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Abnormal Report
4 février 2018

Pasqua: pour moi un jeune musulman qui prie est plus dangereux que celui qui vends de la drogue car il est difficile à tuer !

 

drahi

 

 

 

 

Pasqua: << Pour moi un jeune musulman de 18 ans qui prie est plus dangereux pour le sionisme que celui qui vends de la drogue car il est plus difficile à tuer >> !

Ainsi parlait ouvertement Charles Pasqua sur comment tuer les jeunes mâles des minorités en France comme les musulmans les noirs ou les gitans grâce au trafic de drogue et à la création de guerres des gangs sur le modèle américain!

  Charles Pasqua était un ancien barbouze spécialiste du terrorisme sous fausse bannière et réseaux Foccard  OAS et SDECE la main rouge; l'attentat du Ranbow warrior Khalid Kelkal, les GIA,le MAK et les révoltes kabyles, réseaux gladio, et la création d'un groupe terroriste pour répondre au terrorisme basque et catalan Ipa Retarac qui avait été crée pour répliquer coup pour coup au terrosrisme basque, il aurait organisé le trafic de drogue avec la french connection corse et aurait exporté la française des jeux et les hypermarchés en Afrique et aurait institué les contrôles de bagages suite au détournement de l'avion d'Air France à Alger-Paris et l'explosion des entreprises de sécurité ! Il touchait aussi des valises de billets des généraux sionistes en Algérie !

 

L’indépendance algérienne ne passait pas dans certaines sphères, notamment une partie de la droite nouvellement arrivée au pouvoir, dont certains œuvraient à liquider les années gaullistes, celles qui avaient permis la fin de l’Algérie française.

Une excellente nouvelle revue, dont le premier numéro vient de paraître, Sang-froid, rappelle cette période dans un article documenté titré «Terrorisme d’Etat : la guerre secrète de la France contre l’Algérie», signé Philippe Lobjois et Khaled Melhaa. L’article situe les responsabilités parmi les Services secrets avec l’aval de l’Etat qui a permis le recyclage d’officines.

Ainsi, d’anciens responsables des Services citent nommément «les DOP, les détachements opérationnels de protection». «C’étaient les ‘tortureurs’ officiels. Ils étaient appelés sur le terrain pour faire parler les prisonniers. A la fin de la guerre, ils ont été rapatriés (…). Après huit ans passés à torturer, il est difficile de se réintégrer. Comme ils dépendaient du Renseignement, on les a réintroduits au Sdece où ils ont continué leur guerre mais avec d’autres moyens et en utilisant des paravents».

Les auteurs apportent des éléments probants en remontant le temps : «Le 10 avril 1975, le président français marche sur le tapis rouge de sa descente d’avion à Alger. Il veut améliorer les relations (…) et tirer un trait sur le passé. Il y a du travail. En 1971, Alger a nationalisé le pétrole, les deux pays s’opposent sur le Sahara occidental et depuis deux ans un mystérieux groupe d’extrême droite, le groupe Charles Martel, terrorise la communauté algérienne.

Le 14 décembre 1973, une bombe explose au siège du consulat d’Algérie à Marseille. Le bilan est lourd : 4 morts et 23 blessés sont dénombrés (…). Puis, le 2 mars 1975, un double attentat souffle les bureaux d’Air Algérie à Lyon et à Toulouse.»
Sang-froid précise du reste que le début de la série visant la communauté algérienne date de mars 1969. Quelques mois après l’accord franco-algérien de décembre 1968 relatif à la circulation, à l’emploi et au séjour des ressortissants algériens et de leurs familles.

L’ALGÉRIE, CIBLE DES ATTAQUES D’UNE «SAINTE ALLIANCE»

Au début des années 1970, la capitale algérienne, où sont acclamés les présidents Giscard d’Estaing et Boumediène, est devenue «le centre des mouvements révolutionnaires de la planète (…). Groupes indépendantistes, mouvements de libération, tout ce que le monde compte en guérillas armées s’y retrouvent.

