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Abnormal Report
23 septembre 2017

Le Mossad a supervisé les répressions et les génocide des berbères du Rif !

 

napalm

 

 

 

 

 

 

Le Mossad dirige le Maroc avec le général du Mossad  André Azoulaye mais quel est le rôle de l'entité sioniste au Rif?

 

Le mossad divise la société marocaine en incitant les rifains à se révolter contre le Roi du Maroc et à la haine des autres ethnies du Maroc surtout les arabes judaisés de Fès !

 Le Mossad a formé des policiers marocains et des soldats dont des pilotes d'hélicopètes et d'avions pour le génocide de masse la torture et les viols massifs et brûler des villageois au Napalme comme au Viet Nam !

      

1958/59 le Rif noyé dans le sang par le criminel Hassan II

Au début des années cinquante, et dans le contexte d’après la deuxième guerre mondiale et l’évolution des idées nationalistes et des mouvements indépendantes, une groupe armée se fondé par les résistants Rifains sous le nom « l’armée de la libération » commençait ses opérations armées contre la colonisation étrangère le 02 octobre 1955 sous la direction de Abbas Lamsaadi. À ce moment-là, les marocains du parti de l’indépendance (Istiqlal) et d’autre qui ont été parmi les membres de dite « mouvement national » étaient contre l’armée de la libération et préféraient les négociations avec les colons. El Mehdi Ben Berka demandait plusieurs fois à Abbas Lamsaadi d’arrêter les opérations armées. Ce dernier refusait et voulait vraiment continuer la résistance armée si les colons ne comprennent que la langue de l’arme. Le 28 juin 1956 Abbas Lamsaadi est assassiné par trois individus à Ain Aïcha dans la province de Taounate.

Entre 20 et 30 Août 1955, les membres du dite mouvement national marocain négociaient le traité d’Aix-les-Bains pour arriver vers un pouvoir supervisé par la France coloniale, et alors annoncer une indépendance qui n’existe pas réellement.

   

Le 11 novembre 1958, Mohamed EL-Hadji Sellam Ameziane, du PDI, et deux autres membres des Beni Ouriaghel, Abdel Sadaq Khattabi et le fils de Abdelkrim al-Khattabi, Rachid, ont présenté un programme en 18 points pour le Rif au Roi Mohammed V ; ce programme compte des préoccupations des Rifains, allant de l'évacuation des troupes étrangères du Rif, au retour d'Abdelkrim al-Khattabi au Rif, la création d'emplois, la représentation politique et les réductions d'impôts. Cependant, avant que ce programme n'ait été présenté au roi, la révolte du Rif avait déjà commencé depuis presque trois semaines. La réponse de la monarchie et PI à l’époque était une campagne de liquidation collective contre les Rifains qui n’ont pas accepté les nouvelles conditions politiques et sociales du nouveau système colonial.

C’est dans ce contexte des années 1958/1959 que les soulèvements des Rifains sont noyés dans le sang par le criminel Hassan II. Avant d'être officiellement désigné prince héritier en 1957, Moulay Hassan hérite du titre de chef d'état-major de toute la jeune armée créée en 1956. C'est à ce titre qu'il est chargé de mater le soulèvement du Rif. Le prince est secondé par Mohamed Oufkir, un ancien de l'armée française. Et la répression qui s'abat sur le Rif est terrible. “C'est des choses qui ne s'oublient pas, résume aujourd'hui Mohamed Bensaïd Aït Idder. C'est à partir de là que l'on a compris que les Forces armées royales étaient devenues un instrument chargé de protéger le pouvoir en place, et non servir le peuple”.

 Selon Stephen Smith, « Les Forces armées royales seront opérationnelles juste à temps pour le soulèvement général du Rif, fin 1958. Elles comptent alors quarante mille hommes et absorbent 30 p. 100 du budget de l'État, contre 26 p. 100 consacrés aux dépenses sociales. Le choix est contestable, mais il sauvera le régime. Entré dans la lutte armée pour « l'indépendance totale » du Maroc dès le 2 octobre 1955, le Rif ne s'embrase véritablement qu'à l'occasion du troisième anniversaire de cette date, lorsque le docteur Khatib et Mahjoubi Aherdane, autre leader de l'Armée de libération du Nord, procèdent au transfert des cendres d'Abbès Messaâdi, leur frère d'armes assassiné par l'IstiqlaL Les ressentiments accumulés contre le parti hégémonique, celui des Fassi la bourgeoisie de Fès - et des Arabes en général, se déchaînent contre l'interdiction gouvernementale de ces obsèques. Nommé gouverneur de Taza, le capitaine Medbouh, originaire de la région, parvient à éviter l'effusion de sang au cœur de la montagne, dans la région d'Aknoul. En revanche, la police ouvre le feu sur des manifestants à Al Hoceïma, sur la côte. Oufkir, appuyé par une unité blindée sous les ordres du capitaine Larbi Chelouati, y est envoyé pour rétablir l'ordre. Le prince héritier, chef d'état-major des FAR, installe son PC opérationnel à Tétouan, l'ancienne capitale du Maroc espagnol. Des bombardiers légers, pilotés par des Français bien qu'arborant des cocardes marocaines fraîchement peintes sur leurs fuselages, attaquent les villages des Béni-Ouriaghel, la puissante tribu qui avait déjà été le fer de lance de l'insurrection entre 1923 et 1926. De la campagne militaire des FAR, entre novembre 1958 et février 1959, aucun récit circonstancié n'est disponible et même le bilan global de cette « pacification » est impossible à établir : selon les auteurs, il varie entre deux mille et huit mille morts. 

La répression va fonder la sinistre réputation de Mohamed Oufkir. L'ancien officier de l'aimée française est présenté comme le « boucher du Rif », le prince Hassan, alors âgé de vingt-neuf ans, comme le garçon boucher, initié au métier par un sadique prenant plaisir à tuer. Or, née du combat politique contre le futur Hassan II et son bras armé, le général Oufkir, cette caricature ne repose pas sur des faits établis. Incontestablement, la soumission du Rif par les FAR a été meurtrière. Les témoignages en ce sens abondent. Cependant, toutes les campagnes précédentes l'ont été également. Lorsque la France et l'Espagne envoient au Rif, respectivement, trois cent vingt-cinq mille et cent mille soldats pour obtenir la reddition d'Abd el Krim en mai 1926, ce sont trente-deux divisions de fantassins et quarante-quatre escadrilles de l'armée de l'air qui combattent soixante-quinze mille Rifains, dont à peine plus de vingt mille sont armés. Elles quadrillent la montagne, brûlent des centaines de villages, procèdent à des bombardements systématiques. Pendant l'hiver 1956-1957, après le déclenchement dans le Rif de la lutte armée contre la présence française, l'italien Attilio Gaudio était l'un des trois journalistes étrangers couvrant les événements sur place. Dans son recueil de reportages paru en 1991 à Paris, Guerres et paix au Maroc, il écrit : « Nous étions horrifiés ... ou trop jeunes. Il nous était entre autres difficile d'admettre que les Français pouvaient abattre d'une rafale un combattant qui venait de se rendre, massacrer allègrement des femmes et des enfants et torturer ou mutiler des prisonniers vivants. » Bref à toutes les époques, la guerre dans le Rif a été sale. Ce qui n'excuse rien, mais oblige à poser autrement la question : Oufkir s'est-il signalé, dans cette guerre, par des excès individuels des actes de cruauté gratuite ? »

Le gouvernement de l'époque finit d'ailleurs par s'émouvoir de l'offensive menée contre le Rif. Au point que le Premier ministre, Abdellah Ibrahim, s'en est ouvert auprès du prince héritier. “Abdellah Ibrahim a demandé un jour à Moulay Hassan les raisons de cet acharnement (contre le Rif). Le prince lui a répondu qu'on avait essayé d'attenter à sa vie à Al Hoceïma. Ibrahim enquêta discrètement, mais ni lui, ni la police politique dirigée par Mohamed Laghzaoui, n'ont jamais pu établir quoi que ce soit”.

Bref, la répression de criminel Hassan II est sale partout : « assassinat de 8000 Rifains. violation physique et psychique des femmes et petits enfants par les soldats marocains. Avortement des femmes enceintes. Incendie et la destruction des biens de la population. » . À la fin de Janvier 1959, le soulèvement a été réprimé par une force militaire commandée par le prince héritier moulay Hassan (futur Hassan II) et composée de près de 30 000 hommes.

Après la fin du soulèvement, du Rif a été soumis à un régime militaire pour plusieurs années et l'héritage le plus ruineux de ce soulèvement fut la négligence complète et la marginalisation de la région par les autorités marocaines au cours des quatre décennies suivantes. Ce qui produisait des vagues de l'immigration des Rifains vers les pays de l'Europe occidentale depuis le début des années soixante. L’immigration continue jusqu'à présent, alors que ce présent n'est pas mieux que le passé !

19 Janvier 1984 : la haine du roi contre le peuple !

Le 19 janvier 1984, les habitants du Rif soulevaient contre l’injustice du régime Hassan II. C’était d’abord à Al-Hoceima quand les élèves manifestaient contre l’augmentation des frais de l’inscription et de scolarité, puis à Nador ou le pain quotidien lié aux activités économiques irrégulières est menacé par les décisions du roi. C'est pour cela d'ailleurs qu'on l'appelle « soulèvement de la faim », Seulement, la succession des faits après le 19 janvier 1984 allait donner au soulèvement initialement social une couleur politique certaine, notamment après le discours Royal du 22 janvier 1984. La genèse du problème nous renseigne que la situation socio-économique du pays à cette époque était désastreuse, ce qui a conduit le pays à une catastrophe entraînant, l'arrivée des nouveaux « colonisateurs » : « Le Fonds monétaire international » et « la Banque mondiale ». Ceux-ci avaient, bien évidemment, dicté leurs lois draconiennes et avaient fait que des pays comme le Maroc soient alignés sur des programmes meurtriers d'ajustement structurels (PAS). Tout le monde connaît le reste de l'histoire.

