Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Abnormal Report
3 février 2018

Trump veut profaner la Mecque et y imposer l'apostasie donc le satanisme pour détruire l'islam!

 

globus

 

 

 Trump a ordonné au Prince Salman d'ouvrir la Mecque aux américains et israéliens  aux athés et évangélistes protestants et aux juifs sionistes, les visas seront distribués par internet! Donc après 1450 ce guignol et ce fou furieux du KKK suisse veulent détruire l'islam comme si cela n'avait jamais existé juste parceque ces guignols le décrètent !

 

Quelque part malgré ses imperfections Tarik Ramadan est le porte parole des musulmans de France bien qu'il soit en Suisse et les sionistes veulent le faire taire à cause de ce qui se passe en ce moment à Jérusalem et en Palestine et aussi à la Mecque le prince salman veut profaner les lieux saints de l'islam organiser des concerts de rock à la Mecque mettre des films pornos et autoriser le Whisky pas le cannabis cela soigne le cancer, mais voilà ce qui se passe en ce moment est très grave jamais la Mecque n'as été autant menacée par les franc-maçons et les Rothschilds et Rockfeller comme aujourd'hui.Avec ce cinglé de Trump qui veut disons transformer la Mecque en bordel et en casino avec des prostituées et de l'alcool et des jeux !Trump veut détruire l'islam! Si Tarik Ramadan réveillait les musulmans et les appelaient à faire des manifestations à Paris contre la politique de Trump cela pourrait marcher et faire reculer Trump ! Trump veut imposer l'apostasie à la Mecque donc l'athéisme et le satanisme il veut vraiment déclencher une guerre qui pourra être terrible et oui cela pourrait réduire la population mondiale de 90 pourcent comme le veulent les illuminatis donc les familles royales européennes et les Rothschilds et les instigateurs des protocoles des sages de sion !

 

 

Protocoles des sages de Sion : Protocole I







Le droit réside dans la force.