Accueillis à bras ouverts, ces ‘frères’ y reçoivent aide, conseils et même financement».

Dans un contexte mondial marqué par l’anticommunisme, est-ce pour cela qu’on veut s’en prendre à l’Algérie «socialiste» ? «Le jour de l’arrivée du président français (à Alger), une bombe explose à Paris devant le consulat d’Algérie : un attentat signé, une nouvelle fois, par le groupe Charles Martel afin de protester ‘‘contre la visite du président français en Algérie’’, selon le communiqué de revendication. Au lieu de se renforcer, les relations se tendent.

Paris réduit ses achats de pétrole en provenance d’Algérie et, huit mois après la visite de Giscard, Alger nationalise les dernières sociétés françaises. En France, la riposte est moins visible, plus secrète. A cette époque, le Service de renseignement extérieur (SDECE) décide de s’allier avec son homologue américain, la CIA, et d’autres services secrets du ‘monde libre’ pour contrer la poussée communiste.

Et l’Algérie devient rapidement la cible des attaques de cette ‘sainte alliance’.»

Toute l’année 1975, les attentats se multiplient : «Le 3 février, un attentat a lieu contre le bureau d’Air Algérie à Lyon. Dans la nuit du 26 au 27 juillet, des attentats sont commis contre les locaux de l’Amicale des Algériens en Europe à Paris, Lyon et Roubaix. Le 18 août, trois actions similaires à Rome, Londres et Bonn visent les ambassades d’Algérie. Dans la nuit du 13 au 14 septembre 1975, on enregistre un attentat contre le siège de l’Amicale des Algériens en Europe à Strasbourg.

Le 4 novembre, nouvelle attaque contre le consulat d’Algérie à Nice.»
La guerre secrète continue en 1976 avec quatre bombes le 3 janvier, dont une explose à El Moudjahid, visant l’imprimerie. «Cette fois-ci, l’attentat est revendiqué officiellement par un groupe, les Soldats de l’opposition algérienne (SOA)», rappelle Sang-froid, ce même groupe auquel on attribue l’attentat de 1973 contre l’administration algérienne à Marseille.

Ce groupuscule violent abuse une poignée de pseudo- militants algériens prétendant être une «opposition algérienne qui vient de donner le signal de départ à la libération de notre pays de la dictature du président Boumediène et va porter la lutte sur le territoire algérien».

Résidu pour partie de revanchards de l’Organisation Action Secrète (OAS), le SOA se fait fort de faire débarquer en Algérie des milliers d’hommes pour renverser le régime politique, déstabiliser le pays afin de revenir à une hypothétique situation insurrectionnelle.

Les enquêteurs de Sang-froid ont retrouvé un des acteurs de cette histoire : André-Noël Cherid. Pied-noir, ancien soutien du Front Algérie française, il quitte l’Algérie après l’indépendance. Jusqu’à ce qu’il soit approché par le SOA qui l’incite à «partir à Alger pour aider les opposants locaux et retrouver les traces des milliers de disparus français toujours prisonniers du régime algérien». Il doit aussi «remettre des tracts appelant les populations de Kabylie à se soulever».

Le chef de commando est un certain Mohamed Medjeber. Le SOA est alors dirigé par Mouloud Kaouane, agent des Services secrets français depuis 1959, dont l’une des missions était de «noyauter la Fédération de France du FLN. Démasqué et condamné à mort, il échappe de peu à un attentat.

En 1965, trois ans après l’indépendance, l’ex-directeur technique du SDECE, le colonel Fourcaud, propose à Mouloud Kaouane de rentrer en Algérie afin d’implanter un mouvement d’opposition, une sorte de maquis anti-FLN. Mouloud Kaouane sera arrêté peu après son arrivée, condamné et mis en prison. Libéré au bout de quelques années, il se réfugie à Lisbonne.

C’est là qu’il fait la connaissance d’Yves Guilloux, alias colonel Laurent ou Guérin-Sérac». C’est ce dernier qui chapeautera les attentats qui continueront jusqu’au début 1976 avec l’attaque de l’Office de tourisme algérien à Paris.