Les populations étaient sorties entre-temps dans plusieurs villes marocaines dont Nador. Cette ville reposait son économie sur la contrebande en provenance de Mellilia. Le Maroc allait généraliser une taxe de (100 à 500 dh) sur les entrées à la ville, ce qui devait se répercuter sur les conditions des familles vivant de ce genre de commerce. En plus, des augmentations sur les produits de base allaient enflammer les marchés. Se sentant lésées et en l'absence d'alternative, les populations se sont insurgées.

En réalité les manifestations ont commencé par des grèves observées à Al-Hoceima, mais la violence avec laquelle les autorités les ont affrontées, a poussé les établissements de Nador à se solidariser avec leurs voisins. Trois jours durant, les élèves investissent des lycées, mais aussi les rues. Les forces de l'ordre ont commencé à tirer sur tout ce qui bouge dans la ville, même des personnes en situation passive. Le 22 janvier le roi insultait le peuple Rifain, et le traitait de « apache » et de « contrebandier », c’est d’un niveau digne du grand tyran qu’était Hassan II !

 El Telegrama de Mellilia avait, à l'époque, publié le 24 janvier la photo d'un hélicoptère tirant sur des manifestants. Les dégâts, selon un décompte officiel présenté le 25 janvier par le Premier ministre, faisaient état de 7 véhicules privés calcinés et l'endommagement de plus de 20 autres, l'incendie d'un camion des forces de l'ordre et des incendies venant à bout de 11 bâtiments et de six écoles ainsi que d'autres locaux.

Pour ce qui est des victimes de cette violence l'État, à travers le Premier ministre a déclaré que ces événements avaient coûté la vie à 16 personnes et fait 37 blessés dont 5 des membres des forces de l'ordre. Des autres sources locales et étrangères de droits humains affirment pourtant que le fait de l'existence de fosses communes, notamment celle de la caserne militaire de Taouima, prouve que le nombre de morts était beaucoup plus élevé que celui présenté par l'État à l'époque.

 

      

 

Les USA, l'Angleterre et l'Arabie et les pays du Golfe comme le Qatar et les émirats arabes unis financent le génocide des rorhinjas pour écarter la Chine et s'emparer du pétrole et gaz de ce riche pays !

 

  

Comment la France et le Maroc et la CIA ont aidé le Mossad a infiltrer l'Afrique et les pays arabes et la Birmanie pour fomenter des génocides pour le pillage des ressources naturelles !
Les multiples formes de collaboration entre certains services de renseignements arabes et les renseignements israéliens ont déjà fait couler beaucoup d’encre ; il n’en reste pas moins que tout éclairage nouveau, toute divulgation de données inédites sur le sujet, ne manquent jamais de produire un effet de surprise sur la plupart des gens, notamment sur les esprits qui n’ont pas bien assimilé ce genre d’informations, et sur les jeunes générations.
Les médias israéliens fournissent parfois eux-mêmes certaines données, suite à une fuite d’informations ou à travers leurs propres reportages. Parmi ces informations, les plus récurrentes concernent sans doute l’assassinat du militant marocain Mehdi Ben Barka. Une série d’investigations ont en effet été menées par les Français suite au tollé suscité par la révélation d’une collaboration française avec les services marocains et israéliens dans l’assassinat de l’opposant sur le territoire français. Mais une nouvelle enquête conduite en Israël par les célèbres chasseurs de renseignements Ronen Bergman et Shlomo Nakdimon, dévoile d’autres aspects méconnus de cette collaboration ; on y apprend notamment la coopération entre les renseignements israéliens et français dans la poursuite des activistes de la révolution algérienne et de ses leaders, et ce jusqu’en Égypte.
Pour maintes raisons, la France constituait alors le siège central des renseignements israéliens en Europe. Enlisée dans le bourbier algérien, elle menait une lutte acharnée contre le Front de libération nationale (FLN) et avait, à cet effet, sollicité l’aide du Mossad israélien ; celui-ci avait mis à la disposition des Français des informations sur le FLN et leur avait fourni, via ses agents, des fusils de précision, des pistolets et des explosifs destinés à être utilisés dans des opérations contre les chefs du FLN localisés au Caire.
Lorsque ces activités s’intensifièrent, le besoin se fit pressant d’un canal permanent vers l’Égypte, considérée alors comme l’ennemi numéro un d’Israël. Une initiative inédite fut prise au sein des renseignements israéliens : le vice-président de la section des renseignements militaires, Yuval Ne’eman, mobilisa deux pilotes juifs américains et leur fournit les fonds nécessaires pour la création d’une compagnie d’aviation qui serait basée au Koweït, et qui desservirait l’ensemble du monde arabe. La proposition, accueillie à bras ouverts par le gouvernement koweïtien, se concrétisa d’abord par trois vols hebdomadaires réguliers à destination du Caire, avant que la compagnie ne devienne entièrement koweïtienne. Elle demeure opérationnelle jusqu’à ce jour sous le nom de Kuwait Airways ou Compagnie nationale koweïtienne d’aviation.
L’enquête montre aussi que Paris a aplani la route du Mossad pour son implantation en Afrique et en Asie, où il ne tarda pas à devenir l’un des services les plus actifs et les plus performants sur le terrain. L’accord prévoyait une aide militaire israélienne ainsi que l’entraînement des effectifs des services de renseignements locaux, et parfois même la création desdits services. En contrepartie, le Mossad bénéficiait d’une autorisation quasi inconditionnelle de manœuvrer dans tous les pays concernés ; il collectait alors principalement des informations sur les pays arabes et sur les activistes du camp soviétique, qu’il s’empressait de partager avec les États-Unis. La principale alliance secrète conclue dans ce cadre est celle dite du « pacte périphérique»; elle s’est nouée entre le Mossad et ses homologues turc, iranien et éthiopien, et est devenue une véritable plate-forme de coordination en matière de renseignement entre ces puissances régionales.
Mais le Mossad s’était fixé une cible autrement plus complexe : le Maroc. Le rapport d’enquête de poursuivre : « La relation avec le Maroc en matière de renseignement commence en 1960. Hassan II était encore prince héritier. Après son intronisation, Israël lui demande d’autoriser l’émigration des juifs du Maroc. Mohamed Oufkir, alors responsable des services secrets marocains, conclut le marché avec les envoyés du Mossad à raison de 250 dollars par tête. L’argent payé en échange de 80 000 juifs est versé par chèques de 250 000 dollars, tous déposés sur un compte secret ». Par suite, ajoute le rapport, « les Marocains demandent au Mossad de leur créer une unité spéciale pour la protection des personnalités. On confie cette mission délicate à l’agent du Mossad David Shomron et à Yoska Shiner, l’un des gardes du corps de l’ancien Premier ministre israélien David Ben Gourion. Shomron avait dit alors : "Le roi craignait d’être tué. Il avait suffisamment d’ennemis et ne se sentait pas en sécurité" ».
L’enquête décrit les étapes d’une fructueuse collaboration : « Au cours des pourparlers il s’est avéré qu’Oufkir et son fidèle adjoint Ahmed Dlimi étaient non seulement soucieux de préserver la vie du roi mais également désireux de sauvegarder son règne, et qu’ils étaient, à ce propos, fortement embarrassés par les tentatives de complot contre Hassan II fomentées en Egypte et en Algérie. Les ambassades du Maroc dans ces pays étaient devenues l’objet d’agressions répétées. Israël se charge alors de réorganiser tout le dispositif marocain des renseignements, d’équiper des bâtiments navals marocains de matériel électronique susceptible de détecter les infiltrations maritimes, et d’entraîner les Marocains à déjouer les plans d’infiltration de leurs ambassades. En échange, Israël est autorisé à établir une agence permanente du Mossad dans la capitale Rabat. C’était là une réalisation majeure. Lorsque le conflit frontalier algéro-marocain s’envenime, le chef du Mossad Meir Amit, muni d’un faux passeport, prend l’avion et rencontre le roi en urgence, à qui il assure : "Nous sommes en mesure de vous aider et nous voulons vous prêter main forte" ».
D’après le rapport, le roi accepta l’offre et Israël, outre les renseignements qu’il fournit, se chargea d’entraîner des pilotes marocains et d’équiper l’armée locale.
La coopération atteignit toutefois son apogée en septembre 1965, lors de la conférence des chefs d’État arabes qui se tenait à Casablanca, et au cours de laquelle il était question de créer un commandement militaire unifié en vue de combattre Israël à l’avenir. Le roi, qui n’avait aucune confiance en ses hôtes, les dirigeants du monde arabe de l’époque, autorisa le Mossad à surveiller de près cette rencontre au sommet. Rafi Eitan déclare à ce propos : «Dès la clôture du sommet ils nous fournirent tous les renseignements nécessaires et n’en occultèrent aucun ».
D’après le quotidien israélien Yediot Aharonot, parmi ces informations de la plus haute importance on trouvait les déclarations des commandants des armées arabes, qui avertissaient les chefs d’État que leurs forces n’étaient pas prêtes à mener une nouvelle guerre contre Israël
  
             Le Rif dans ce contexte a été saigné à blanc par l’Histoire et a payé un lourd tribut vis à vis de la monarchie. L'une d'elles, de ces horreurs, est bien sûr la répression sanglante, par le Roi Mohamed V, du soulèvement rifain de 1958, deux années après le dite indépendance, par l'entremise du Général Oufkir et du prince Moulay Hassan, le futur Roi Hassan II. Répression qui fit des milliers de morts. La période trouble du dite indépendance en 1956, obtenue auprès des français, mais toujours pas auprès des espagnols, qui contrôlaient alors encore le Rif et le Sahara Occidental. Une période d'incertitude et de tensions autonomistes rifaines qui déboucha sur la terrible et sanglante mise au pas de 1958.Aussi le mossad a participé au génocide du Rif a formé des soldats et policiers et a formé les pilotes qui ont brulés au Napalme des milliers de rifains dont des femmes et enfants sans compter les viols massifs !
   Le mossad a aussi participé à la répression en Algérie des musulmans désirant leur indépendance et à Constantine il a commis des attentats à la bombe contre les musulmans mais aussi les juifs pour les obliger à partir en Palestine !
Ces renseignements serviront ultérieurement de fondement stratégique à l’attaque éclair de juin 1967, qui conduisit à la victoire écrasante de la guerre des Six Jours
Dans un document des services de renseignements, il est noté que ces éléments d’information d’une extrême sensibilité constituent sans doute un summum dans la série de réalisations des renseignements israéliens depuis leur création.