01
Laissons de côté toute phraséologie, nous discuterons uniquement le sens de chaque idée et nous éclairerons la situation par des comparaisons et des déductions. C'est ainsi que nous allons formuler notre système, en examinant les faits de notre point de vue et de celui des goyim.
02
Il faut remarquer que les gens aux instincts mauvais sont plus nombreux que ceux aux nobles instincts, c'est pourquoi on peut obtenir de meilleurs résultats par la violence et l'intimidation que par des dissertations convaincantes. Tout homme aspire au pouvoir ; il en est peu qui ne deviendraient pas dictateurs s'ils le pouvaient, et bien rares sont ceux qui ne seraient prêts à sacrifier le bien général à des avantages personnels.
03
Qu'est-ce qui a contenu et dirigé ces bêtes de proie qu'on appelle les hommes ? Aux premières époques de la vie sociale, ils se sont soumis à la force aveugle et brutale, ensuite à la loi qui, elle aussi, est une force, mais une force masquée. J'en conclus que, par la loi de la nature, le droit réside dans la force.
04
La liberté politique est une idée, mais non une réalité ; il faut savoir appliquer cette idée quand il est nécessaire d'attirer, au moyen d'un appât idéaliste les forces populaires à son parti, si celui-ci a décidé d'abattre un parti gouvernemental. Cette tâche se trouve facilitée lorsque l'adversaire est pénétré de l'idée de liberté ou de libéralisme et s'il perd de sa force pour cette idée ; c'est par là que triomphera notre système : en vertu de 1a loi de la vie, les rênes du gouvernement, à peine relâchés, sont aussitôt saisis par d'autres mains, étant donné que la force aveugle du peuple ne peut exister un jour sans chef et que le nouveau pouvoir ne fait que remplacer l'ancien, affaibli par le libéralisme.
05
De nos jours la puissance de l'or – c'est-à-dire la nôtre – a remplacé le pouvoir des gouvernements libéraux.
06
L'idée de liberté est irréalisable, parce que personne ne sait en user avec juste mesure : il suffit de laisser le peuple se gouverner lui-même pendant quelque temps pour que cette liberté se transforme aussitôt en licence. Dès lors naissent des dissensions qui ne tardent pas à dégénérer en guerres sociales, dans lesquelles les États se consument et où leur grandeur se réduit en cendres. Qu'un État s'épuise dans ses convulsions intestines ou que les guerres civiles le mettent à la merci des ennemis extérieurs, il peut, dans l'un et l'autre cas, être considéré comme irrémédiablement perdu ; il est en notre pouvoir.
07
Le despotisme de notre capital lui offre une planche de salut, à laquelle il est obligé de se cramponner pour ne pas sombrer.
08
A qui prétendrait que nos arguments sont immoraux, je demanderais : si tout État a deux ennemis, et s'il est admissible qu'il emploie à l'encontre de l'ennemi extérieur toutes sortes de moyens stratégiques, comme, par exemple, de garder secrets les plans d'attaque et de défense, de le surprendre de nuit ou avec des forces supérieures, pourquoi ces mêmes mesures seraient-elles immorales lorsqu'elles seraient prises contre notre pire ennemi, celui qui menacerait notre pouvoir et ruinerait notre bien-être ?
09
Un esprit logique et sensé peut-il espérer réussir à mener les foules par des arguments et des raisonnements, quand la voie est ouverte à la contradiction, même stupide, pourvu qu'elle puisse séduire le peuple dont l'esprit est superficiel ? Les foules sont exclusivement guidées par des passions mesquines, des superstitions, des coutumes, des traditions et par des théories sentimentales ; elles sont esclaves de la division des partis qui s'opposent à toute entente un tant soit peu raisonnable. Toute décision de la foule dépend essentiellement de hasards ou bien, quand elle est préparée à l'avance, elle est pour le moins superficielle ; dans son ignorance des secrets politiques, elle prend des décisions absurdes, elle sème une sorte d'anarchie qui ruine le gouvernement.
10
La politique n'a rien de commun avec la morale. Le gouvernement qui se laisse guider par la morale n'est pas politique et par conséquent son gouvernement est fragile. Celui qui veut régner doit recourir à la ruse et à l’hypocrisie. Les grandes qualités populaires, l'honnêteté et la franchise, sont des vices en politique, elles détrônent les souverains mieux que l'ennemi le plus habile. Ces qualités doivent être des attributs des gouvernements goyim, que nous ne devons nullement prendre pour guides.
11
Notre but est de posséder la force. Le mot « droit » désigne une abstraction que rien ne justifie. Ce mot signifie simplement ceci. « Donnez-moi ce que je veux afin que je prouve que je suis plus fort que vous. » Où commence le droit ? Où finit-il ? En quoi consiste-t-il ? Dans un État où le pouvoir est mal organisé, où les lois et le régime sont inopérants du fait des droits sans nombre que le libéralisme et ses avantages fictifs ont créés, je vois un nouveau droit, le nôtre, qui est celui d'attaquer, de par la loi du plus fort, de me jeter sur tous les ordres et les règlements établis pour les renverser ; de m'emparer des lois, de réorganiser les institutions et de devenir le maître de ceux qui, volontairement et libéralement, nous ont abandonné leur pouvoir.
12
Par rapport à la fragilité actuelle de tous les pouvoirs, le nôtre est invincible garce qu'il est invisible, et qu'il restera tel jusqu'à ce qu'il ait acquis un degré de puissance tel qu'aucune ruse ne pourra plus le menacer.
13
Du mal passager que nous sommes actuellement contraints de faire naîtra le bienfait d'un gouvernement inébranlable, qui rétablira le cours régulier de la vie du peuple, actuellement perturbé par le libéralisme. La fin justifie les moyens. Concentrons notre attention sur nos projets, sur ce qui est utile et nécessaire et non pas sur ce qui est bon et moral Nous avons devant nous notre plan ; dans lequel est exposée notre stratégie, dont nous ne pouvons nous écarter sans courir le risque de détruire l’œuvre de plusieurs siècles.
14
Pour trouver les moyens de parvenir à nos objectifs, il faut tenir compte de la lâcheté, de l'instabilité, de l'inconstance de la fouie, de son incapacité à comprendre et à estimer les conditions de sa propre vie et de son bien-être. Il faut comprendre que la foule est aveugle, insensée, déraisonnée, qu'elle tend l'oreille à droite et à gauche. Un aveugle ne peut conduire un aveugle sans le conduire, au précipice ; de même les parvenus, issus de la foule – fussent-ils doués d'un esprit génial, mais non initiés à la politique – ne peuvent prétendre la diriger, sans perdre tout leur troupeau.
15
Seuls les hommes préparés dès l'enfance peuvent comprendre le langage et la réalité politiques. Un peuple livré à lui-même, c'est-à-dire à des parvenus issus de son milieu, travaille à sa propre ruine par suite des querelles de partis qui naissent de la soif du pouvoir et des honneurs, et par les désordres qui en proviennent. Est-il possible aux masses populaires de raisonner avec calme et sans disputes, et de diriger les affaires de l'État qu'il ne faut pas confondre avec les intérêts personnels ? Sont-elles en mesure de se défendre contre les ennemis extérieurs ? C'est impossible. Un plan divisé en autant de têtes qu'il y en a dans la foule perd son unité ; il devient incohérent et inexécutable par suite des différentes interprétations qu'on peut y donner.
16
Un plan vaste et clair ne peut être élaboré que par un seul homme ; il coordonne tous les rouages des mécanismes de la machine gouvernementale. On en doit conclure qu'il est préférable pour le bien-être, d'un pays que le pouvoir soit concentré entre les mains d'un seul individu responsable. La civilisation ne peut exister sans le despotisme absolu, car elle n'est pas l’œuvre des masses, mais de leurs chefs, quels qu'ils soient. La foule est barbare, elle le prouve en toute occasion. Aussitôt qu'elle s'empare de la liberté (de l'idée de liberté), elle la transforme immédiatement en anarchie, qui est le plus haut degré de barbarie.
17
Voyez ces êtres alcoolisés, abrutis, stupéfiés par la boisson, dont ils ont droit de faire une consommation illimitée, droit conférée aux goyim en même temps que la liberté. Nous ne pouvons permettre que les nôtres tombent à ce degré. Les peuples goyim sont abrutis par l'alcool ; leur jeunesse est détraquée par les études classiques et par la débauche précoce où l'ont poussée nos agents, précepteurs, domestiques, gouvernantes dans les maisons de riches, nos commis ailleurs, ainsi que nos femmes. Au nombre de celles-ci, je compte leurs imitatrices volontaires en matière de débauche et de luxure, celles qu'on appelle les « femmes du monde ».
18
Notre devise est : la force et l'hypocrisie. Seule la force est victorieuse en politique, surtout si elle se dissimule dans les capacités indispensables aux hommes d'État. La violence doit être le principe, la ruse et l'hypocrisie une règle pour les gouvernements qui ne veulent pas concéder leur pouvoir aux agents d'une nouvelle force. Ce mal est l’unique moyen de parvenir au but, au bien. C'est pourquoi nous ne devons pas craindre d'employer la corruption, la tromperie et la trahison quand elles peuvent nous servir à atteindre notre but. En politique il faut savoir s'emparer de la propriété d'autrui sans hésiter, afin d'obtenir par ce moyen la soumission et le pouvoir.
19
Notre gouvernement, dans cette conquête pacifique, a le droit de remplacer les horreurs de la guerre par des condamnations à mort moins visibles et plus profitables, nécessaires pour entretenir cette terreur qui fait obéir les peuples aveuglément. Une sévérité juste et implacable est l'atout de la force d'un État ; ce n'est donc pas seulement notre avantage, mais c'est notre devoir, pour obtenir la victoire, que de nous en tenir à ce programme de violente et d'hypocrisie. Pareille doctrine basée sur le calcul est tout aussi efficace que les moyens qu'elle emploie ; c'est pourquoi nous triompherons, non pas seulement par ces moyens mais aussi par cette doctrine de la sévérité, et nous asservirons tous les gouvernements à notre Super gouvernement. II suffira que l'on sache que nous sommes implacables pour que toute résistance soit brisée.
20
Dès l'époque de l'épanouissement de la Grèce antique, nous avons été les premiers à crier le mot : « Liberté ! » si souvent répété depuis par des perroquets inconscients, qui, attirés de toutes parts par cet appât, n'en ont usé que pour détruire la prospérité du monde et la véritable liberté individuelle, autrefois si bien garantie contre la contrainte de la foule. Des hommes qui se croyaient intelligents n'ont pas su distinguer le sens caché des mots qu'ils employaient ; ils n'ont pas remarqué qu'il n'existe pas d'égalité dans la nature, qu'il ne peut y avoir de liberté, que la nature elle-même a établi l'inégalité des esprits, des caractères et des intelligences, en soumettant tout à ses lois ; ils ne se sont pas aperçus que notre politique les a lancés hors de leur vie coutumière, dans la voie qui aboutit à notre gouvernement. Pourvu qu'il soit initié à la politique, même un imbécile peut gouverner, tandis qu'un non initié, fût-il un génie, se perdra dans les voies que nous indiquons.
21
C'est sur ce principe que fut établi le gouvernement dynastique de nos rois, le fils étant initié par son père aux secrets de la politique, secrets que personne ne devait pénétrer. Les goyim ont perdu le sens de cette transmission héréditaire du pouvoir, et cette perte contribua au succès de notre cause.
22
Notre appel : « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, grâce à nos agents aveugles, des légions entières qui portèrent nos bannières avec enthousiasme. Cependant ces mots étaient des vers qui rongeaient la prospérité des goyim, en détruisant partout la paix, la tranquillité, la solidarité de par l’obéissance aux lois, qui sape tous les fondements de leurs États. Vous verrez plus tard que c'est précisément cela qui contribua au triomphe de notre système de conquête pacifique du monde. Nous pûmes alors obtenir l’abolition des privilèges, essence même de l'aristocratie des goyim, aristocratie qui était le rempart naturel des peuples et des patries contre notre action.
23
Sur ses ruines nous avons élevé notre aristocratie de la science et de la richesse.
24
Notre triomphe nous fut facilité par le fait que dans nos rapports avec les hommes dont nous avions besoin, nous sûmes toujours toucher les cordes sensibles de la nature humaine : le calcul, l'avidité, l'insatiabilité des besoins matériels. Chacune de ces faiblesses humaines, prise à part, est capable de détruire toute initiative personnelle, en mettant les hommes à la disposition de celui qui achète leur activité.
25
La notion abstraite de liberté permit de convaincre les foules que leur gouvernement n'est que le gérant du propriétaire du pays, c'est-à-dire du peuple, et qu'on peut changer de gérant comme on change des gants usés. L'amovibilité des représentants du peuple les mettaient à notre disposition, elle les rendait dépendants de notre choix. 
La genèse de Protocoles
Les « Protocoles des Sages de Sion » sont la consignation écrite de conférences faites à Paris, en trois séances, et groupés en vingt-quatre parties consacrées au programme politique, économique et financier de l’établissement de l’hégémonie mondiale juive.
Jusqu’à la fin de la Grande Guerre, les Protocoles étaient inconnus en dehors de la Russie, car les versions originales en français ont toutes disparu comme par miracle. 
La situation commença seulement à devenir gênante à partir de fin 1919, époque où des traductions des Protocoles furent mises en vente en Allemagne. D’autres traductions suivirent en 1920 en Amérique du Nord et en Angleterre. La première édition anglaise, qui parut à Londres sous le titre « The Jewish Peril, Protocols of the Learned Elders of Zion ». (Le péril juif, Protocoles des Sages de Sion), attira l’attention du « Times », qui prit position dans son numéro du 8 mai 1920). On peut y lire entre autres : « Le « Times » n’a pas encore analysé ce curieux petit livre. Mais sa diffusion augmente de plus en plus, sa lecture est faite pour inquiéter ceux qui savent réfléchir. Remarquons que certains traits essentiels du prétendu programme juif offrent une analogie troublante avec les événements actuels... Que sont donc en réalité ces Protocoles ? Sont-ils authentiques ? Et si oui : quelle Assemblée malveillante a-t-elle forgé ces plans ? S’agit-il d’un faux ?? Si oui, comment expliquer cette note prophétique et lugubre, ces prédictions qui sont, soit partiellement réalisées, soit en cours de réalisation ?... De telles questions ne peuvent être éludées par un simple haussement d’épaules... Une enquête impartiale s’impose... Si l’on en juge d’après le texte, il semble que les Protocoles aient été écrits par des Juifs et pour des Juifs»

Dans les écrits, taxés par la presse aux ordres d’antisémite, on a souvent fait valoir – et cela pour démontrer l’authenticité des Protocoles – que la politique juive se fait en tous points selon les directives et les principes qui s’y trouvent énoncés. Ceci était écrit  il y a un siècle, mais cela reste toujours vrai. Déjà, ce livre n'est fondamentalement pas contredit par les premiers des historiens, ceux de l'antiquité. A commencer par Tacite, qui écrit à propos de la prise de Jérusalem par Titus en 70 (Annales V, III) « on entendit une voix surhumaine crier : « Les dieux s'en vont ! » Et en même temps il y eut un grand mouvement comme celui d'un départ. Peu de Juifs interprétaient ces prodiges dans le sens de la crainte ; plus nombreux étaient  ceux qui avaient l'intime conviction qu'il fallait croire à ce que contenaient les livres antiques de leurs prêtres : il y était dit que précisément en ce temps-là l'Orient prévaudrait et que les gens partis de Judée deviendraient les maîtres du monde. »
Donc, les Protocoles ne seraient qu’une énième illustration de l'antique volonté des juifs de devenir maîtres du monde. Cependant, ils sont particulièrement fiables dans la mesure où les historiens modernes n'ont jamais fait que trouver des confirmations, tant archéologiques que philologiques; de la pertinence du propos de ces deux grands historiens antiques que sont Hérodote et Tacite. A lui seul, ce récit de Tacite devrait inciter tout un chacun à ne pas exclure l'hypothèse, qu'aujourd'hui comme hier, les « prêtres » des juifs veuillent dominer le monde, le soumettre à leur hégémonie.
Cette coïncidence a servi de point de départ à de nombreuses publications. Alfred Rosenberg en fait une étude très approfondie dans son livre « Les Protocoles des Sages de Sion et la politique Mondiale Juive » (Munich. Éditions Hoheneichen). Rosenberg conclut par la remarque très juste : «Les thèses et les documents que nous venons de citer ne laissent pas subsister le moindre doute sur l’analogie de pensée qui existe entre les Protocoles et, les autres écrits juifs. La politique actuelle d’Israël et des divers lobbies juifs est conforme dans tous ses détails aux citations et aux plans conçus et exposés dans les protocoles. »
La conception des Protocoles concorde en outre avec les paroles des prophètes qui promettent l’hégémonie mondiale à Israël : avec les doctrines des Talmudistes et celles des Cabalistes.
Leur authenticité a même été reconnue par des Juifs ; en particulier par l’écrivain autrichien Arthur Trebisch. Juif cent pour cent mais de tendance antisioniste. Dans son ouvrage principal « L’Esprit allemand ou le Judaïsme » (Vienne. 1921). Il écrit au sujet des Protocoles: « On ne peut avoir le moindre doute sur l’authenticité du texte du livre « Les sages de Sion ». Celui qui, comme l’auteur (c’est-à-dire Trebitsch) a su pressentir dans les buts et les intentions de toute notre vie économique, politique, et spirituelle les idées exposées dans ces documents secrets peut garantir avec certitude qu’il s’agit bien là de déclarations authentiques, portantl’empreinte de l’esprit souple des Juifs qui aspirent à l’hégémonie mondiale ; si authentiques et si vraies que jamais aucun cerveau goy – même si la haine antisémite le poussait à la falsification et à la calomnie – ne serait capable de concevoir en aucune façon ces méthodes de lutte, ces plans, ces ruses et ces duperies. » (Page 74).
Il écrit plus loin : « Dans ce livre, le plus précieux de tous, le peuple allemand a enfin tous les arguments nécessaires pour dissiper les doutes et les scrupules une fois pour toutes... Tous ceux qui savent réfléchir doivent lire ce livre, l’étudier et le diffuser le plus possible... Car à présent nous tenons entre nos mains ce qu’aucune roublardise, aucun démenti, aucun mensonge stupide et impertinent ne nous arrachera : le plan nettement tracé, élaboré depuis des siècles dans un même esprit, le plan visant à l’anéantissement de toute vie indépendante des peuples en vue de l’établissement de l’hégémonie mondiale sioniste éternelle sur les ruines des systèmes d’État de tous les autres peuples et races ! » (Page 386).
Dans pareil cas, la recherche de l’identité de l’auteur des Protocoles devient un problème de second plan, car le texte du document prouve suffisamment qu’aucun cerveau goy au monde n’aurait été capable d’élaborer un tel programme.
-----------------------------------------------------------
Les protocoles de Sion sous-estiment l’horrible vérité
par Francis (henrymakow.com)
"Parler de conspirations juives sans discuter de pouvoirs magiques et occultes, c'est comme parler des dangers posés par les vipères sans mentionner le venin et ses effets sur le corps humain, 
ou parler des épidémies sans parler de germes
".
La réalité des Juifs et des Sionistes est cent fois pire que celle décrite par les Protocoles. Les protocoles, bien que vraisemblables quant à la plupart de ce qu'ils décrivent, sont un  simple euphémisme [1] comparativement à ce qui s'est réellement passé. C’est un peu comme Jules Verne qui a anticipé l’avènement de nombreuses choses modernes mais n’a pas prévu par exemple la bombe atomique. La vraie chose est trop monstrueuse pour ne pas se mettre en rogne rien qu’en écrivant à son sujet.
Voici quelques-uns des graves euphémismes des Protocoles:
1) Aucune mention n'est faite de la magie noire et de la sorcellerie, qui sont l’alpha et l’oméga du phénomène juif, dont le financement de la dette et l'usure ne sont qu'une pointe d'iceberg.
2) Aucune mention n'est faite de la Kabbale. Comme je vous l'ai dit, vous ne pouvez pas comprendre un livre comme le Talmud si vous le considérez comme étant une simple religion, mais pervertie et inversée: si vous le lisez comme ungrimoire, [un livre de sorts magiques et d'invocations], alors vous commencez à en saisir le L'essentiel.
Le judaïsme n'est pas une simple image inversée du christianisme comme on nous le dit, ni une marque de christianisme réservée à quelques heureux élus.
3) On ne mentionne pas le sacrifice des enfants, qui est aussi central pour le phénomène juif, que l'eucharistie l’est pour christianisme traditionnel et sans lequel aucun mouvement politique décisif quelconque ne peut être accompli par l'entité juive, d'où les sanctions les plus graves qui ont été transformées en loi dans l'ensemble du monde moderne en ce qui concerne le «meurtre rituel», même beaucoup plus grave que ceux qui sont infligés aux négateurs de l'Holocauste. La reconnaissance du meurtre rituel d’enfants par les juifs est beaucoup plus importante à discuter que de nier le caractère sacré de l'Holocauste [2].
4) Aucune mention n'est faite par les Protocoles des progrès technologiques dont bénéficient les Juifs notamment en matière de médias et d'électronique. Les protocoles décrivent un monde dans lequel les technologies ne semblent jamais dépasser la France de 1870 ou la Russie de 1910. La communication instantanée à l'échelle de la planète n'est pas mentionnée, de même le cinéma n'est pas mentionné malgré le fait qu'il a déjà été inventé au moment de la publication du livre et qu'il sert les juifs de manière décisive, à travers Hollywood et d'autres institutions.
5) Le livre ne fait aucune mention spéciale des États-Unis, en dépit du fait que les pères fondateurs américains étaient tous des sionistes, bien que le pays ait été explicitement fondé sur le fait que cet « Israël du Nouveau-Monde » soit construit comme un outil pour la reconstruction d’Israël du Vieux Monde proprement: la doctrine du Destin manifeste américain, déjà esquissée dans les œuvres de Francis Bacon.
6) En ce qui concerne la Russie, à qui on devait infliger à un autre gouvernement d'inspiration juive et sioniste capable de séduire le monde par ses mensonges, c'est une omission sérieuse. Les protocoles sont écrits comme si la scène principale de leurs méfaits ne cesserait jamais d'être l'Europe.
7) Le livre ne fait aucune mention de l'état d'Israël (même s'il mentionne le roi des Juifs) ni des musulmans comme une force d'une importance primordiale: vous avez l'impression qu'un futur roi des Juifs régnerait à partir de Pologne ou Lituanie.
8) Aucune mention n'est faite de contrôle climatique: les Juifs de rang supérieur ont toujours été de terribles experts. Toutes les révolutions du passé se sont passées par le contrôle du climat ainsi que de la masse monétaire.
9) Aucune mention n'est faite du contrôle direct de la foule à travers les infrarouges utilisés comme arme, ce qui peut être utilisé avec une simple batterie si vous savez comment.
10) Aucune mention n'est faite de la relation très gênante entre les juifs et le monde noir-africain, qui dépasse largement l'implication juive dans l'esclavage noir et la vente des esclaves, qui était l’apanage exclusif des juifs en Afrique du Nord et au Moyen-Orient durant plusieurs siècles. Ce trafic d’esclaves par les juifs n’a cessé que lorsque les Européens ont pris la relève pour la construction de l’Israël du Nouveau Monde : les États-Unis.
11) On ne mentionne pas la contre-hiérarchie de la sorcellerie dans le monde entier comme étant dirigée par les Juifs et utilisée par eux comme principal relais éternel des Juifs pour maintenir l'humanité sous contrôle juif.
12) Le féminisme est très peu mentionné à part l'aspect banal de la démoralisation des peuples par l'immoralité et la débauche. La réalité est que toutes les sciences occultes sont depuis des temps immémoriaux sous contrôle centralisé et que les juifs apparaissent naturellement comme la capacité à les réaliser devient un trait hérité.
13) Le mécanisme magique de la dette d’argent n'est jamais discuté, seul l'endettement juridique est mentionné. Cela est parfaitement ridicule car, en l'absence d'un tel mécanisme magique, la révolte militaire contre les débiteurs serait très facile.
14) On ne mentionne pas le fait que l'Empire romain occidental s'est effondré sous l'influence juive et que les âges sombres qui suivraient étaient un Temps où ils se sont sentis les plus triomphants, pas forcés de rester en sous-sol comme l'histoire officielle l'aime à dire.
15) On ne mentionne pas l'Inde, bien que la Compagnie des Indes orientales ait été une société juive, et non pas anglaise, bien que deux chapitres des Protocoles semblent être une simple copie des passages de Sri L'Arthashastra de Kautilya (le traité hindou de la Science géopolitique, en comparaison duquel Machiavel ressemble à un garçon de chœur) au point de mentionner le dieu hindou Vishnu.
Les protocoles sont authentiques mais d'une manière très secondaire. La vraie conspiration est trop monstrueuse pour être décrite par un tel livre.
Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Archives
Publicité