, durant l’exercice de ses fonctions au département des Affaires étrangères, deux fois la commission des patrimoines du ministère. Ces deux réunions se sont soldées par l’attribution de deux studios (une pièce cuisine) à deux fonctionnaires du secteur. Notre source a précisé également que ladite commission ne siégera ni en septembre ni en octobre, tel que rapporté par notre confrère El Khabar. Concernant les biens déjà affectés, notre interlocuteur nous a recommandé de prendre attache avec la direction des domaines au niveau du ministère des Affaires étrangères. Cette déclaration sous­entend tout bonnement que des villas et des appartements ont été cédés aux responsables de la République.

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