              Israel vend des armes à la Junte militaire mais aussi participe à des programmes secrets pour entraîner les policiers et soldats birmans au meurtre de masse ou génocide de musulmans et des milices ou escadrons de la mort comme au Rwanda, au Sud Soudan;en Centrafrique,en Angola et Namibie, en Algérie, au Congo qui compte au moins 6 millions de morts; aussi en Irak et en Syrie ou au Yémen et dans bien d'autres pays derrière chaque guerre; chaque génocide, chaque épidémie comme le Choléra ou le Sida il y a le Mossad et la CIA!

    

 

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ribaat

Dans un souci de poursuivre ce vieux Démon, continuons les investigations dans la milice alaouite, une des milices de Satan faisant sa volonté jusqu’en Algérie et ailleurs dans le monde.

Quand Judaïsme et Alaouisme ne font qu’un dans ce duo de « isme » infernale ! Vous apprendrez -comme pour l’Algérie- que la Franc-maçonnerie de France se trouve aussi derrière le Maroc pour tirer les ficelles et assouvir un pouvoir tyrannique, main dans la main avec les Juifs incultes entre autres !

Classé dans les archives criminelles sous le Dossier que vous lisez « le Maroc et la secte alaouite »suivant cette cinquième partie :

LES JUIFS ALLIES DES ALAOUITES AU MAROC

Aveux : un ancien militaire sur la dictature au Maroc

Un sultan Alouite au Maroc : « le plus français des Marocains, c’était moi » ! Interview accordé par Ahmed Rami au grand quotidien Algérien « Alkhabar » et publié le 20 Juin 2007. Révision Ribaat.

Alkhabar : Pour vous, le règne de Mohamed VI est-il radicalement différent de celui de son père ? Après son accession au trône, vous avez adressée une lettre à Mohamed VI. Quel en était le sens et le but ? Votre lettre a-t-elle eu des conséquences ?

Ahmed Rami : On se souviendra que le Maroc, sous Hassan II, a été une abominable dictature, d'une férocité systématique. Les opposants tombaient dans un monde sombre de cauchemar et de torture que l'ignoble souverain appelait benoîtement son « jardin secret », quand il parlait aux journalistes-carpettes des médias français. On gardera aussi à l'esprit le fait que Hassan II avait amassé l'une des plus grosses fortunes du monde, comme son acolyte Mobutu, en prélevant systématiquement une dîme sur toutes les activités de ses « sujets » dont l'appauvrissement régulier est aussi un fait incontestable. Tous les gouvernements français, de gauche comme de droite, ont cautionné ces ignominies.

Après le décès du père de Mohamed VI, je me suis réjouit que l'un des plus grands voleurs de l'Afrique soit enfin mort. Hassan II et son sourire sarcastique, quand il évoquait ses ennemis torturés, ont disparu.

Mais la question que je me suis alors posée était : la tyrannie va-t-elle continuer ?

En réalité, le règne de Mohamed VI n'est que la continuité du régime de Hassan II sous un autre style. La transition, de Hassan à son fils, a été minutieusement préparée par les juifs et par Israël qui se sont chargés de « l'éducation » du « prince héritier » dès sa naissance ! Une délégation israélienne - de plus de 120 membres - est venue participer aux obsèques de Hassan II. Selon les révélations de Mohamed Hassanein Heikal (publiées dans la revue Asheraa) et confirmées par l'ancien chef du Mossad (publiées dans ses Mémoires), Hassan II était un agent du Mossad qui espionnait (rapportait sur son pays, sur les pays arabo-islamiques et sur les sommets arabes) au profit d'Israël !

Après la mort de Hassan II, j'ai adressé à Mohamed VI une lettre ouverte publiée au Maroc : en arabe, par Al-Osboa et Al-Ayam, et, en français, par « Le Journal ». Elle est également publiée sur le net dans : http://rami.tv.

Dans cette lettre, j'ai essayé, en citoyen actif, de formuler des conseils pratiques au nouveau chef d'état pour lui faire éviter de répéter les graves erreurs de son père. Ces « conseils » sont d'ailleurs valables pour tous les dirigeants arabo-musulmans d'aujourd'hui. Depuis je n'en ai reçu aucune réponse et je n'en ai vu aucun effet ! (1)

Alkhabar : Comment évaluez vous les réformes et les changements qu'a connu le Maroc ? Et pourquoi Ahmed Rami n'est pas retourné au Maroc à l'instar d'autres opposants ? Le Maroc est il en train d'instaurer une vraie monarchie constitutionnelle ? Quelles sont les limites du rôle de l'armée après les changements qui ont touché les généraux les plus connus tels Hamidou Lâangri et Qadiri avant lui ?

Ahmed Rami : Mohamed VI a suivi, exactement, le même parcours que celui de son père et de ses ancêtres de la dynastie alaouites. Hassan II a aussi commencé son parcours par de beaux discours démagogiques. Mais, dans les faits, Hassan et son fils n'ont fait que renforcer, avec le temps, leur pouvoir tyrannique personnel. Les élections truquées, le « parlement », « les partis » ne sont que des décors de maquillage du régime. Mohamed VI conserve tous les pouvoirs essentiels de l'Etat : la défense, l'intérieur, les affaires étrangères, etc... et ne laisse au Parlement que des pouvoirs formels, chambre d'enregistrement des volontés du roi ! Le premier ministre lui-même ne vient pas du parti qui a « gagné » les élections truquées ; il vient du palais royal !

Face au sultan on a une classe politique pourrie et totalement domptée par le régime. C'est ainsi que nous tournons dans un cercle vicieux de « roi » en « roi » alaouite. La monarchie au Maroc n'est pas légitime et ne représente pas notre peuple. Elle ne représente que les intérêts des puissances dominatrices juives et étrangères. Ce dont nous avons bien besoin au Maroc, c'est d'un régime vraiment démocratique choisi et directement élu par le peuple. Et la démocratie est totalement incompatible avec ce régime dictatorial et féodal fondé sur l'anachronique, stupide et dépassé principe de l'héritage dynastique de crapule en crapule ! La légitimité ne peut pas se transmettre par héritage. Donc au lieu de plus de maquillage et de replâtrage de ce régime pourri qui est prêt à s'effondrer, ce dont nous avons bien besoin au Maroc, c'est d'une véritable révolution économique, sociale, culturelle et politique, et comme je l'ai dit dans ma lettre à Mohamed VI (2) :

La stabilité des États modernes s'établit sur la force de la loi et non sur la loi de la force et de la répression ; leurs constitutions doivent être fondée sur les valeurs spirituelles bien ancrées de la nation et des hautes valeurs de leur époque ; leur dignité doit être fondée sur celle de ses citoyens et non sur ces vieilles marques d'esclavage qui consistent à baiser les mains, à se prosterner devant un être humain et exercer l'hypocrisie à outrance. (3)

Pourquoi ne suis je pas retourné au Maroc après la Mort de Hassan II ?

Parce qu’au Maroc il n'y a pas encore de démocratie et d'État de droit qui garantisse le droit à la vie et à la sécurité de tous les citoyens.

Malgré les apparences et la propagande de ce régime terroriste, le Maroc, exactement comme en Palestine, est encore aujourd'hui, une véritable grande prison. Mohamed VI a fait sortir quelques prisonniers des prisons de son père pour les remplacer par ses propres prisonniers ! La dictature est une sorte d'occupation. C'est toujours et encore la même maffia criminelle, mais plus maquillée, qui gouverne le pays ! Les « généraux » Lâangri et Kadiri - ainsi que Driss Basri, avant eux - ne sont pas des hommes d'Etat, mais de simples esclaves et de petits exécutants de la volonté du pouvoir personnel du roi ! Ces qualités sont d'ailleurs leurs seules « compétences » qui les ont qualifiés à leur poste dans le Makhzen Alaouite. Le policier Lâangri et le commerçant Kadiri sont, avant tout des hommes d'affaires corrompus qui n'avaient aucune emprises ou racine dans l'armée. Quant à l'armée, après les deux tentatives de coup d'état de 1971 et 1972, et l'assassinat de Dlimi, la monarchie a appris à se méfier d'elle, à la corrompre, à l'affaiblir et à la surveiller de très près ! C'est pour cela qu'un corrompu, comme Kaderi, a eu une telle importance après la mort du général Dlimi. Ce qui est sûr, c'est que les bases qui constituent la majorité représentative de l'armée - que ce soit au Maroc, en Algérie ou en Turquie, elles, ne sont pas isolées du peuple, et elles représentent en fait, les mêmes courants politiques et idéologiques qui traversent la société.

L'expérience que le Maroc a eue avec les crapuleux sultans alaouites nous démontre que la monarchie – « constitutionnelle » ou non - est catégoriquement incompatible ave l'Islam, avec les temps modernes et la démocratie. (4)

En Suède, où j'habite actuellement, la monarchie n'est devenue qu’un musée pour les touristes, pour voir les restes d'une époque tyrannique et révolue. Le « roi » - en Suède d'aujourd'hui - n'a pas même le droit de se mêler de politique ! La monarchie Suédoise ne s'est pas effacée volontairement d'elle même. C'est un coup d'état - dirigé par le général Adelcrutz - qui a renversé la monarchie corrompue et qui a instauré la constitution qui est encore aujourd'hui en vigueur en Suède. Il est de même en Angleterre où la monarchie n'a abdiqué que par la force ! Mais, dans le monde arabe d'aujourd'hui, faible et divisé : ce ne sont pas seulement les monarchies corrompues et tyranniques qui essaient de s'éterniser - au 21ème siècle - en se camouflant sous des airs de « constitutionnelles ». Ce sont mêmes des « républiques » actuelles qui essaient aussi de s'éterniser en « républiques » monarchiques, en instaurant le principe monarchique de succession du pouvoir par l'héritage dynastique ! (5)

Alkhabar : Dans vos écrits vous avez posé la question : « qui gouverne le Maroc ? » Êtes-vous même arrivé à une réponse ?

Ahmed Rami : Depuis que la bande criminelle des alaouites au service des envahisseurs s'est emparée, par la terreur, du pouvoir - avec l'aide des puissances coloniales occupantes - ce sont les étrangers qui - directement ou indirectement - gouvernent notre pays ! La seule forme « d'alternance » du pouvoir que nous avons connu, jusqu'à présent, est l'alternance entre colonialisme et le néo-colonialisme.

Quand la dynastie des ancêtres de Mohamed VI s'est sentie sérieusement menacée par la révolution du peuple marocain, en 1911 et 1912, elle a fait appel à l'envahisseur étranger pour la protéger. C'est de là quarante ans de la résistance du peuple marocain, le colonialisme qui se sentait incapable et menacé, a fait appel à son tour à la dynastie alaouite pour protéger les intérêts essentiels du colonialisme sous forme d'un néo-colonialisme plus masqué et camouflé ! C'est ainsi, qu'en 1956, Mohamed V a joué le rôle d'un véritable « Cheval de Troie » des occupants. Et c'est ainsi que la révolution de la résistance marocaine a été avortée en faisant appel à la même dynastie qui avait livré le Maroc aux occupants en 1911 !

Souvenons nous que lorsque les Français occupèrent Fèz - notre capitale d'alors - le 21 mai 1911, la France avait déjà les mains totalement libres au Maroc.

Le Sultan Hafid - qui s'appelait, lui-même, « le victorieux » - reçut son ami juif F.Weisberger, l’envoyé spécial du journal « Le Temps », pour lui expliquer et lui faire répéter que « le plus français des Marocains, c’était moi » ! Le « commandeur des croyants » ajouta : « Mon désir le plus sincère est de marcher la main dans la main avec la France, mais je suis entouré de gens malfaisants qui ont intérêt à me brouiller avec la France » [sans doute les Rifains et le peuple marocain en armes contre l’invasion]. « J’apprécie à leur juste valeur les services que me rend votre mission militaire. »

C’était en Mars 1911. Et ce n’était pas un lapsus, quelques mois plus tard Hafid « le victorieux » recevait le même juif Weisberger (voir Le temps du 24/12/1911), son inspirateur et haut-parleur préféré, pour lui dire combien il était décidé à aller jusqu’au bout …de sa collaboration avec les français. Il commença par faire l’éloge le plus dithyrambique du commandant Mangin. Normal : Mangin l’avait sauvé du désastre puis du ridicule.

La grande fête de l’Aïd El Kebir ; de cette année-là, avait été complètement boycottée par ses sujets : le mechouar de son palais aurait été vide, si Mangin ne l’avait fait occuper par les troupes « new-look » formées par les occupants et dont les beaux uniformes tout neufs avaient été fournis par la mission militaire française, tout exprès pour la circonstance.

L’armée française s’occupait même du décor et fournissait des figurants mal salariés. Hafid « le victorieux » tenait absolument à ce que la France sache combien il lui était infiniment reconnaissant. Il termina l’entretien (publié dans le Temps le 24/12/1911) en disant : « Je suis fermement décidé à profiter du précieux concours de votre mission militaire pour réorganiser mon armée, réorganisation qui est elle-même la base de toute réforme fiscale. Je réussirai, si la France veut bien m’y aider. »

Ces déclarations du Sultan Hafid sont très révélatrices du qui et du comment le Maroc a toujours été gouverné sous le pouvoir de la dynastie alaouite actuelle !

Cela s'est passé au début du 20ème siècle. Mais avec ce qui ce nous arrive actuellement, cent ans après, et au début de ce 21ème siècle, nous montre que l'histoire se répète pour les peuples et les pays qui n'en tirent pas les leçons adéquates !

Le Sultan « Hafid » d'hier est le « Karzaï » d'aujourd'hui, le « Abbas », le « Allaoui », le « Malki », le « Séniora », le « Moubarak », le « Ben Ali »... de la Palestine, au Liban, de l'Afghanistan en Iraq et de la Somalie au Darfour en attendant le tour du Maghreb. Les juifs et les occupants ayant réussi - pour l'affaiblir - à diviser le monde arabo-islamique en des petits entités, ils visent maintenant à diviser ces petits Etats en de micro-entités faciles à dominer, manipuler et dévorer !

Alkhabar : Quelle est votre lecture de la décision du prince Moulay Rachid de quitter le Maroc ainsi que sur les positions du prince Moulay Hicham et d'Idriss Basri ?

Ahmed Rami : La monarchie constitue le plus grand obstacle pour la libération, la liberté et l'indépendance du Maroc. Cette monarchie doit tomber et avec elle tous ses princes tomberont ! Le « prince » Hicham et le « prince » Rachid font partie de cette monarchie pourrie et corrompue !

Israël et le lobby juif croient avoir besoin d'un nouveau Cheval de Troie au Maroc et sont en train de « préparer » un autre prince en réserve de la monarchie et qui soit comme une « roue » de secours du régime au Maroc. Quant à Basri, il n'est qu'un ancien vulgaire « flic » du régime.

Mais le plus important n'est pas de savoir :

- qui gouverne un pays ?

Mais :

- comment un pays est-il gouverné ?

La liberté et la démocratie doivent être définies non pas comme contenu abstrait mais comme méthode concrète. C'est-à-dire en tant que règles de jeux démocratiques définies par une constitution élaborée par une constituante librement et directement élue par le peuple. Les contenus des programmes politiques et idéologiques des gouvernements doivent être ouverts aux changements, aux débats et aux choix des partis politiques, selon leurs idéologies pour que les citoyens choisissent - par des élections libres - les programmes et leurs représentants, pour les appliquer. (6)

Alkhabar : Si nous retournons en arrière, regrettez-vous aujourd'hui d'avoir participé aux deux tentatives du coup d'état contre Hassan II, surtout que vous étiez un militaire qui devait normalement obéissance au commandant général des forces armées ?

Ahmed Rami : Tout ce que je regrette aujourd'hui ,c'est de ne pas avoir réussi à renverser ce régime corrompu et de ne pas avoir fait davantage que ce que j'ai essayé de faire pour la liberté et la dignité de notre peuple !

Avant mon entrée à l'Académie militaire de Méknès (en 1966) pour devenir officier, j'étais déjà actif au sein du mouvement nassérien. Professeur au lycée Mohamed V et dans le lycée Fatima Zahra (entre 1963 et 1965) j'ai été arrêté et torturé plusieurs fois pour avoir manifesté contre le régime.

Donc mon but secret essentiel quand je suis devenu officier n'était pas de faire une carrière militaire, mais de renverser la dictature monarchique corrompue, d'abattre la tyrannie. Suivant le principe : « penser globalement et agir localement », je crois que tout citoyen, tout être humain peut et doit agir, dans son domaine, pour le bien et pour la justice ! En Suède, aussi, je suis le même principe ! (7)

Alkhabar : Vous vous concentrez sur le rôle du pouvoir juif dans les prises de décisions dans beaucoup de pays. Certains considèrent que cela est une exagération. Quelle est votre opinion sur cela ? Jusqu'à quel degré cela est-il vrai pour le Maroc ? Cela joue-t-il un rôle dans le rapprochement entre le Maroc et Israël ? Des personnalités, telles qu'André Azoulay et Serge Berdogo, ont-t- elles effectivement un poids ou une influence sur la prise des décisions au Maroc ?

Ahmed Rami : Quand j'étais au Maroc, j'ai constaté qu'on peut tout critiquer sauf celui qui a le pouvoir réel : Le roi !

En arrivant en Suède j'ai, aussi, découvert qu'on peut également tout critiquer : sauf celui qui ont le pouvoir réel : les juifs !

Au cours d'un interrogatoire, à la police de Casablanca en 1964, quand on m'a arrêté pour avoir manifesté contre le roi, je me rappelle qu'un policier, me reprochant cela, me lança : « vous vous croyez en Suède ? » !

Mais maintenant, je suis vraiment en Suède !

Souvent, dans les constitutions et les lois, il y a la liberté d'expression, à condition de ne pas s'en servir ! Il y a des gens qui défendent la liberté d'expression, mais sans l'exercer. Souvent par peur ! Avec l'autocensure qui s'ensuit ! En Suède, j'ai décidé de m'engager à fond sur le front de la résistance intellectuelle médiatique dans le cadre de l'Intifada palestinienne. Et j'ai décidé, coûte que coûte, d'appeler chat un chat et d'exercer mon droit humain à la liberté d'expression ! C’est aussi ce qu'essaie de faire, avec courage, la presse indépendante en Algérie et au Maroc.

Au début de 1987, j'ai fondé une Station radio en Suède : « Radio Islam ». La réaction des juifs et d'Israël a été immédiate et violente ! Dans le débat qui s'ensuivit, j'ai réussi à écrire en Suédois et à publier cinq livres sur la question palestinienne qui ont été plus tard traduits en allemand, en russe et partiellement en français et en anglais. Au cours d'un procès marathon, qui duré six mois, la cour d'appel de Stockholm me condamna à six mois de prison ferme que j'ai purgés « pour avoir manqué de respect » à l'occupation juive de la Palestine !

Je n'exagère pas et je n'ai pas besoin d'exagérer dans mes critiques et mes analyses du judaïsme et du sionisme. C'est la situation crée par l'occupation juive de la Palestine qui dramatique, catastrophique et tragique où la réalité dépassent la fiction !(8)

Quant au rôle des conseillers juifs de Mohamed VI, il faut savoir que ce « sultan » ne sait ni parler, ni lire ni écrire..! Toutes les décisions et les discours lui sont directement ou indirectement préparés par le juif Azoulay !

La revue Jeune Afrique a rapporté que - pendant la visite de Mohamed VI en France - Azoulay avait tenue une conférence de presse le matin, et le soir le roi a prononcé un discours. Jeune Afrique relève que les journalistes français qui ont écouté le discours royal ont remarqué que le roi a répété, mot à mot, le texte qu'Azoulay leur lut le matin!

Alkhabar : Depuis deux ans, le Maroc connaît l'apparition des organisations armées et des événements sanglants. Quelle est votre lecture de ces événements, et selon vous, quelles sont leurs causes ?

Ahmed Rami : Quand il n’y a pas de démocratie dans un pays, quand le régime n'a aucune légitimité populaire, quand l'État se comporte en force occupante et qui n'a que des reflex sécuritaires, la dictature est alors à comparer avec une occupation étrangère. Et là où il y a occupation, il y a résistance ! (9)

La situation économique, politique et sociale de notre peuple est tellement explosive que le Maroc, lui-même, est devenu, aujourd´hui, une véritable bombe prête à exploser à n´importe moment. Il ne lui manque plus qu´un détonateur ! Les causes et les vrais responsables en sont ceux qui ont créé cette situation explosive. Les exécutants de cette explosion du 11 mars n´en sont que des « fusibles », des « détonateurs » et des victimes. Si la Suède était aujourd´hui occupée ou sous la dictature, elle aurait certainement connu les mêmes problèmes que nous vivons actuellement au Maroc !

Alors, ce qui s´est passé à Casablanca, le 11 mars 2007, n´est qu’un symptôme, parmi d’autres, de la grave calamité abattue sur notre pays et du mal dont il souffre. Au lieu de s´attaquer à l´infection, le pouvoir essaye d´exploiter cet événement pour détourner l´attention des vrais problèmes. (10)

Notre nation islamique est constamment agressée et humiliée, surtout par l´arrogance et l´occupation terroriste juive en Palestine. Nos peuples sont persécutés et violentés par des dictatures stupides au service de nos ennemis. Nous sommes occupés militairement (mécaniquement) en Palestine, en Irak, en Afghanistan, en Tchétchénie et en Somalie etc. Le reste de nos pays islamiques, et de nos peuples, vivent dans des grandes prisons et sont politiquement, c´est-à-dire « chimiquement » occupés. Donc, ce sont les dictatures terroristes locales - alliées à la domination étrangère - qui constituent le problème essentiel dont découle notre crise générale. Face à cette inacceptable et insupportable situation - qui n´a que trop duré - notre jeunesse ne voit plus aucun espoir d´un avenir meilleur ni aucun moyen ou instrument démocratique et civilisé de changement ou d´alternance du pouvoir. Nos peuples vivent sous des dictatures imposées par des régimes illégitimes et terroristes qui ne représentent ni leurs peuples ni les intérêts de leurs pays. En réalité, ce sont les régimes terroristes et les occupations terroristes étrangères qui exercent le véritable terrorisme :

Physiquement, policièrement, intellectuellement, politiquement et militairement. Ce qui me surprend, ce n´est pas l´explosion du 11 mars, c´est plutôt cette étrange et honteuse passivité de nos sociétés ainsi que l´absence d´une véritable résistance - à la hauteur des défis - de la part de notre société civile face à cette catastrophique situation qui menace notre existence même en tant que peuple et nation ! Il y a eu - par exemple - des manifestations, en Occident, contre la guerre sioniste et l´occupation en Irak : car - en Occident - les citoyens ont la liberté d´expression.

Chez nous, l´on terrorise des journalistes, au Maroc, parce qu´ils ont osé critiquer un président algérien ou libyen ! Ainsi, par manque de liberté, on transforme nos sociétés et nos peuples en des cadavres qui ne réagissent plus et qui ne sentent plus la douleur ! Dans les médias tolérés par ces régimes terroristes on développe actuellement une hypocrisie qui voit le monde à l´envers ! Le terrorisme des dictatures des régimes au pouvoir et des occupations étrangères, les invasions et la trahison deviennent normaux, alors que la résistance et le patriotisme deviennent « terrorisme » !

C´est ce qu´on appelle « la normalisation.. » avec Israël !

À mon avis, il n’y a pas d´Al-Qaïda dans la région. Ce qu´il y a vraiment, dans la région, ce sont des régimes dictatoriaux terroristes et illégitimes qui font le lit des mouvements qui leur parlent leur langage ! (11)

Les conditions que ces régimes, fondés sur la violence, instaurent dans nos pays, développent une culture de violence et légitiment le « terrorisme ».

En réalité, la vraie question qu´il faut se poser est de savoir quels sont les objectifs des régimes actuels et d´Israël qui les manipulent ? Et quelle est la résistance adéquate qu´il faut leur opposer ? La meilleure critique doit être par l´action ! C´est-à-dire de faire mieux ! En plus, cette résistance doit nécessairement se faire sur plusieurs fronts complémentaires. Le front politique ou le front médiatique - par exemple - ne sont que des fronts complémentaires et non uniques dans la résistance totale face à cette guerre totale que les ennemis de la liberté nous imposent !

Évidemment, Israël - en alliance avec les services secrets des régimes arabes - est « capable » - comme ça s'est passé avec la GEA - d´infiltrer et de manipuler n´import quelle organisation dans le climat actuel - de manque de liberté et de transparence et le climat du « secret » - propice à tous les complots possibles pour diviser et anéantir nos états comme l´on voit aujourd´hui en Palestine, en Irak, en Afghanistan et en Somalie ! On n´a qu´à se rappeler de l´affaire Lavone en 1954, pour savoir de quoi, de quelle perversion, les juifs sont capables pour atteindre leurs objectifs sataniques ! La seule solution - pour sauver notre pays de tous ces conspirations - est d´y instaurer une vraie démocratie, la liberté d´expression et d´organisation politique pour tous les citoyens, y compris pour les islamistes ! (12)

Nous pouvons même affirmer qu'Al-Qaïda - telle qu´elle est présentée par les médias sionistes - n´existe pas. N´importe quel groupe ou individu peut se dire d´Al-Qaïda, et n´importe quel action peut être accréditée à « Al-Qaïda ». Donc le Mossad et les services secrets du régime marocain peuvent aussi abuser de ce nom pour intoxiquer, infiltrer et manipuler ! (13)

Alkhabar : Il y a encore beaucoup de points obscurs sur l'affaire Ben Barka. Quelle est votre opinion ?

Ahmed Rami : Depuis Ben Barka, il y a eu des centaines de milliers de victimes, des tyrannies, des occupations et des agressions juives : en Palestine, au Liban, en Irak, en Afghanistan, en Somalie et au Maroc.

A-t-on fait la lumière sur l'assassinat de Sheikh Yassine sur sa chaise roulante ?

Est-ce que c'est pour détourner l'attention des massacres israéliennes que l'on médiatise à outrance l' « affaire Ben Barka » ou l'affaire Hariri ?! La réalité est que l'opportuniste machiavélique Ben Barka est tombé victime du régime néocolonial tyrannique qu'il a lui même contribué à instaurer au Maroc. C'est lui - en tant que président du conseil consultatif désigné par le roi - qui a officiellement demandé d'instituer la fonction (qui n'existait pas avant lui) du prince héritier et de désigner le prince future Hassan II comme prince héritier ! D'ailleurs ce sont les « camarades » - dans l'opportunisme - de Ben Barka qui sont aujourd'hui « au pouvoir » au service de la monarchie et en alliance avec les communistes et les « marxistes léninistes » !!

Alkhabar : Les observateurs, de la politique étrangère marocaine, sont unanimes sur le fait que les relations entre le Makhzen et les dirigeants français ne sont pas ordinaires. Qu’a-t-il donné le Maroc pour obtenir ce privilège ?

Ahmed Rami : Contrairement à ce qu'a voulu faire croire Hassan II dans son livre « Le Défi », le Makhzen des Alaouites n'a pas succédé à la dynastie précédente.

Les Alaouites ont, en réalité, conquis le Maroc, et s'y sont comportés en pays conquis, comme tous les occupants et conquérants. Ses aïeux étaient de petits chefs de bande sortis de leur tanière du Tafilalt.

Hassan II a faussement présenté l'accession des Alaouites au pouvoir dans une espèce de logique de succession, succédant aux nombreuses dynasties, telles que furent celles des Almoravides, des Almohades et des Mérinides, d'illustre mémoire, qui ont régné de Saragosse au Sénégal et d'Agadir à Tunis.

Tout comme si, en France, les Bourbons, dirait-on, ont succédé aux Valois, dans la douceur de la légalité ! Le roi est mort, vive le roi ! Ce n'est pas du tout ça !

Le premier des Alaouites était un chef de bande, un condottiere famélique. Le dernier aussi ! Ce fut un chef de bande qui avait besoin de contrôler la route de Sijilmassa - Fez pour écouler les produits venant du Soudan et y acheter produits et denrées introuvables aux marchés du désert. Et de la contrôler par la force ! La fortune et la puissance de la famille « Alaouite » – base originale de son pouvoir - ne provient donc pas de quelque noble origine dont faussement elle se pare.

La qualité essentielle de l'ancêtre de la lignée - d'Hassan II, et de Mohamed VI - Moulay M' Hammed, c'est : « son exceptionnelle vigueur physique » (…) « Il peut faire sauter une tête d'un coup de sabre, galoper 60 kilomètres par jour. » ! (…) « Il va courir et batailler partout », dit le très officiel manuel d'histoire du Maroc. C'est vraiment tout ce qu'on en peut dire.

Le premier « grand homme » de la famille Alaouite se comporte en grand voleur et bandit de grand chemin qui amasse son butin, caravane par ci, caravane par là, et finit par se nommer tout seul « sultan du Tafilalet ». Mais l'on se prend à regretter que ce clan dynastique maffieux n'en soit pas resté là. Quand il sorte des limites de son canton pour tenter de s'installer en maître sur la route Sijilmassa-Fez, vieux passage des caravanes Sahariennes.

C'est ainsi que le colonialisme français et toutes les puissances étrangères qui veulent dominer notre pays ont trouvé dans ce Makhzen Alaouite leur instrument idéal pour dominer l'ensemble du Maghreb.

Et il s'est avéré qu'en leur accordant l'« indépendance » les Français avaient trompé les Marocains. Ils avaient transmis le pouvoir au sultan, mais continuaient à tirer les ficelles en coulisse, et lui fournissaient des officiers formés en France et qui avaient aussi servi dans l'armée française, avec toute une armée issue directement de l'armée française. La police se recrutait principalement parmi les traîtres et les collaborateurs qui avaient été les suppôts des colonialistes français et s'installaient désormais aux postes de commande.

Alkhabar : Quelle est votre lecture du livre « Les officiers de sa majesté » qui révèle que les dirigeants de l'armée marocaine ont profité de la guerre du Sahara pour augmenter leur activité dans le commerce et le trafic des armes et drogues ?

Ahmed Rami : Déjà - avant même la guerre de Sahara - à l'époque où, officier dans les rangs des « Forces Armées Royales », j'étais moi même le témoin direct de la corruption générale qui régnait au sein des officiers supérieures proche du roi où les privilégiés étaient légion, et cela jusque dans les rangs de l' École d'État-major de Kenitra où , pour ne prendre que cet exemple, figurait en 1970 une promotion spéciale de quarante officiers qui, dans toute l'armée était appelée « la promotion Ali Baba » !

Mais, des hommes de troupe aux officiers supérieurs et aux généraux marocains, tous ceux qui conservaient encore une certaine intégrité morale et un certain honneur avaient été conduits à la révolte, contre le pouvoir personnel corrompu et stupide de roi, en découvrant de près la corruption et l'état de putréfaction de son régime. Les révoltes militaires (de Skhirat en 1971 et du 16 août 1972), auxquelles j'ai pris part, ont exprimé notre indignation, notre colère et notre révolte face au pillage des richesses nationales exercé par le roi, par ses prostitués politiques locaux et par une clique de profiteurs juifs qui gravite autour de sa personne.

A la différence des pays occidentaux, le Maroc ne connaît que peu de hold-up de banques. C'est que les voleurs d'envergure savent qu'aujourd'hui, dans notre pays, la source d'enrichissement la plus sûre, la plus rapide, la seule à vrai dire, est le pouvoir.

Le système féodal (makhzen) que les rois alaouites ont perpétué anachroniquement jusqu'au 21ème siècle fait de la corruption généralisée un système de gouvernement.

Alkhabar : Auparavant, vous avez déclaré que la monarchie au Maroc est l'instrument des colonisateurs français. Considérez vous que c'est toujours le cas ?

Ahmed Rami : Sous l'occupation française et après plus de 20 ans de guerre de « pacification » et de massacres perpétrés par l'armée occupante - pour étendre et instrumentaliser le Makhzen (semblable à ce qui se passe, aujourd´hui même en Irak, en Afghanistan, en Somalie, au Liban, en Palestine, etc...) et après 45 ans de résistance populaire, notre indépendance fut, comme je l'ai dit auparavant, avortée en 1956.

Ce qui fait que le pouvoir n´a pas été alors transmis aux résistants et au peuple, mais à une poigné de traîtres et des « karzaï » traîtres ! Donc les occupants ont tout simplement remis le pouvoir à leur propres agents du néocolonialisme pour protéger (nouveau protectorat « Protectorat ») leurs intérêts. Et la domination étrangère a eu largement le temps de former les « cadres » néocolonialistes nécessaires (sécuritaires, militaires, culturels, médiatique, idéologiques et politiques) pour gérer et protéger le néo-colonialisme !

Tous les militaires qui ont formé le noyau des « Forces Armées Royales » étaient de véritables traîtres. Ils étaient des volontaires mercenaires dans les armées de l´occupation étrangères où ils ont servi - non pas pour défendre leur pays - mais dans des guerres d´invasion et d´extermination criminelles au sein des forces d´occupation en Indochine, au Vietnam, en Afrique, ainsi qu´en Allemagne et en Italie ! Ils ont en fait joué le même rôle que les soldats mercenaires barbares sénégalais ont joué au Maroc dans les massacres perpétrés par les forces d'occupation. Au départ, cette armée « royale » a été conçue comme « ferme » d’ « élevage » d'une caricature de futurs « Pinochet », mais absolument pas de futurs Nasser, Amqran ou Kouira !!

Le colonialisme a aussi eu le temps de former, dans ses écoles, tout son arsenal de division et de destruction - de l´intérieur - culturel et politique pour affaiblir notre système immunitaire et pour mieux gérer le néo-colonialisme sioniste idéologique et bien placer ses pions : ses Ahrdan « berbers », ses « laïques » marxistes, ses « athéistes », « libéraux », ses Benzakine, Azoulay, ses Serfaty etc...(14)

Source :

http://radioislam.org/rami/interview-alkhabar-fr.htm

L’interview en Arabe : http://radioislam.org/rami/interview-alkhabar-ar.htm

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Note Ribaat :

(1) : « Dans cette lettre, j'ai essayé, en citoyen actif, de formuler des conseils pratiques au nouveau chef d'état (…) valables pour tous les dirigeants arabo-musulmans d'aujourd'hui »… :

Tous les dirigeants « arabo-musulmans » ne sont pas forcement des arabes et des musulmans. L’ancien militaire Ahmed Rami aux informations précieuses, ne fait pas mention des autres terres d’Islam colonisées par l’ennemi en dehors du Maghreb. Je parle des idolâtres Chiites en Iran, des idolâtres Nusayrî en Syrie, ou encore des Communistes athées et sataniques non-arabes au Kazakhstan, à titre d’exemples. Par ailleurs, ce qui peut être ambigüe concernant tous ces Taghout en vrac, ne l’est pas pour ceux qui connaissent les règles Islamiques concernant la mécréance clair et la croyance clair. Je parle de tous les dirigeants sur terre, ils sont tous des mécréants quelques soient leur race ; ils légifèrent avec une des idéologies de Satan.

LA seul LOI légiférer par Allah c’est Sa RELIGION. Qu’est ce que cette Religion ? C’est un code de vie, temporel et spirituel qui règle tous les problèmes sur terre quelque soit le temps, tout en traçant un chemin au Paradis par le monothéisme pur, loin des ruses de Satan qui mènent en Enfer ! Qu’est ce que ce code de vie ? L’ISLAM ! C’est quoi l’Islam ? Faire la volonté de notre Créateur qui est béni éternellement, les Lois divines dans l’Islam furent parachevées par notre Législateur Allah, il y a plus de 1400 ans, pour être valable jusqu’à la fin des temps !

Est-ce que la démocratie est la Volonté de Allah ? Je vous laisse répondre par vous-même…

(2) : « Ce dont nous avons bien besoin au Maroc, c'est d'un régime vraiment démocratique choisi et directement élu par le peuple (…) ce dont nous avons bien besoin au Maroc, c'est d'une véritable révolution économique, sociale, culturelle et politique »… :

A cela trois réponses :

A- La démocratie c’est la volonté du peuple qui choisi un dirigeant uniquement laïque et imposé d’office pour régler les problèmes par des idées fabriquées, alors que l’Islam c’est la volonté de notre Créateur Allah qui Sait d’avance ce qui est bon ou mauvais pour nous, les vrais musulmans et musulmanes sont donc soumis à qui d’après vous ?! Pourquoi Ahmed Rami propose la démocratie, alors qu’il est censé être un musulman qui défend son pays ?

B- Admettons qu’une première génération à la majorité choisisse « démocratiquement » l’Islam comme système d’Etat, comment peut-on être sûr qu’elle en sera ainsi pour toute les générations à venir ? Satan travaille durement et l’homme oublie, sans oublier les hypocrites incrustés comme des sangsues au sein de l’Islam, si Allah impose l’Islam ce n’est pas par hasard, car Il connaît Ses créatures, sinon Il nous aurait simplement crée parfait, mais alors le but de la vie serait contradictoire aux enseignements divin. Non, ALLAH EST PUR ET PARFAIT, sans connaître l’erreur, l’’humanité lui est toujours assujettit à l’erreur mais guidé par la Parole divine, seul les croyants et croyantes Ressusciteront véritablement parfait au Paradis en récompense de leur soumission dans la paix à notre Créateur qui voit ceux qui le prenne réellement pour allié secourant Sa Religion afin de les distingués en dehors de ceux qui ne font rien !

C- Oui, il faut une véritable révolution au Maroc de même dans le monde entier, mais si elle s’avorte par un non retour aux valeurs supérieures et divines de l’Islam, de qu’elle « révolution » parlons-nous ?

(3) : «…leurs constitutions doivent être fondée sur les valeurs spirituelles bien ancrées de la nation et des hautes valeurs de leur époque ; leur dignité doit être fondée sur celle de ses citoyens »… :

La démocratie de Satan est toujours liée au nationalisme qui est l’une des portes qui mène en Enfer. Ainsi, les valeurs Franc-maçonnique tels que « nation » ou « citoyen » sont issues de la colonisation occidentale, notamment des frontières meurtriers et accords forcé de l’ennemi Sykes-Picot. Ahmed Rami semble être influencé par le nationalisme, jusqu’à dire que la nation est « spirituelle » donc c’est une forme d’adoration !

(4) : L'expérience que le Maroc a eue avec les crapuleux sultans alaouites nous démontre que la monarchie – « constitutionnelle » ou non - est catégoriquement incompatible ave l'Islam, avec les temps modernes et la démocratie »… :

Posons deux questions à tous les nationalistes et leurs suiveurs avec ou sans conviction, habitants les terres d’Islam colonisés par l’ennemi.

A- Avez-vous oubliés votre propre Religion qu’est l’Islam, ou bien préférez-vous l’abandon ?

B- Quel est la seul valeur spirituelle dans c’est trois choix aux yeux de Allah : l’Islam, les temps modernes ou la démocratie ? Et quels sont les preuves ? Est-ce qu’un Livre divin comme preuve est inferieur ou supérieur aux idéologies humaines ?

Ces questions sont valables pour tous ceux qui ce prétendent musulman et musulmane, vivants en occident ; que Allah nous guide.

(5) : « Mais, dans le monde arabe d'aujourd'hui, faible et divisé : ce ne sont pas seulement les monarchies corrompues et tyranniques qui essaient de s'éterniser - au 21ème siècle - en se camouflant sous des airs de « constitutionnelles ». Ce sont mêmes des « républiques » actuelles qui essaient aussi de s'éterniser en « républiques » monarchiques, en instaurant le principe monarchique de succession du pouvoir par l'héritage dynastique ! »… :

Tout à fait vrai, un seul mot cité par Allah définit ces ennemis de l’Islam : ils sont tous des Taghout à abattre par le Jihad pour que la Parole de Allah soit la plus élevée. Pensez-vous que l’Etat de l’Islam mondial prophétisé arrivera uniquement par la plume ? Avez-vous lus les livres d’Histoires en Islam ? Connaissez-vous les règles Islamiques du Jihad armée et son assistant inséparable, le Jihad médiatique ?

Si j’insiste avec ces différentes questions et ceux qui suivront, c’est uniquement pour amener les musulmans et les musulmanes sincères à comprendre la réalité des gens qui vivent en terre d’Islam : l’influence du nationalisme imposée par le Colonialisme des Juifs et Croisés, et leur allié chez les Franc-maçons sataniques, camouflant d’autres ennemis de l’Islam !

Par ailleurs, Ahmed Rami souligne encore un autre mot Franc-maçonnique : la « constitution » ! Peut importe le gouvernement en place élu ou imposé, ce mot à un seul sens dans la doctrine de la démocratie : c’est le peuple qui choisi des hommes et des femmes laïques pour élever des lois qu’ils inventeront, le pouvoir appartient au peuple qui choisi sa destruction en rejetant derrière leur dos le Livre de Allah, le saint Coran indissociable avec le Sunna ! Même si un sois disant « parti Islamique » décide de passé par la case « démocratique » pour « espérer » appliquer l’Islam, et bien ce parti indésiré par les laïques devra obligatoirement adopter la posture d’un soumis aux lois Franc-maçonniques, et devenir ainsi un « parti Hypocrite » ! C’est ça la démocratie ? Oui dans toute son horreur réel ! Si les mécréants et son système démocratique fut imposer par les génocides des musulmans, pensez-vous que ces mêmes criminels aujourd’hui donneront l’Islam à bras ouvert à la demande du peuple ? BIEN SUR QUE NON, MEME APRES DES MILLIARDS D’ANNEE !

(6) : « La liberté et la démocratie doivent être (…) en tant que règles de jeux démocratiques définies par une constitution élaborée par une constituante librement et directement élue par le peuple. (…) des partis politiques, selon leurs idéologies pour que les citoyens choisissent - par des élections libres - les programmes et leurs représentants, pour les appliquer. » … :

Tout est dit, la méthodologie de la démocratie ! Mais reposons tout de même d’autres questions : Quels serait ces idéologies ? La Sharia de Allah, ou les doctrines Franc-maçonniques républicaines ? Est c’est partis politiques sont-ils sorties du néant ou du Livre de Allah ? Est-ce que le Livre de Allah à un seul ou plusieurs parties politiques ? Quels sont les exemples ?

Les « élections libres » et la « liberté », représentent deux autres concepts Franc-maçonnique, pour manipuler un peuple. Sachez qu’un peuple ne se donne JAMAIS la bonne voie, elle s’égare sciemment. Allah a envoyé d’innombrables Prophètes et Messagers (paix sur eux tous) pour que les peuples ne s’égarent pas, en suivant la Religion, tandis que d’autres furent détruit pour avoir persisté dans l’incrédulité. Le pouvoir appartient entièrement à Allah. Le dernier Prophète Mohammed (paix et bénédiction de Allah sur lui) à donc apporter la Religion, sauf qu’elle fut parachevé et valable maintenant pour tous les peuples jusqu’à la fin des temps. Voyez-vous une autre Religion divine et un autre Livre divin qui bouleversa à nouveau la terre après 1400 ans ? Non évidemment !

Arrivé à ce niveau de lecture, les ambigüités doivent êtres abondantes n’est-ce pas ? C’est pour vous amenez, chers musulmans et chers musulmanes à prendre part à la réflexion, jusqu’à comprendre le Tawhid (l’Unicité de Allah) et qui fut pendant 13 années consécutives, enseigné par le Prophète Mohammed (paix et bénédiction de Allah sur lui) avant qu’il ne passe au Jihad armée contre les injustes persévérants ! Aujourd’hui, plus d’excuse pour s’attarder sur cette question, tellement l’actualité est contre l’Islam spirituel et temporel !

(7) : « Donc mon but secret essentiel quand je suis devenu officier n'était pas de faire une carrière militaire, mais de renverser la dictature monarchique corrompue, d'abattre la tyrannie. »… :

En effet, la Oumma musulmane se range et verse son sang pour Allah ! Mais sous quel étendard ? Ceux des drapeaux nationalistes ou celui de l’État Islamique ? Par Allah, la tyrannie est en phase d’être fini…Par qui ? Les signes de la fin des temps en Islam vous sont-ils rapportés ?

(8) : « En Suède, j'ai décidé de m'engager à fond sur le front de la résistance intellectuelle médiatique dans le cadre de l'Intifada palestinienne (…) « Radio Islam ». La réaction des juifs et d'Israël a été immédiate et violente ! (…) la cour d'appel de Stockholm me condamna à six mois de prison ferme que j'ai purgés « pour avoir manqué de respect » à l'occupation juive de la Palestine ! (…) Je n'exagère pas et je n'ai pas besoin d'exagérer dans mes critiques et mes analyses du judaïsme et du sionisme. »… :

Tout a fait vrai, l’étude du Judaïsme et du Sionisme est machiavéliquement incroyable à lire. Des hommes et des femmes qui ceux disent « serviteurs de Allah » mais ont les mains remplis de scélératesses, en un mot : des hypocrites ! Le 7ème étage de l’Enfer est la demeure la plus dur à l’encontre des orgueilleux et leurs CON-frères les hypocrites, au Jour de la Résurrection de l’humanité et des djinns !

Mais pourquoi Radio-Islam ? Même si vous êtes outrés du comportement des Juifs et que vous le combattez avec tout ce qui est possible ; cela ne fait pas de vous un musulman ; car pour l’être c’est la prière obligatoire qui vous donne ce titre, juste après avoir validé le Tawhid. En même temps que nous découvrons les aveux intéressant d’un ancien militaire à l’encontre du Taghout à destitué au Maroc, nous comprenons aussi que Ahmed Rami, à un conflit entre Sharia de Allah et démocratie.

(9) : « Quand il n’y a pas de démocratie dans un pays, quand le régime n'a aucune légitimité populaire, quand l'État se comporte en force occupante et qui n'a que des reflex sécuritaires, la dictature est alors à comparer avec une occupation étrangère. Et là où il y a occupation, il y a résistance ! »… :

Si on regarde l’état des choses, le monde entier est sous la dictature des états démocratiques ! Ceci est un fait, elle fait peut être « moins mal » en occident, dans le tiers monde « beaucoup plus » ; il n’empêche que tout le monde est assujettit à des pervers aux pouvoirs qui passent des lois quand bon leur chante même si le peuple se met en colère.

Les têtes de la mécréance ne comprennent qu’un seul langage, la manière forte ! Ainsi la France terroristes passe des lois sur l’homosexualité, le lesbianisme, la pornographie, etc…légalisés dans le cadre du complot Franc-maçonnique de détruire la famille en Europe. Sans compter les guerres injustes que mène la France enragé au Mali, en Afghanistan, en Irak, en Syrie, etc…Avec ses génocides contre les musulmans et musulmanes bombardés et massacrés.

Et les autres pays occidentaux ne valant pas mieux ; aujourd’hui elles en payent le prix fort, par des contre-attaques de l’Etat Islamique dans leur propre sol, car qui sème le vent récolte la tempête ! Surtout les Etats-Unis et la Russie terroristes ! Ce sont donc des forces occupantes, aussi pervers que leurs acolytes tyrans en orient et ailleurs dans le monde, à la différence prêt de la qualité de vie. Mais est-ce la richesse qui détermine notre entrée au Paradis ou en Enfer ?

(10) : « Alors, ce qui s´est passé à Casablanca, le 11 mars 2007, n´est qu’un symptôme, parmi d’autres, de la grave calamité abattue sur notre pays et du mal dont il souffre. Au lieu de s´attaquer à l´infection, le pouvoir essaye d´exploiter cet événement pour détourner l´attention des vrais problèmes. »… :

Pour chaque « acte terroriste » comme ils disent, les têtes de la mécréance n’hésitent pas de calomnié la résistance. Avez-vous déjà vu les colonisateurs comme les Juifs par exemples, rendre les terres d’Islam, sans que les opprimés puissent combattre ? De la même manière le néo-colonialisme au Maghreb et en Orient aujourd’hui sera combattu jusqu’à son enterrement, par la volonté de Allah !

(11) : « Notre nation islamique est constamment agressée et humiliée, surtout par l´arrogance et l´occupation terroriste juive en Palestine. Nos peuples sont persécutés et violentés par des dictatures stupides au service de nos ennemis. (…) À mon avis, il n’y a pas d´Al-Qaïda dans la région. Ce qu´il y a vraiment, dans la région, ce sont des régimes dictatoriaux terroristes et illégitimes qui font le lit des mouvements qui leur parlent leur langage ! »… :

Certes l’Islam est agressé, mais pourquoi dire « nation islamique », alors que Ahmed Rami défends la « légitimité » de plusieurs partis politiques. Non ! Un vrai musulman ne parle pas comme cela ou alors il se tait s’il n’a pas la réponse adéquate au sujet du TAWHID ! Pour ce qui est d’Al-Qaïda en 2007 ; elle était très active sous le seul chef, Sheikh Oussama Ibn Laden (que Allah lui accorde le martyr), appelé AQMI (Al-Qaïda au Maghreb Islamique), sans compter d’autres groupes qui lui sont affiliés ou non !

Beaucoup de Moudjahidin du Maghreb en passant du Maroc jusqu’en Egypte ont même prêtés allégeance au retour du Khalifa, plus loin au Nigéria, notamment la résistance armée Boko haram. Une des ruses des médias-magiciens et de dire que Boko haram a kidnappé pour son compte plus de 200 lycéennes, mais les médias-magicien n’apportent jamais les faits au complet avant cette acte : Elles furent kidnappées et en otages car les soldats terroristes et nationalistes du Nigéria ont préalablement comme des lâches kidnappés des femmes de Moudjahidin de Boko haram dans les villages ! En espérant récupéraient leurs femmes kidnappés par les pervers en échange des otages mise en sécurité, est Allah est plus savant.

Par la même occasion, nous espérons aussi que les derniers Moudjahidin chez AQMI puissent enfin et comme ses frères dans le monde, prêter allégeance au retour du Khalifa évidant et l’Etat Islamique manifeste !

(12) : « La seule solution - pour sauver notre pays de tous ces conspirations - est d´y instaurer une vraie démocratie, la liberté d´expression et d´organisation politique pour tous les citoyens, y compris pour les islamistes ! »… :

Il n’y a jamais eu de vraie démocratie ou autre similitude, puisque dès le début c’est une doctrine de Satan/Iblis le djinn lapidé ! Donc dire vrai ou fausse cela ne change rien, car les doctrines des hommes sont tous voués à disparaitre, quand bien même les mécréants restent les plus gentils en démocratie, cette route dangereuse les mènera en ENFER à cause du Shirk, qu’est le fait d’associer des législateurs avec Allah le Seul Législateur légal !

(13) : « Nous pouvons même affirmer qu'Al-Qaïda - telle qu´elle est présentée par les médias sionistes - n´existe pas. N´importe quel groupe ou individu peut se dire d´Al-Qaïda, et n´importe quel action peut être accréditée à « Al-Qaïda ». Donc le Mossad et les services secrets du régime marocain peuvent aussi abuser de ce nom pour intoxiquer, infiltrer et manipuler ! » :…

Les Juifs ne contrôlent rien, la puissance tout entière appartient à Allah seul ! Allah leur donne un éphémère et court pouvoir jusqu’au jour où ils suivront comme des moutons leur divinité Ad-Dajjal borgne pour leur propre destruction ainsi que leur gourou infidèle ! De plus, dire que Al-Qaïda n’existe pas est davantage une erreur d’interprétation de l’actualité, qu’en nous voyons le travail accompli depuis des années chez la noble résistance musulmane dans le monde, jusqu’au rétablissement de l’Etat Islamique le 15 Octobre 2006, qui suivi naturellement le Khalifa obligatoire le 29 Juin 2014, retournés dans une Oumma musulmane qui était orpheline de ces derniers. Enfin, aucune personne ne peut faire un attentat contre les intérêts des colonisateurs occidentaux au nom de Al-Qaïda qui ne manque pas de le faire savoir par un communiqué officiel, si il n’y a pas de communiqué officiel alors effectivement cela ne vient pas de Al-Qaïda.

A l’heure où j’écris ces lignes, la communauté mécréante n’a pas réussi à discréditer Al-Qaïda et les groupes armées qui lui ressemble, et surtout l’État Islamique et le Kalifa. Mise à part une poignée de naïfs qui avalent tout ce qu’on leur dit, s’improvisent « investigateurs » et vocifèrent à tout va que les Moudjahidin seraient des soi-disant « agents israéliens et américains »…bientôt des extra-terrestres peut-être !? Et au jour de la Résurrection que diront-ils alors ?

(14) : « Après 45 ans de résistance populaire, notre indépendance fut, comme je l'ai dit auparavant, avortée en 1956. Ce qui fait que le pouvoir n´a pas été alors transmis aux résistants et au peuple, mais à une poigné de traîtres et des « karzaï » traîtres ! Donc les occupants ont tout simplement remis le pouvoir à leur propres agents du néocolonialisme pour protéger (nouveau protectorat « Protectorat ») leurs intérêts. Et la domination étrangère a eu largement le temps de former les « cadres » néocolonialistes nécessaires (sécuritaires, militaires, culturels, médiatique, idéologiques et politiques) pour gérer et protéger le néo-colonialisme ! »… :

La même histoire c’est déroulé en Algérie, après l’indépendance, les harkis aux services de la France gouverneront et enchaineront le pays jusqu’à ce jour. Tout comme les alaouites du Maroc, les gouverneurs en Algérie ne sont pas des musulmans, mais tous des mécréants à abattre ; qui attaque l’Islam et la Oumma musulmane ; tout en servant vilement leurs maitres judéo-croisés et sataniques en occident !...

Ceci étant dit ; puisse Allah manifester Sa Gloire sur toute la surface de Sa terre, en dépit des manipulateurs d’esprit, et que le Très Haut guide les gens sincères sur la bonne voie, amine.

La télévision de Mohamed VI au service d'Israël

Auteur : Radioislam.org / 2009

Pendant le déroulement du massacre juif à Gaza [décembre 2008 - Janvier 2009] les chaines des télévisions de l'Etat au Maroc, comme d'ailleurs celles des autres régimes arabes, continuaient à diffuser des chansons de décadence et des programmes de variétés et de distraction, ignorant totalement la tragédie de nos frères palestiniens. Face à cette honteuse et perfide attitude, voici quelques réactions des citoyens marocains exprimées sur le site marocain Hespress : http://www.hespress.com/

* La chaine de télévision juive au Maroc « 2M », totalement enjuivé et déconnectée de ce qui se passe vraiment dans notre pays et dans le monde, veut fêter le nouvel an juif avec leurs merdes de « chanteurs », d’« artistes » et d’« humoristes » mercenaires de la propagande juive ! Cette chaine - au service d'Azoulay et d'Israël - est sans contenu vraiment médiatique : ni vrai journal, ni vrais documentaires, ni professionnalisme.

* C'est à se demander comment le gouvernement et le peuple ont pu accepter une telle bassesse de niveau que nous citoyens payons avec nos impôts et de notre poche pour financer la propagande vulgaire juive. « 2M » fait partie de la machine rouillée de la propagande de guerre médiatique juive israélienne.

* C'est honteux et dégradant pour notre peuple de voir ces sales séries « Mexicaines » de merdes qu'on sert à notre peuple. C'est comme si notre peuple n'a aucun autre problème à traiter dans ses médias ! Où comme si les auditeurs de nos stations de télévision ne sont tous que des juifs ou des chrétiens judaïsés !!

* On vise par ces médias juifs à droguer les marocains et à exercer un lavage de cerveaux systématique pour neutraliser et désorienter notre jeunesse ! En réalité :qu'attend-t-on d'un gouvernement et d'un régime dirigés par des juif sionistes et par leurs pédés, tels que le juif Azoulay et sa marionnette homosexuel Mohamed VI, et l'enjuivé - d'origine juive - le premier ministre El Fassi !

* La chaine juive « 2M » se prépare - comme d'habitude - à célébrer, à sa façon, la « fête » du nouvel an 2009 pour fêter avec les juifs le massacre qu'ils ont en train de perpétrer contre le peuple palestinien frère à Gaza !

* Le baratin et les Bla Bla Bla ne suffisent plus ! Ces bla bla qui nous ont menés à ce niveau d'humiliation, de décadence et de faiblesse face aux forces du mal juives !

* Le monde se moque bien de nos opinions ! Car il sait bien que tout ce que nous pouvons faire est de bavarder et de se calmer plus tard par le lavage « aspirinal » de nos cerveaux par la propagande juive !

* Il faut que nos concitoyens réagissent par des actions concrètes pour pouvoir arrêter cette honteuse tragédie dont nous sommes tous des victimes faciles et sans défense tel que ce massacre que commettent aujourd'hui ces cochons de juifs tueurs contre nos frères à Gaza !

* Pour le 2M, comment ne pas fêter les massacres juifs ? Les juifs feront n'importe quoi pour glorifier leurs massacres. C'est le sal boulot de leurs mercenaires propagandistes placés à la tête de la chaine de 2M !

* Comment cette chaine juive fera-t-elle pour démontrer son amour de toujours à ses patrons juifs face aux marocains qui crachent souvent sur les lâches et les collabos qui se prostituent aux ennemis de leur pays, et qui - comme un cancer - polluent partout au Maroc.

* Laissons la « 2M » juive fêter le nouvel an devenu juif, car bientôt ça sera notre fête à nous quand elle et ses maitres sionistes quitteront notre pays actuellement occupés par eux, pour leur nouveau payé occupé : la France !

* La vraie mission de la station juive 2M est bien claire. Sa mission est l'abrutissement des marocains. C'est sa raison originale d'existence ! Si elle manque à cette responsabilité elle violerait son cahier des charges ! Ses responsables seront virés. