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Abnormal Report
13 juillet 2019

Comment les Boutéflikas ont financé la colonisation et le terrorisme sioniste en Palestine ?

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Comment Boutéflika a financé la colonisation et le terrorisme sioniste en Palestine ! Boutéflika a autorisé des banques franco-israélienne à s'installer en Algérie et les as financé en obligeant les algériens à recourir à des emprunts si ils voulaient acheter une voiture neuve cache ! Ainsi impossible d'acheter une voiture neuve cash à 8000 euros non il faut acheter une voiture à crédit dont le prix sera de 12 000 euros soit 4000 euros d'intêrets bancaires payés par les ménages algérien et garantis par l'état algérien en cas d'impayés ! Ainsi en Algérie les voitures d'occasion valent plus cher que les voitures neuves ! Ainsi la BNP et d'autres banques avec les bénéfices en Algérie ont pu financer la construction de colonies israéliennes illagales en Dsijordanie et Palestine occuppées ! Les quatre premières banques françaises et l'assureur Axa financent la colonisation des Territoires palestiniens par Israël via leurs participations dans des banques et des entreprises israéliennes actives dans les colonies, affirme un rapport de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH) publié mercredi. BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale, BPCE et Axa, par leur soutien "persistant" aux banques et entreprises israéliennes impliquées dans les colonies, "contribuent indirectement au maintien et au développement" des colonies, selon l'étude intitulée "Les liaisons dangereuses des banques françaises avec la colonisation israélienne". Des participations financières dans des entreprises qui participent à la colonisation Les cinq grands groupes français gèrent ainsi des"participations financières" ou "détiennent des actions" dans des banques israéliennes, qui constituent un "outil essentiel de la politique de colonisation" en "finançant les constructions", indique ce rapport co­écrit par : Association France-Palestine Solidarité, CCFD-Terre solidaire, CGT, FIDH, AL Haq, Ligue des droits de l'homme, Union syndicale solidaire et Fair Finance France. closevolume_off Elles ont les mêmes rapports avec des entreprises israéliennes "qui fournissent des services vitaux au maintien et au développement des colonies", tels que "la construction d'habitations ou d'usines, la connexion aux réseaux téléphoniques et internet ou encore l'aménagement en équipements de surveillance". Banques et assurance "cherchent le profit, quel que soit le résultat", a dénoncé Maryse Artiguelong, vice-­présidente de la Fédération internationale des droits de l'Homme (FIDH). Il est"triste" de voir qu'elles "se mettent dans une telle illégalité juste pour faire un peu plus d'argent", a-­t-­elle poursuivi. 288 millions d'euros accordés à une entreprise publique israélienne Les Nations unies et la grande majorité de la communauté internationale considèrent comme illégales toutes les colonies israéliennes en Cisjordanie occupée et à Jérusalem­Est annexée. "On veut que les entreprises françaises retirent leur argent des sociétés israéliennes ayant à voir avec les colonies", comme le stipulent des "recommandations" du ministère des Affaires étrangères publiées en 2014, a expliqué Didier Fagart, un membre de l'association France Palestine solidarité, également co­auteure du rapport. Le rapport pointe également le fait que BNP Paribas, Société générale, LCL (filiale du groupe Crédit agricole) et Natixis (filiale du groupe Banques populaires ­ Caisse d'épargne) ont accordé 288 millions d'euros sur la période 2004­-2020 à l'entreprise publique Israel Electric Corporation (IEC) pour l'extension de deux centrales au gaz, alors que l'IEC approvisionne en électricité les colonies en Cisjordanie. "Les banques françaises ne peuvent pas dire qu'elles ne savaient pas", a lancé M. Fagart. "Elles doivent prendre les bonnes décisions." Des fonds de pension néerlandais et luxembourgeois se sont désengagés ces dernières années des cinq banques israéliennes avec lesquelles les banques françaises ont des liens, pour leur implication dans la colonisation. La Danske Bank et la Deutsche Bank Ethical Fund ont mis l'une d'entre elles sur une liste noire, souligne le rapport. Plusieurs voix s'élèvent en Algérie pour accuser ou soupçonner les banques françaises autorisées par Bouteflika de favoriser les fuites de capitaux et les détournements publics, ainsi beaucoup d'algériens se demandent comment des ministres algériens et des hauts fonctionnaires ont pu s'acheter des appartements à Paris de plusieurs millions de francs, comment l'argent a transité vers la France ?  Pour beaucoup d'algériens il est étrange que l'état algérien n'est autorisé que des banques françaises à s'installer en Algérie, pourquoi pas des banques américaines ou chinoises ou luxembourgeoises ? Est ce réellement une ouverture à la concurrence ou une recolonisation ?  Les banques françaises ne coopèrent pas beaucoup pour que le peuple algérien récupère ses biens volés par le clan Bouteflika et pourquoi des ministres ont pu faire transiter de grandes sommes d'argent pour acheter des appartements à Paris sans enquête du fisc français et des banques françaises ?
  

L’Algérie et la France ont signé dimanche 27 Janvier 2019 à Alger une nouvelle convention d’extradition entre les deux pays, dans le cadre de la « modernisation » de leurs accords en matière juridique et judiciaire.

Cette nouvelle convention, signée par le ministre algérien de la Justice Tayeb Louh et son homologue française Nicole Belloubet, remplace un précédent texte datant de 1964 et complète celle sur l’entraide judiciaire en matière pénale, signée en octobre 2016 à Paris.

Améliorer les extraditions

Elle comporte notamment de nouvelles dispositions ou des dispositions modernisées concernant la protection au cours de l’enquête des données à caractère personnel, les demandes d’arrestation provisoires et le transit de personnes extradées vers l’un des deux pays via le territoire de l’autre, ont expliqué les deux ministres.

Une troisième convention, portant sur l’entraide judiciaire en matière civile et commerciale, est en cours de négociations entre Paris et Alger.

« La lutte contre la criminalité, en particulier la criminalité organisée et en particulier le terrorisme, exige une véritable solidarité internationale » et une « coopération judiciaire à même de garantir le respect des principes des droits de l’Homme, des libertés fondamentales et de la diversité des cultures et des civilisations », a déclaré Tayeb Louh.

Cette convention « scelle l’aboutissement de six ans de négociations », a souligné de son côté Nicole Belloubet, expliquant cette durée « par la complexité et sensibilité des questions juridiques soulevées ».

Par cette convention, les deux pays s’engagent à se « livrer réciproquement […] les personnes poursuivies ou condamnées par leurs autorités judiciaires compétentes »pour certaines infractions, indique le ministère algérien de la Justice dans un résumé du texte.

Une convention à ratifier

La Convention, qui doit être ratifiée par les Parlements des deux pays pour entrer en vigueur, rappelle aussi que les deux pays peuvent refuser d’extrader leurs propres ressortissants.

Les discussions ont notamment porté sur « la mise en œuvre des commissions rogatoires émises par les autorités judiciaires des deux pays, l’exécution des décisions judiciaires prononcées par les juridictions des deux pays ainsi que la coopération dans la formation ou le jumelage entre les institutions judiciaires », a indiqué Tayeb Louh.

 Abdelaziz Bouteflika a refusé, depuis son arrivée au pouvoir dans les chars des généraux en 1999, de recevoir le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. En effet, dans un mémo « secret » de l’ambassade US à Alger, le président Bouteflika a déclaré au général William Ward, commandant-en-chef de l’AFRICOM, lors de sa visite à Alger le 25 novembre 2009, que »l’Algérie appuie l’Egypte dans sa position sur Ghaza ». Et d’ajouter: « Si nous étions dans leur position, nous aurions appliqué la même politique » vis-à-vis de Ghaza. « La proximité de l’Egypte avec Ghaza et son environnement politique intérieur lui dictent une telle conduite », a ajouté Bouteflika. Selon Wikileak. Bouteflika en public déclare soutenir le peuple palestinien mais en privé affirme le contraire . Bouteflika est de mère juive marocaine comme Sissi. Décidément, le blocus que l’Egypte imposé à la population de Gaza ne choque pas énormément Abdelaziz Bouteflika. Selon lui L’Algérie aurait accepté de collaborer avec Israël pour asphyxier le Hamas. Abdelaziz Bouteflika justifie la collaboration égyptienne avec Israël en prétextant que “la proximité de l’Égypte avec Gaza et son environnement politique intérieur” lui dicte une telle conduite ! La lecture du câble diplomatique, publié sur Wikileaks, de l’ambassade américaine à Alger révèle la vraie position de Bouteflika sur cette question qui risque de choquer l’opinion publique Algérienne. Rappelons enfin que l’Algérie collabore avec les USA dans la lutte contre le terrorisme. L’officier supérieur américain du Centre de commandement militaire pour l’Afrique n’a pas révélé si l’Algérie va accueillir sur son sol le siège de l’Africom, un projet militaire américain visant à faire barrage à Al-Qaida dans la région du Sahel. Mais certaines sources estiment que les responsables algériens ont fait part de leur volonté de l’accueillir .

 

Ce n’est pas une surprise Boutéflika est un sioniste d’ailleurs les manifestations en Algérie de soutien à la Palestine sont interdites par les autorités. De plus il est interdit aux imams en Algérie de critiquer le colonialisme et le génocide du peuple palestinien.

 

Boutéflika interdit aux imams de prier pour la libération de la Palestine et rémunère des espions pour contrôler les prêches des imams. De plus ses affiches électorales sont bleu Israël hors la couleur bleue n’as rien à voir avec le drapeau algérien.

 

En 1999, alors qu’il venait d’être élu président, Abdelaziz Bouteflika avait fait sa profession de foi vis-à-vis de ce commerce : «Si j’ai un malade qui agonise à la maison, que j’ai besoin d’un médicament, que tous les pharmaciens sont fermés à part l’israélien, je ne sais pas ce que vous faites mais moi, j’achète». Le sioniste Boutéflika oublie que c'est Dieu qui donne la vie ou la mort et non l'israélien !

 

Personne n’est dupe que l’Algérie recherche l’efficacité qui lui impose des transactions commerciales avec l’État juif. Bouteflika est complétement mégalomane il a osé déclarer l’Algérie c’est moi comme si il se prenait pour le Dieu de l’Algérie et qu’il n’avait pas peur des généraux. Quand Bouteflika écrivait au roi du Maroc Hassan 2 il signait votre serviteur et sujet dévoué de votre altesse Hassan 2. Voici un échantillon de craintes exposées, en 1959, par le colonel Lotfi à Monsieur Ferhat Abbas alors président du GPRA (gouvernement provisoire de la république algérienne) : « Notre Algérie va échouer entre les mains des colonels, autant dire des analphabètes. J’ai observé chez un grand nombre d’entre eux une tendance aux méthodes fascistes. Ils rêvent tous d’être des Sultans au pouvoir absolu. Derrière leurs querelles, j’aperçois un grave danger pour l’Algérie indépendante. Ils n’ont aucune notion de la démocratie, de la liberté et de l’égalité entre citoyens. Ils conserveront du commandement qu’ils exercent le goût du pouvoir et de l’autoritarisme. Que deviendra l’Algérie entre les mains de pareils individus ? Il faut que tu (Ferhat Abbas) fasses quelque chose pendant qu’il est encore temps… », a-t-il prédit. Cela fait plus de vingt ans, depuis 1994 précisément, que l’Algérie et ses grandes entreprises se fournissent auprès d’Israël en médicaments, en matériel médical ou en technologie pourvu qu’il n’y ait pas la mention «made in Israël». Le contrat avait été signé directement entre les autorités algériennes et israéliennes. Alger avait exigé que la fourniture s’effectue via une société basée en France et que les produits soient débaptisés d’un nom bien français. Ainsi, pendant plusieurs années, le «made in Israël» a été remplacé artificiellement par le «made in France». Cette astuce a d’ailleurs inspiré d’autres entreprises algériennes. Mais bien sûr les échanges commerciaux ont été à double sens. La Sonatrach livrait du gaz algérien à Israël via le gazoduc d’El-Arish depuis l’Égypte. Le contrat liait les deux parties depuis le 1er août 2014. L’Égypte importait 500 millions de m3 de gaz par jour, en gardait 400 pour ses besoins et en revendait 100 à Israël.

 

  Saïd Bouteflika pour garantir le cinquième mandat donnerait une partie du gaz algérien à l'Egypte gratuitement qui le donne à Israël donc aux Rothschilds qui vont le revendre à la Grèce et à la Turquie. Ainsi beaucoup d'algérien accuse les Bouteflika de financer l'Apartheid israélien.   Pour faire taire les critiques et garder Bouteflika au pouvoir alors qu'il est devenu l'équivalent d'un poisson rouge dans un bocal said Bouteflika aurait arrosé de millions d'euros des politiciens français et des journalistes et des gens influents afin de garder le pouvoir et de faire taire toute critique!   Ainsi selon Rachid Nekkaz l'Algérie aurait cédé sans aucune contrepartie les champs de gaz de l'Adrar dont 65 pourcent seraient détenus par gaz de France et 35 pourcent à des fonds de pension israéliens ! Ce gisement peut rapporter 100 trillions de dollars en 45 ans d'exploitation. Ce n'est pas tout des gisements de Hassi R'mel et Hassi Messouad aurait été cédé à une société écran italienne proche de Berlusconi et Sarkozy !   D'après un article publié le 31 juillet dernier par l'Observatoire italien, l’Algérie commencerait à livrer du gaz à Israël à compter du 1er août. Bien sûr, pas directement, mais via l’Égypte dont les gazoducs d'Al-Arish, dans le nord-Sinaï, alimentent Israël. Le contrat prévoit l’importation par l’Égypte d'environ 500 millions de m3 de gaz algérien par jour, grâce à un financement des Émirats Arabes Unis. D'ailleurs, après la visite éclair du maréchal Al-Sissi à Alger, le 25 juin dernier, des fuites concernant ce contrat gazier à des prix préférentiels -la moitié du prix du marché- avaient commencé à circuler. Auparavant, début mai, une source haut placée au ministère égyptien de l’Energie avait indiqué que l’Algérie avait accepté d’envoyer en urgence six livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL) à l’Égypte, et qu’un accord entre l'Egyptian Natural Gas Holding Company sera signé avec le groupe public algérien Sonatrach. L’Égypte, dont les relations avec le Qatar sont au plus bas, doit importer 400 millions de mètres cubes de gaz naturel par jour pour faire fonctionner ses centrales électriques durant la délicate période estivale. Le surplus de gaz algérien serait donc livré à Israël, selon différentes sources rapportées par le journal égyptien Al-Osbou' et le quotidien algérien Al-Chorouk. «A l’insu de ses responsables et surtout ceux de sa tutelle, Sonatrach est, désormais, impliquée dans l’achat de gaz en provenance d’Israël. L’information est confirmée à la fois par les médias égyptiens et israéliens qui font état de l’accord conclu entre la société Union Fenosa Gas SA et des fournisseurs israéliens pour la vente de gaz produit dans l’offshore de l’état hébreux», rapporte l’article en question. L’implication de Sonatrach s'explique par le fait qu'elle est actionnaire à hauteur de 4% dans la société espagnol Union Fenosa Gas SA. La compagnie nationale d'hydrocarbures dispose d’une unité de GNL en Égypte. Puisque le marché égyptien ne pouvait plus fournir des quantités de gaz nécessaire au fonctionnement de ses installations, Union Fenosa Gas SA a décidé de signer un contrat avec les israéliens. Des révélations faites récemment par la presse israélienne sur l’existence d’un accord, qu’elle qualifie d’«historique», d’inauguration d’un gazoduc devant relier Israël à l’Europe, avec l’appui de l’Union européenne et le financement des Emirats arabes unis, suscitent indignation et inquiétudes en Algérie. Indignation parce que cette contribution d’un pays arabe au projet israélien confirme la tendance à une normalisation de plus en plus décomplexée dans la région du Moyen-Orient, au moment où l’Etat hébreu s’est de nouveau illustré par sa politique répressive à l’encontre de la population palestinienne.

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