Pour camoufler cette organisation criminelle naissante, une agence de presse est créée en 1966. Elle s’appelle Aginter Press. Basée à Lisbonne, elle devient une antenne du Sdece sur place, écrit Sang-froid.

Cinq jours après l’attentat contre El Moudjahid, les terroristes présumés sont arrêtés dans le bateau qui devait les ramener en Espagne. «Plusieurs responsables des Services de sécurité algériens affirment que c’est un député français, ami politique de Giscard, qui aurait donné l’alerte. Il s’appelle Jean de Broglie.» Signataire des Accords d’Evian en 1962 et responsable des relations entre les deux pays, il est resté très proche de l’Algérie. Son geste ne lui portera pas chance, il est assassiné le 24 décembre 1976 à Paris, en bas de chez lui.

«Quelques heures plus tard, un communiqué tombe. Il est signé par le groupe Charles Martel qui explique ‘‘avoir liquidé le prince de Broglie en tant que responsable de l’invasion de la France par les hordes africaines’’. Pourtant, sans explication, Michel Poniatowski, le ministre de l’Intérieur de l’époque, écarte cette piste.»

Ainsi, entre attentats réussis et tentatives échouées, «la guerre silencieuse contre Alger se poursuivra jusqu’à la fin des années 1970. La mort du président algérien Houari Boumediène en 1978 et l’élection de François Mitterrand trois ans plus tard marqueront le début d’une nouvelle ère».

Le Sdece est dissous, remplacé par la DGSE. Un accord entre gouvernements permettra la libération à Alger de Cherid, qui sera «récupéré» à Paris par deux agents secrets le faisant quitter l’aéroport d’Orly discrètement avec la consigne de se taire. Deux mois après l’entretien avec Sang-froid, il est retrouvé sans vie, victime d’une crise cardiaque dans sa voiture.
Walid Mebarek

  Aux états unis Malcolm X déjà dénonçait le génocide des jeunes noirs par le gouvernement américain dans chaque quartier noir avait un armurier blanc juif ou protestant qui s'installait pour vendre des armes et un autre blanc pour vendre de l'alcool! Conscient du complot Malcolm X s'est mis à rejeter la société des blancs qui dès le plus jeune âge voulait exclure du sytème scolaire les jeunes garçons noirs pour les jeter dans les bras de la délinquance et des gangs afin qu'ils s'entretuent ou meurent en prison ! Cette politique fut reprise par le gouvernement américain concernant les immigrants méxicains et hispaniques puis jamaicains pourtan très métissés avec les blancs.En vérité tout le monde sait que les gangs sont crée par la police elle même et tous les gangs sont infiltrés par la CIA! Pablo Escobar du cartel de Médeline était un agent de la CIA utilisé pour destabliser les pays d'Amérique du sud et empêcher leur developpement! L'Angleterre aussi a utilisé la drogue et l'alcool pour mettre à genoux la Chine ! La conquête de l'Amérique par la Virginia Company n'aurait pas pu avoir lieu sans répandre des virus parmis les indiens et sans répandre l'alcoolisme et les armes! Il suffisait à la Virginia Company de tuer un homme d'une tribu indienne pour faire accuser une tribu rivale, alors à la Virginia Company distribuerait gracieusement des armes aux deux camps pour qu'ils s'entretuent afin de récupérer les terres une fois que tous le monde serait morts de ces guerres fratricides entre indiens alcolisés et drogués et le reste les femmes et enfants mouraient de famines organisée et empoisonnement des puits et points d'eau !

 

  Le Vatican avait aussi utilisé cette technique héritée de l'empire romain ils ont répandu l'alcoolisme et la fornication pour détacher de l'islam les populations musulmanes du Sud de l'Europe et des îles de Méditerranée de la France, Suisse, Autriche; Yougoslavie, Pologne, Russie, Finlande.Petit à petit les musulmans espagnols et italiens, français et suisses ou autrichiens ou polonais ou russes ont été divisés en petit états rivaux qui s'entretuaient puis le Vatican et l'église catholique ont répandu la peste noire et ont envoyé des espions pour empoisonner les puits ! En quelques siècles les populations musulmanes espagnole et italienne françaises ou suisses ou polonaises ou yougoslaves ou finlandaises avaient presque disparues puis les survivants ont été déportés, les femmes violées et les enfants mis en esclavage dans les monastères pour produire du vin et corrompre davantage le monde musulman !

 

  Plus tard la France as utilisée la guerre contre-insurrectionelle en Algérie, des harkis ou goumiers marocains allaient dans les fermes appartenant à des musulmans pour réclamer de l'argent du bétail et de la nourriture ou l'or des familles avec des menaces de mort, si les paysans donnaient quoi que ce soit ils étaient ensuite rackettés et menacés de mort  par l'armée française pour complicité de terrorisme si ils donnaient quoi que ce soit aux français ils étaient ensuite menacés de mort par les faux fellagas qui les accusaient de collaborer avec l'ennemi français !

 Ainsi la population musulmane algérienne se retrouvait entre le marteau et l'enclume.Aussi Maurice Papon qui avait l'habitude de tuer des juifs et de voler leur or, les oeuvres d'art et leur biens avait trouvé le paradis en Algérie! Il a pu piller ainsi des millions de paysans musulmans brûlant leurs récoltes; volant leur or leur stocks de blé et leur bétail pour nourrir l'armée française qui devait les voler et les tuer! Maurice Papon a ainsi volé des fermes entières tuant leurs propriétaires ou des commerces avec l'aide de ses milices avec Nezzar et Enrico Macias et des harkis! Des villages entiers ont été rasés et les populations volées et déportées vers les grandes villes pour donner leurs terres aux harkis qui servaient dans les milices de Papon et qui rançonnaient les commerçants des villes comme Constantine ou Annaba et fermiers musulmans détournant l'équivalent de milliards de dollars en quelques années; Mitterand aussi a pu ainsi s'enrichir en volant des paysans algériens lui qui était un ami intime du nazi Maurice Papon ! Lepen lui préferait casser les dents en or des indigènes avec un marteau pour se constituer un petit pactole ! Ainsi le présentateur de télévision Jean Pierre Foucault avait longtemps accusé les musulmans du FLN d'avoir tué son père riche commerçant juif en Algérie et en Provence pour enfin de compte après avoir enquêté en Algérie s'épercevoir que son père a sans doute été tué par des miliciens de Papon qui le racketaient !

 Maurice Papon avec ses amis harkis organisait des attentats à la bombe dans des marchés pour les attribuer au FLN ce qui lui permettait en tant que préfet de Constantine d'organiser des opérations de police et des perquisitions au domicile des musulmans de ces villages il volait ainsi l'or des femmes; puis le bétail puis enfin il faisait brûler les fermes pour chasser les familles vers les villes et donner les terres à ses miliciens harkis! Donc Maurice Papon organisait des attentats à la bombe contre des colons et des cafés juifs à Constantine afin de lui permettre de diviser la population algérienne et d'exacerber la haine entre les communautés et justifier son pillage des uns et des autres !Il a pratiqué donc les attentats sous fausses bannières peut être avec la complicité de Mitterand et pour avoir plus de fonds publics de la métropole, plus de policiers eet plus de soldats et de miliciens. Il était un pompier pyromane ce que font tous les bons capitalistes pour s'accapparer les biens de ce monde! Les généraux et politiciens américains ont repris ces méthodes en Syrie et en Irak et en Afghanistan pour s'enrichir mais au lieu des harkis et des milices de Papon ils ont Daesh Isis et Al Quaida et Boko haram et Aqmi qui avaient pour ancêtre les milices de Papon et les harkis ou goumiers marocains et sénégalais !

 

 Plus tard la France inventât la bleuite, cela consistait à faire courir des rumeurs de trahison d'un musulman afin de le faire tuer par d'autres musulmans puis de voler sa ferme et son bétail!

 

Tewfik et la « machine de mort »

Le général « Tewfik » Médiène a été le principal organisateur de cette stratégie de guerre contre-insurrectionnelle, qui a fait des dizaines de milliers de morts et de disparitions forcées de 1992 à 2000 (une stratégie directement inspirée de la « doctrine de guerre révolutionnaire », ou « DGR », théorisée et mise en œuvre par l’armée française contre le peuple algérien à partir de 1954, lors de la guerre de libération engagée par les nationalistes du FLN6). Autant de crimes contre l’humanité, selon la définition donnée par les statuts de la Cour pénale internationale (CPI). Des centaines d’officiers supérieurs des forces spéciales de l’ANP et du DRS en ont alors été les acteurs ou les complices, tandis que des milliers de soldats du rang n’avaient d’autre choix que de faire le « sale boulot » (comme avant eux les soldats français mobilisés en Algérie pour « casser le bougnoule »). Depuis 1997, Algeria-Watch s’efforce de documenter leurs exactions, dans la perspective d’actions judiciaires qui permettront à leurs victimes de faire reconnaître leurs droits.

Après une carrière parfois chaotique après l’indépendance au sein de la Sécurité militaire, la police politique du régime, Tewfik a été promu à sa tête en 1990 (quand elle est devenue « DRS »), à l’initiative du général Larbi Belkheir qui était alors l’« homme fort » du régime. Déjà considérables, les pouvoirs du DRS et de son chef vont s’étendre encore à partir du coup d’État militaire du 11 janvier 1992, dont les promoteurs déposent le président Chadli Bendjedid et annulent le second tour des élections législatives qui allaient être remportées par le Front islamique du salut (FIS). Avec son adjoint Smaïl Lamari, dit « Smaïn » (1941-2007)7, Tewfik sera ensuite le principal concepteur et organisateur d’une véritable « machine de mort » clandestine visant à « éradiquer » toute opposition – islamiste ou non –, par tous les moyens : torture généralisée, disparitions forcées et exécutions extrajudiciaires par milliers, manipulations des groupes armés se réclamant de l’islam, déplacements forcés de population, élimination systématique des officiers en désaccord avec cette politique… Une entreprise conduite par ces deux hommes en étroite concertation avec les autres généraux « janviéristes » – le putsch a eu lieu en janvier 1992 – à la tête du gouvernement, de l’Armée nationale populaire (ANP) ou du DRS : Larbi Belkheir, Khaled Nezzar, Abdelmalek Guenaïzia, Mohammed Lamari, Mohammed Touati (ainsi que de leurs complices civils). La principale motivation de ces hommes n’était aucunement idéologique ou « républicaine » : il s’agissait pour eux de préserver à tout prix les circuits de corruption et d’enrichissement qu’ils avaient construits à leur profit depuis le début des années 1980, en éliminant ou en retournant tous ceux qui auraient pu les mettre en cause – les islamistes au premier chef – et leurs partisans, par un véritable « terrorisme d’État » – une politique globalement avalisée par les gouvernements français successifs (voire activement soutenue par certains d’entre eux).

Depuis plus de quinze ans, les modes d’action de ce terrorisme d’État, le détail de ses exactions et les noms de leurs responsables ont été largement et rigoureusement documentés par les enquêtes d’ONG nationales et internationales de défense des droits humains, les témoignages d’officiers dissidents et de familles des victimes, ainsi que par des enquêtes de journalistes indépendants8. Ces publications ont attesté que la « guerre contre les civils » des années 1990 en Algérie s’inscrit bien dans le sinistre cortège des tueries d’État industrialisées recensées depuis la Seconde Guerre mondiale : celles où, en dehors des guerres coloniales et des guerres interétatiques, les victimes nationales se comptent à chaque fois en centaines de milliers (Indonésie, Chine, Cambodge, Guatemala, Colombie, Soudan, Congo-Kinshasa, Sri Lanka, Rwanda, Tchétchénie, pour ne citer que les principales).

Certains des crimes contre l’humanité commis alors à l’initiative de Tewfik Médiène et de ses collègues ont notamment été révélés en 2001 par le lieutenant dissident Habib Souaïdia, dans son livre La Sale Guerre, où il relatait les atrocités dont il avait été le témoin9. Puis par un autre officier dissident en 2003, le colonel Mohammed Samraoui, qui a détaillé dans sa Chronique des années de sang les modalités de l’instrumentalisation de la violence « islamiste » par les chefs du DRS et de l’ANP10. En octobre 2003, Algeria-Watch et le militant algérien Salah-Eddine Sidhoum ont publié le rapport Algérie, la machine de mort, qui établissait en détail, témoignages à l’appui, le fonctionnement de l’appareil répressif largement clandestin mis en œuvre par ces derniers11. En 2004, dans un livre de référence, Françalgérie. Crimes et mensonges d’États, les journalistes Lounis Aggoun et Jean-Baptiste Rivoire ont très précisément synthétisé et mis en perspective l’ensemble des informations alors disponibles permettant de comprendre la mise en place de cette « machine de mort », ainsi que la complicité des autorités françaises dans ce processus12. Un travail complété et détaillé, la même année, par le Comité justice pour l’Algérie, organisateur à Paris de la 32e session du Tribunal permanent des peuples consacré aux « Violations des droits de l’homme en Algérie, 1992-200413 ». Et depuis lors, Algeria-Watch n’a cessé de documenter, par de multiples études et communiqués, le rôle du DRS et de son chef Tewfik dans ce terrorisme d’État, toujours actif en 2015, certes sous de nouvelles formes.

Mais force est d’admettre que toutes ces informations, pourtant assez facilement vérifiables, n’ont guère été reprises à l’époque par les médias occidentaux, notamment français, que la plupart ont alors ignorées. D’où leur perplexité quand ils ont dû, dix ans plus tard, tenter d’expliquer les raisons du départ de « Tewfik », parfois qualifié de « dieu de l’Algérie » dans la presse algérienne elle-même. Ces médias ont en effet été les premières cibles du dispositif sophistiqué de désinformation déployé dans les années 1990 par le chef du DRS et ses collègues, visant à cacher la réalité du terrorisme d’État qu’ils mettaient en œuvre : leur pari étant que l’ennemi désigné par eux étant le « barbare islamiste », les médias français et occidentaux fermeraient les yeux sur la barbarie d’État mise en œuvre pour l’« éradiquer ».

Un pari malheureusement gagné pour l’essentiel, comme l’atteste entre mille exemples le silence qui a accueilli en France la publication en 2008 du bouleversant et révélateur témoignage posthume du journaliste algérien Saïd Mekbel, assassiné le 3 décembre 1994 par des « islamistes »14. Dans ces entretiens accordés à l’automne 1993 à la journaliste allemande Monika Borgmann, l’éditorialiste du quotidien Le Matin – où il soutenait pourtant avec constance la politique d’« éradication » des islamistes poursuivie par les généraux janviéristes – expliquait pourquoi il était convaincu que les meurtres d’intellectuels laïques qui se multipliaient depuis quelques mois, attribués aux GIA (ou revendiqués par eux), étaient en réalité commandités par le général « Tewfik » Médiène : il s’agissait selon lui d’un « terrorisme pédagogique », visant à « réveiller la société civile »15. Et il disait sa conviction que s’il était tué à son tour, ce serait sur son ordre.

Tartag, le « monstre » de Ben-Aknoun

Ces rappels – évidemment trop succincts – de la carrière criminelle du général de corps d’armée Mohammed Médiène étaient nécessaires pour expliquer la quasi-sidération qui a suivi, dans les médias occidentaux, l’annonce de son remplacement en septembre 2015 à la tête du DRS par le général-major à la retraite Athmane « Bachir » Tartag, qui fut longtemps l’un des pires exécuteurs de sa « machine de mort ».

De 1990 à mars 2001, le commandant (puis colonel) Tartag a dirigé le Centre principal militaire d’investigation (CPMI, situé à Ben-Aknoun, dans la banlieue d’Alger), une unité dépendant de la Direction centrale de sécurité de l’armée (DCSA), l’une des principales directions du DRS. Durant toutes ces années-là, la caserne du CPMI a été l’un des pires centres de torture et d’exécutions extrajudiciaires du DRS, comme l’ont documenté depuis de nombreux témoignages16.

