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Abnormal Report
31 décembre 2017

Le gouvernement maçonnique algérien fait assassiner les nouveaux nés mâles pour empêcher l'arrivée du Mahdi ?

 

Algermon

 

 

  Cela rappelle ce qui s'est passé durant le passé avant la naissance du prophète Ibrahim Nimrod ordonna la mort de tous les nouveaux nés de sexe mâle de son royaume puis Pharaon ordonna la mort de tous les nouveaux mâle en Egypte.Pourquoi la France et les franc-maçons du gouvernement satanique d'Algérie veulent tuer ces bébés? Ont ils des informations de leur devins et essayent ils de tuer le Mahdi qui pourrait naître en Algérie et pourquoi pas à Djelfa? Le mahdi pourrait naître aussi en Afghanistan un pays aussi martyrisé par les franc-maçons ou en Somalie!

 

En 2004 un courageux journaliste algérien découvre avec horreur que le gouvernement de goumiers marocains, le clan d'oujda en Algérie assassine les bébés algériens de parents musulmans pour vendre leur organes ! Ce qu'il a découvert c'est le meurtre de 13 bébés mais cette activité d'extermination des bébés musulmans durait depuis des années et ce ne serait que le dessus de l'iceberg  et n'est pas unique à cet hôpital mais concerne toute l'Algérie.Il s'agit d'un vrai plan d'extermination du peuple algérien fomenté par des agents de l'étranger ceux qui sont au gouvernement depuis 1962 ces marocains qui ont tué les vrais résistants et qui ont pris le contrôle du pays par et pour la France et la CIA et le Mossad et pour imposer un gouvernement maçonnique et sataniste!

 Ils ont crée le FIS et les GIA puis les massacres massifs de la population civile ils se sont rendu coupable de la disparition de millions de jeunes dont les familles recherchent toujours les corps ce qui rappelle ce qui se passe à Gaza en Palestine!

 

  

Après la révélation de l’affaire du décès suspect de 13 bébés dans un hôpital de la ville de Djelfa qui avait valu, on s’en souvient 8 mois de prison à Ghoul Hafnaoui, correspondant de presse dans cette ville, à l’origine de cette information ; le même sujet s’invite de nouveau dans l’actualité.

 

   Le gouvernement d'occupation veut faire un exemple pour terroriser les autres journalistes?

En effet, le bureau de la Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH) de Djelfa, dénonce dans un communiqué publié ce mercredi 10 novembre plusieurs cas suspects de disparitions et de morts de nourrissons au cours des neuf derniers mois en citant des sources proches des services pédiatriques de l’hôpital. 

 


La LADDH signale également la disparition de cadavres de nourrissons de la morgue de l’hôpital tout en faisant le lien avec un réseau de trafic d’organes de nourrissons qui sévit selon elle, au delà des frontières de la wilaya. 


La direction de la santé de la wilaya de Djelfa et celle de l'action sociale se renvoient la balle dans cette affaire croit utile de préciser la LADDH.

 

 

Ce scénario rappelle celui de sinistre mémoire qui s’est déroulé en mai et juin 2004.Cette année là, le tribunal de Djelfa s’était autosaisi de cette affaire qui deviendra un procès en diffamation fait au représentant de la LADDH . La collecte de fausses plaintes pour diffamation auprès des notables de la ville aurait elle déjà commencé comme en 2004 ?

 

La cour de Djelfa est devenue une instance où le pouvoir juge ses adversaires.»

Après la nouvelle condamnation à trois mois d´emprisonnement dont a écopé le militant des droits de l´Homme et journaliste Hafnaoui Ben Ameur Ghoul, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l´Homme, de Me Ali Yahia Abdenour, a lancé un appel à l´Observatoire international pour la protection des défenseurs des droits de l´homme et aux ONG internationales. Pour l´inusable Abdenour, cette nouvelle condamnation de Ghoul est «attentatoire aux droits de la personne humaine et porte gravement atteinte au droit ainsi qu´aux pactes et conventions internationaux relatifs aux droits de l´homme ratifiés par l´Algérie». Le communiqué de la Ligue algérienne des droits de l´Homme s´insurge contre ce qu´il qualifie de «condamnation avant même que le procès ne commence (...) il y a dérive de la justice, qui n´est pas sortie grandie dans ce procès, du fait que les juges n´ont pas jugé en leur âme et conscience, mais en fonction des consignes données par le wali de Djelfa, partie civile dans ce procès. C´est le temps des procès montés de toutes pièces contre les militants des droits de l´Homme et les journalistes».

 

Le communiqué de la Laddh constate que «la cour de Djelfa n´est pas où la justice est rendue mais une instance politique où le pouvoir juge ses adversaires», et que «l´indépendance de la justice, qui n´est pas la priorité du pouvoir ou du magistrat mais celle du justiciable, devient aussi urgente qu´indispensable. Elle est liée à la mise en place d´un système politique démocratique respectueux de la souveraineté du droit, de la séparation et de l´équilibre des pouvoirs». Hafnaoui Ghoul était, pour rappel, militant de cette même structure dans la région de Djelfa avant son incarcération, après avoir mis à jour des affaires scabreuses, dont, notamment, le scandale lié au décès suspect de 13 bébés à l´hôpital de la ville.

 

L´enquête devait conclure à une septicémie due au manque d´hygiène ambiant et le directeur de l´hôpital avait été relevé de ses fonctions. En fait l´incarcération de Ghoul avait annoncé le début d´une nouvelle «politique médiatique» des autorités vis-à-vis de la presse, notamment en matière de diffamation. Benhicou et Benaoum, respectivement patrons du Matin et d´Erraï, ont eux aussi, été écroués, toujours pour des raisons qui, «apparemment», n´ont rien à voir avec leurs écrits. Aussi sommes-nous en train d´assister, non plus à la politique du bâton et de la carotte, mais à celle, nouvelle, du bâton sans aucune carotte.


La presse privée est ciblée, traînée dans la boue afin de la discréditer. Le feuilleton de cet été, c´est elle. C´est là où réside la nouveauté pour ceux qui, un jour, avaient soutenu les autorités même dans leurs dérives.

 

   Ce gouvernement abjecte de terroristes et d'agents sionistes infiltrés après avoir volé le gaz et le pétrole du peuple algérien il n'hésite pas à tuer des bébés pour vendre leur organes et condamner à la prison ceux qui dénonce ces crimes abominables !

 

 

 Ce n'est pas un cas isolé il y a beaucoup de scandales médicaux des personnes meurent pour de simples appendicites et des enfants subissent des ablations de certains organes sans justificatif clair ainsi des enfants subissent des ablations d'un oeil ou d'un rein.Les erreurs médicales sont la première cause de mortalité surtout en chirurgie et pédiatrie; beaucoup d'enfants prématurés sont privés de couveuses.Les erreurs médicales en Algérie font plus de 200 000 morts chaque année la majorité pour de simple appendicite alors qu'en France ce type de mort est de un pour 3000 en Algérie cela serait plus autour de 50 pourcent de mortalité !

 

  L'état interdit toute statisque ou recensement de ces erreurs médicales et se targue d'avoir un taux de mortalité équivalent à celui d'un pays développé ce qui est pure mensonge car sinon comment expliquer que les potentats du régime se fassent tous soigner en France leur employeur ou parfois en Suisse leur trésorier ?

 On peut ajouter que le gouvernement maçonnique d'occupation de l'Algérie a autorisé la France et a Suisse et les USA a utiliser la population et son bétail et ses plantes comme cobayes de divers médicaments vaccins et armes chimiques et atomiques et ce après 1962.

   A travers tous le pays on dénombre la mort de plus de 500 nourrissons et enfants suite à des vaccins chaque année en Algérie et des fortes fièvres qui en découlent.De plus beaucoup de morts du fait de vaccins périmés ou médicaments périmés du fait que certains pharmaciens éteignent leur chambres froides la nuit pour économiser l'électricité ou des coupure électriques provoquées pour saboter l'économie du pays par le gouvernement.

Il est évident que la réponse de Monsieur le ministre est une réponse politique et qu’elle n’a strictement rien de scientifique. Son souci majeur est de se dédouaner de toute responsabilité. Partout ailleurs dans le monde, de tels accidents ont été imputés officiellement aux vaccins. Monsieur Boudiaf pèche par un manque de rigueur et il aurait dû au moins céder la parole à un spécialiste pour donner de telles explications, à moins qu’il n’en ait pas trouvé acceptant de se ridiculiser devant leurs pairs. Quand il parle de fièvre interne, qu’est-ce au juste ? Existerait-il une fièvre externe ? Après avoir, d’un ton péremptoire, écarté la responsabilité du vaccin — et la sienne du même coup — il poursuit son discours en informant l’assistance que les investigations se poursuivent. Pourquoi alors cette précipitation ? Il passe sous silence le fait que le deuxième nourrisson ait été vacciné au même endroit quelques minutes après le décès du premier, et là, il ne donne aucune explication. La moindre des précautions eut été de différer la vaccination et de s’abstenir de commettre un geste qui s’avérera fatal comme le premier. Il donnera aussi l’explication de possibles maladies non apparentes et c’est là que le bât blesse justement, car la vaccination ne doit jamais être effectuée à la chaîne, de manière industrielle sur des enfants dont on ignore tout de leur état de santé réel, comme le font les vétérinaires sur différents cheptels. Seule une vaccination à la carte, réalisée par le médecin de famille ou de proximité est à même de réduire les risques, tout en sachant que les vaccins multivalents — même s’ils sont homologués par l’OMS, ce qui ne veut rien dire en raison des conflits d’intérêts majeurs, souvenez-vous de la fausse pandémie de grippe A H1N1 — sont la source d’accidents fréquents et souvent graves voire mortels. Comme toujours, ils ne sont pas coupables, les vaccins n’y sont pour rien et le nuage de Tchernobyl s’est arrêté miraculeusement à la frontière… vous êtes donc priés de les croire sur parole. D’ailleurs, comment peut-on être juge et partie dans une affaire où il y a mort d’homme ?!! N’est-ce pas déjà un minimum à exiger dans ce genre de drames ?

Les adjuvants utilisés, comme l’aluminium, le mercure, sont responsables de drames impardonnables apparaissant souvent à distance. La moralité de cette triste histoire et qu’il est urgent de convoquer les états-généraux de la vaccination, afin que les différents spécialistes se penchent sur la question et adoptent en toute connaissance de cause et en toute indépendance et souveraineté les seules décisions à même de garantir le bien-être des enfants. Il est regrettable que monsieur Boudiaf n’en soit pas à son premier impair. Il s’était en effet personnellement impliqué, en mai 2016, dans l’histoire ahurissante d’un médecin qui avait annoncé la découverte d’un médicament miraculeux contre le diabète (ici). L’Algérie profonde avait hélas cru à cette charlatanerie parce que Monsieur le ministre avait été là à l’écran et qu’il avait pour ainsi dire parrainé ce « découvreur » culotté. On imagine la désillusion générale des familles de diabétiques qui avaient un instant cru à cette annonce quasi « officielle » et le déficit de crédit des politiques peu scrupuleux qui en découle.

 

 

 Depuis des années l'Algérie importe des vaccins normalement destinée à la poubelle des vaccins empoisonnés au mercure et d'autres substances nocives et parfois des vaccins périmés aussi les conditions de stockage en Algérie ne sont pas acceptable certaines personnes éteignent les chambres froides dans un pays ou la température ambiante peut atteindre les 50 degrés Celsius et il y a aussi des coupures de courant la nuit. Néanmoins le Maroc et la Tunisie n'ont pas eu ces incidents !

 Depuis dix ans au moins 500 enfants sont morts des suites de vaccinations avec des vaccins empoisonnés ou périmés ou encore stockés à température ambiante ! Sans compter ceux devenus aveugles sourds ou invalides ou atteints d'autisme!

L'institut Pasteur d'Alger serait impliqués dans ces morts suspectes ainsi que la firme Chiron racheté par la firme suisse Novartis. Ces vaccins seraient fabriqués en Inde et Italie.

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière Abdelmalek-Boudiaf a révélé mardi dernier à Alger le retrait provisoire du lot de doses de vaccin, dont l'une a été utilisée pour la vaccination de sept nourrissons dont deux sont décédés dans une clinique privée à Rouïba. En marge d'une visite d'inspection à l'établissement hospitalo-universitaire Mohamed-Lamine Debaghine de Bab El Oued (ex-Maillot), M.Boudiaf a indiqué que le retrait de ce lot de doses de vaccins et les précautions prises pour préserver la vie du citoyen «s'inscrivent dans le cadre des lois en vigueur au plan international» soulignant que «l'enquête déterminera les causes exactes ayant entraîné le décès des deux nourrissons». Le ministère de la Santé avait annoncé vendredi l'ouverture d'une enquête suite au décès de deux nourrissons dans une clinique privée à Rouïba (banlieue d'Alger) après avoir été vaccinés au Pentavalent. 

 

Après que le comité national des experts a recommandé  » le recours à un autre fournisseur pour le vaccin pentavalent qui obéit aux règles du pré qualification de l’OMS est retenu, et que par conséquent le vaccin Pentavalent jusque-là utilisé, doit demeurer en quarantaine dans l’attente des résultats de l’enquête judiciaire « , l’affaire du sérum pentavalent pour nouveau- nés n’a pas livré tous ses secrets. Deux semaines après la décision prise par le ministère de la Santé d’en interdire l’utilisation, suite aux scandales qui ont fait la « Une » des journaux durant plusieurs jours, les premières informations font état de l’existence d’un réseau de trafic international qui a sévi en Algérie depuis déjà quelques années. Selon des sources médiatiques, le fameux vaccin était importé et distribué en Algérie par le patron des laboratoires Serum Institut Of India, l’indien Cyrus S. Poonawalla. Classés 3e producteur mondial de sérum, ces laboratoires se seraient adonnées à des activités suspectes en Algérie.  » ils se seraient impliqués dans des affaires de trafic d’organes, de sérum et vaccin périmés et de mercure écoulés en Algérie, à coup de millions de dollars  » rapporte la même source. A cela s’ajoutent des affaires de corruption qui ont pourtant fait l’objet de rapports accablants de certains organismes internationaux, comme l’OMS. Entre autres marchés conclus en Algérie par ce groupe, la source cite une convention paraphée simultanément par SII, Biofarm (Inde) et l’Institut Pasteur Algérie (IPA) pour la livraison de deux millions de doses de vaccin DTC contre la rougeole, la coqueluche, la diphtérie et le tétanos. Une autre fourniture de 100 000 doses a été commandée aux mêmes laboratoires au profit de la Cnas et des corps constitués, souligne le quotidien francophone. Ceux-ci, en rupture de stocks, ont été obligés de passer commande auprès d’une autre firme indienne, Chiron. Autre antécédent grave : la réception, il y a quelques années, de deux millions de doses DTcok, au profit de l’Institut Pasteur. Une expertise du laboratoire de contrôle et qualité avait attesté que ce vaccin contenait « une toxicité anormale ». Une lettre nous a été envoyée par l’un des parents des deux nourrissons qui sont mort à l aclinique de Rouïba suite à une injection du vaccin de Pentavalent, où il demande au ministère de la santé des explications après qu’il a ordonné de retirer définitivement ce vaccin du marché algérien , sans avoir donné la moindre explication ou raison valable à ce retrait ,et surtout en continuant à nier l’évidence qui est la responsabilité du Pentavalent dans ces décès.  » Nous dénonçons avec force, cette mascarade orchestrée par M. Abdelmalek Boudiaf, pour occulter la vérité et cela dans le seul but de se maintenir à la tête du ministère « , a souligné l’expéditeur.

La cour d'Alger se prononcera le 23 février sur le l'affaire en appel de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) impliquant 10 de ses cadres. 
Le président de la chambre correctionnelle de la cour d'Alger, le juge Benkherchi Omar, a décidé, mercredi dernier, de mettre l'affaire en délibéré après avoir entendu les accusés et les plaidoiries de la défense. Les mis en cause sont accusés de passation de marchés publics contraire à la législation, dilapidation de deniers publics, obtention d'avantages injustifiés et négligence manifeste ayant causé un préjudice à l'Etat.


Les accusés avaient fait appel de la décision de la justice prononcée à leur encontre en première instance par le tribunal de Sidi M'hamed, en date du 13 octobre 2010, les condamnant à des peines allant d'une année de prison avec sursis à 10 ans de prison ferme. Lors du procès, les accusés, qui se sont présentés tour à tour devant le juge, ont rejeté les chefs d'inculpation retenus contre eux. Certains ont même tenté d'impliquer d'autres personnes. Selon l'arrêt de renvoi, l'affaire remonte à 2005, lorsque les services de sécurité ont reçu une lettre anonyme concernant l'acquisition par l'IPA d'un important lot de vaccins contre la grippe, la tuberculose, la rougeole et d'autres pour nourrissons auprès de quatre laboratoires étrangers par voie de marchés publics douteux.
 

   Pourquoi la France et ses agents s'acharnent à tuer depuis 1830 les bébés musulmans algériens cela a commancé par les baïonnettes qui servaient à éventrer les femmes algériennes et à tuer les bébés musulmans dans le ventre de leur mères!

Des massacres et des atrocités innommables, attestées par les récits, furent perpétrés contre la population ; comme les paris sur le sexe des enfants des femmes enceintes que prenaient certains soldats de l’armée d’Afrique qui utilisaient leur baïonnette pour éventrer les femmes et désigner le gagnant !

Les algériens durent très rapidement se rendre à l’évidence que le colonisateur qui se présentait comme le dépositaire d’une mission humaniste et civilisatrice, n’avait d’autre but que de christianiser le pays et d’usurper ses richesses, et commettre des génocides à chaque génération, finalement les Algériens subiront le pire :

  • massacres collectifs n’épargnant ni femmes, ni enfants, ni vieillards ;
  • spoliation des terres privant des populations entières de ressources ;
  • spoliation des biens religieux (habous) destinés à l’éducation et aux bonnes œuvres ;
  • déportations de milliers d’Algériens vers la Nouvelle-Calédonie, Cayenne, … ;
  • destructions et pillages du patrimoine algérien…
  • pillage du trésor de la Régence. Ce butin suffit à financer la campagne française, et bien au-delà.
  • Usurpation de mosquées pour les transformer en églises et cathédrales.

Alger, Constantine, Médéa, Miliana, Tlemcen, … berceaux de la civilisation turco-maure, ont été dévastées : des palais, des mosquées rasées, portes et fenêtres en bois ouvragé et autres motifs de décorations, ont servi de combustible.
Les archives de la ville d’Alger, de Constantine, etc… ont été détruites ou emmenées en France, tout comme d’autres butins suite aux pillages de l’armée française d’abord, et des particuliers ensuite. Comportement qui n’a guère changé malgré les décennies, puisqu’en juin 1962, la bibliothèque de l’Université d’Alger sera ravagée par un incendie criminel perpétré par l’OAS, de nombreux manuscrits rares, rescapés de la conquête, seront détruits.

 

La France n'as pas abandonné cette politique car le Famas fabriqué en France possède une baïonnette.

 

Aussi le gouvernement algérien a crée avec l'aide de la France et du Maroc les GIA et le DRS qui eux aussi partaient éventrer les femmes enceintes algériennes.En particulier les familles qui ont osé construire des maisons sur les terres des eaux et forêts appartenant au domaine public crée sur des terres volées au peuple algérien.

 

   

Sachant que Alain Juppe pouvait former une alliance avec Dominique de Villepin, pour 2012. Sarkozy demanda a Juppé d’entrer dans son gouvernement, apres avoir essayé une fin de non recevoir lors d’une visite éclaire de Sarkozy a Bordeaux. Sarkozy sur conseils de l’ambassade d’Israel, qui considere Juppé comme un juif marocain qui ’se hait’, pour ne pas avoir aidé Israel a envahir l’Iraq, organisa la fuite du genéral Buchwalter. En 1995, Juppé fut entre autre responsable de l’affaire des moines durant son mandat dans le premier gouvernement Chirac ou la droite classique venait de terasser la droite communautariste juive sioniste de Balladur-Sarkozy. Le dossier algerien etant geré par differentes officines de droites comme de gauche au sein du gouvernement, dont celle de la mafia de la France-Israel, un espece de gouvernement parallel (comprenant des membres issus de la communauté juive sioniste, pro-israeliens, venant de tous partis politiques en France, et qui se disent chargés de veiller aux interets d’Yisrael et de sa communauté en France et en Europe, rien que ca !).

Aucune version ne prend en compte le fait que depuis la présidence du juif sioniste Chadli Bendjedid au debut des années 1980, plus connu dans les milieux sous le nom de code de Khemeyes, un agent de la France-Israel, et l’apparition d’un autre juif sioniste, le géneral Larbi Belkheir (décedé), l’armée algerienne est passée sous tutelle de la DST en France. Larbi Belkheir s’est attaché a mettre en place au niveau de la sécurité militaire, puis du DRS des sefarades algeriens, travaillant pour le compte du gouvernement francais. Ainsi, furent choisis par Paris, les generaux Smain Lamari (décedé) et Mohamed Mediene, dit Tewfik.

Ces generaux travaillent pour le compte de clans essentiellement franco-israeliens (les ’decret Cremieux’ ou juifs pieds noirs pro-israelien d’Algerie), leurs reseaux se composant de pieds noirs, et de sefarades ayant émigrés en France apres la ’decolonisation’ en 1962. Ces réseaux de juifs sionistes, des deux cotés de la meditéranée, sont responsables du declenchement de la guerre civile en Algerie suite a la victoire du FIS en 1991 et de la préparation de la guerre civile en France en ce moment ou l’on voit les memes reseaux au sein de la police, de la justice, des affaires etrangeres et la defense des deux cotés de la rive s’activer pour declencher une guerre civile et des rafles, razzias anti-musulmanes, comme au bon vieux temps de l’empire colonial.

Ces réseaux franco-algero-israeliens ont monté de toutes pieces l’assassinat des gendarmes francais dans le quartier de Hussein Dey. Francois Leotard (un franco-israelien) fut au ministere de la defense. Ils ont monté de toutes pieces le detournement d’avion d’Air France, Balladur (un franco-israelien) etait premier ministre. Ils ont monté de toutes pieces les attentats de 1995. Juppé alors premier ministre, fut pris en charge par les reseaux de la maison Pasqua au sein de la DST et l’anti-terrorisme (controlée directement par le mossad) furent derriere les attentats.

En 1996, les mercenaires de la DST, venus depuis l’ex-yougoslavie entrerent par le Maroc en Algerie, les massacres de milliers d’innocents commencaient. Les moines de Tibhirines furent victimes d’une operation franco-algerienne de la DST en Algerie. Il existe des rapports au sein de l’armée algerienne qui denoncent ouvertement Smain Lamari et Tewfik comme etant des ’juifs de la DST’. Les généraux Touati, Guenizzia, Nezzar, M. Lamari et autres Betchine travaillant pour le reseau du moment le plus offrant et le plus puissant en France. au gré des gouvernements a Paris. Tout comme Chenot et Malbrunot en Iraq plus tard, ou Aubenas, ce sont les memes reseaux au sein du gouvernement francais de droite (extreme droite juive sioniste) qui ont monté les operations, pour ’faire passer la loi sur le hidjab’ au sein de la population en France (une operation de l’ambassade israelienne a Paris).

Jusqu’a ce jour, les gouvernements successifs en France ont tout fait pour etouffer le scandale des GIAs, dont tous les emirs, dont le premier Layada, affirmaient avoir été pris en charge par la DST, depuis 1989. Jospin, Belkheir eurent alors l’idée de ressortir la periode coloniale et les ’excuses officielles de la France’, un écran de fumée, ainsi que le pantin Bouteflika, afin que les algeriens vivant en Europe notament, ne puissent s’organiser pour denoncer et poursuivre devant les autorités internationales, le terrorisme de la France-Israel et de son gouvernement de pantins-harkas a Alger. Pres de 15 ans apres, la France-Israel ne peut plus ni actionner ou bloquer les plaintes contre elle, et les enquetes qui prouvent son implication dans les operations terroristes au maghreb et le genocide de populations inncocentes, menacent la stabilite des reseaux terroristes franco-maghrebo-israeliens et donc la stabilité de la France, controlée aujourd’hui par Israel.

Les lois sur le hidjab en 2004 pour punir les Musulmans du fait de la non-participation de la France aux guerres americano-israeliennes d’Afghanistan et d’Iraq, puis sur le niqab-burqua-sitar, en 2010 pour preparer psychologiquement les francais a une guerre en Iran (extension de la guerre au Moyen Orient), mais egalement a une guerre civile en France, dixit Eric Zemmour, et ’les combattants qu’il n’a pas encore’. Le scandale du GIA ayant destabiliser les services et les clans de la France-Israel, dont principalement la DST, nouvellement fusionnée au sein de la DCRI, pour proteger les reseaux terroristes de la France-Israel ayant imaginé et mis en pratique la guerre civile en Algérie pour la seconde fois. Sarkozy pour sauver sa tete, envoit directement la France dans une guerre civile programmée, comme le veut le plan de Netanyahu du dit ’choc des civilisations’, qui doit servir a officialiser l’entrée d’Israel au sein de l’union européene.

Le message est clair, la France-Israel ne doit pas etre prise pour cible, ni destablisée, ou la mafia de la France-Israel, declenche une guerre civile. 

 

 

   Et de nos jours le gouvernements d'agents de la France continuent cette politique de meurtre des nouveaux nés sous couvert de vaccination ou encore en privant les prématurés de couveuses.

 

   Nimrod avait ordonné la mort de tous les nouveaux nés mâles de son royaume pour empêcher la naissance du prophète Ibrahim puis Pharaon ordonna la mort de tous nouveaux nés mâles de parents juifs en Egypte.Il y eut de nombreux autres exemples dans l'histoire.Donc pourquoi la France et ses agents maçonniques s'acharnent à assassiner les nouveaux nés mâles en Algérie et pas au Maroc ni en Tunisie?

 

   C'est que leurs devins et sorciers ont du leur parler du Mahdi qui naîtra en Algérie ? De toute façon ils n'empêcheront jamais Dieu d'accomplir son plan !

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