Celui de l’ex-colonel du DRS Mohammed Samraoui est à cet égard particulièrement significatif. En juillet 1994, alors qu’il était en poste à l’ambassade d’Algérie en RFA, il rendit visite lors d’un passage à Alger à Bachir Tartag, qui avait été autrefois son subordonné et son ami. Voici comment il a rendu compte de cette visite dans son livre : « C’était vraiment hallucinant ! Lors de mon entretien avec le lieutenant-colonel Tartag, j’ai appris que, dès le début 1992, il avait constitué sur ordre du colonel Kamel Abderrahmane [chef de la DCSA], une unité de “commandos” appelée “unité d’action” qui se chargeait non seulement de l’exécution des suspects, mais également de terroriser les familles d’islamistes dans les quartiers considérés comme leurs fiefs. Selon ses propos, “il coupait le soutien aux intégristes qui ne devaient plus retrouver refuge chez leurs parents”.

« Cette unité était constituée de plusieurs groupes de six à dix éléments accoutrés en tenue “afghane” et portant des barbes d’une dizaine de jours. Au milieu de la nuit, à bord de véhicules civils banalisés, ils se rendaient dans les quartiers “islamistes” comme Cherarba, Les Eucalyptus, Sidi-Moussa, Meftah, etc., pour cibler des familles bien précises, celles des islamistes recherchés. Ils frappaient à la porte en criant : “Ouvrez, nous sommes des moudjahidine.” Dès que la porte s’ouvrait, les occupants étaient tous massacrés. Le lendemain, les quotidiens nationaux attribuaient ces crimes aux islamistes ou à la guerre fratricide déchirant leurs rangs. En 1993 et 1994, le bilan quotidien de ces exactions variait de dix à quarante victimes.

« La justification de ces expéditions punitives contre les “durs de la mouvance islamique” était qu’il s’agissait prétendument d’actions “préventives” visant à éviter que les sympathisants du FIS rejoignent les maquis après avoir été libérés des camps du Sud. Mais il s’agissait surtout de terroriser la population et de se débarrasser des islamistes refusant d’être retournés et qui risquaient de bénéficier de la “complaisance” de la justice. Le lieutenant-colonel Bachir me déclara ainsi : “À quoi bon les remettre à la justice si au bout de trois ou six mois ils sont remis en liberté pour nous harceler de nouveau ? Dès que quelqu’un tombe entre nos mains, il ne risque pas d’aller en prison ! Tu vois, on fait faire des économies à l’État !” Quel cynisme ! Sincèrement, j’étais bouleversé : ce n’était plus le capitaine Bachir que j’avais connu à Constantine, gentil, serviable, éduqué, humain… J’avais en face de moi le lieutenant-colonel Tartag devenu un monstre, un mutant17. »

Dans son livre, Mohammed Samraoui révélera également que Tartag était particulièrement impliqué, dès 1992, dans l’infiltration et les manipulations des premiers groupes armés islamistes, puis dans le pilotage des groupes directement contrôlés par le DRS, comme le Front islamique du djihad armé (FIDA) et le Groupe islamique armé (GIA) de Djamel Zitouni18. Parmi les innombrables horreurs perpétrées par ces « groupes islamiques de l’armée », principalement contre la population civile, il faut très probablement inscrire l’assassinat – revendiqué par le GIA – à Alger, le 3 août 1994, de trois gendarmes et deux fonctionnaires français. En effet, écrivent Lounis Aggoun et Jean-Baptiste Rivoire : « Si l’opération semble bien avoir été exécutée par un groupe armé contrôlé par le DRS, celui de l’“émir” Mahfoud Tadjine, adjoint de Chérif Gousmi et numéro deux du GIA, plusieurs témoins affirment qu’elle fut organisée par le colonel Bachir Tartag, le patron du CPMI de Ben-Aknoun. Aucune enquête n’a été diligentée par Paris sur l’assassinat de ses cinq gendarmes et fonctionnaires, mais toutes les informations disponibles montrent qu’il s’agissait d’une vaste manipulation destinée […] à faire basculer la France dans le camp éradicateur19. »

Fort de ses « états de service », Tartag a poursuivi sa carrière criminelle au sein du DRS, jusqu’à être promu général-major en juillet 2011, juste avant (du moins officiellement) de partir en retraite. Il en a été rappelé par « Tewfik » Médiène en décembre 2011 pour être nommé à la tête de la Direction de la sécurité intérieure du DRS (DSI, qui a remplacé la DCE), la plus importante instance de la police politique. Reste à comprendre maintenant pourquoi, quatre ans plus tard, le premier a remplacé le second.

  Les méthodes de la France n'ont pas changé ! Tout cela pour en venir aux multiples réglements de comptes entre algériens à Marseille, Lyon et Paris ! Beaucoup de haut gradés de police et de la douane ont été impliqués avec des trafics de drogue de la mafia israélienne en France et donc ils sont proches des mafias juives et corses et marocaines! Il est certain que la police française est  infiltrée par la mafia corse et la mafia israélienne mais aussi des espions marocains ou des sayanims d'autres policiers sont proches de l'extrême droite et du FN et de la CIA !

 

   Qui en veut aux agériens de Marseille? Comme d'habitude les harkis dont beaucoup détiennent les mosquées et des bars à Marseille  mais aussi la mafia corse voulant éliminer la concurence, et des policiers proches du Mossad mais aussi le Maroc !

 

   Pourquoi les trafiquants de drogue marocains ne s'entretuent pas et ces réglements de compte ne concernent que des algériens pas les italiens ni les tchéchènes, ni les albanais, ni les tunisiens ni les israéliens ni la mafia russe pourtant très présents dans le trafic de drogue de haut niveau! Pourquoi de petits dealers qui gagnent à peine 400 euros par mois vont s'entretuer mais que ceux qui ramènent des containers de 35 tonnes ne sont ni inquiétés par la police qui organise elle même ce trafic ni les autres vendeurs de drogue?

 

  Néanmoins les trafiquants de drogue marocains s'entretuent beaucoup, non pas en France mais en Hollande et en Belgique! Mais certains réglements de comptes sont très étranges  car ils ne concernent que des familles de rifains opposées au Roi du Maroc! Ainsi dans une petite ville minière belge près de Liège toute une famille de marocains du Rif ont été exterminés un père et ses quatres fils qui tenaient un restaurant, la presse belge a parlé de  réglement de compte entre trafiquants de drogue ou d'éxecution suite à un racket ! Le probléme est que ce père de famille et ses fils avaient un dossier judiciaire vierge seul le père avait été condamné pour détention d'arme illégale car il était menacé de mort par des mafieux marocains certainement des policiers marocains du mossad infiltrés en Belgique!

 

   Pour en revenir aux réglements de comptes à Marseille pourquoi la police n'arrête pas les coupables? La police de Marseille ne veut pas éradiquer le trafic de drogue car Marseille est une ville très pauvre et priver des populations de trafic de drogue pourrait faire exploser la criminalité !

  De nos jours chaque puce gsm contient une puces RFID et chaque voiture aussi; beaucoup de billets de banque en contiennent aussi les cartes d'identité et les permis de conduire et les cartes bancaires donc si la police le voulait elle pourrait facilement trouver les coupables vu que Google Earth enregistre des vidéos depuis ses satellites, certes de jour et si le ciel est dégagé!

 

  Pour avoir une vidéo de ces réglements de comptes il suffirait de donner 350 euros à Google ou l'armée américaine pour peut être avoir des indices ! La police française manque de moyens soit disant pourtant quand le fils de Sarkozy s'est fait volé son scooter ils l'ont retrouvé 24 heures après, mais les autres les sans-dents ce n'est pas grave !

 

    

 

  

 

 

 

    

 

 

 

   

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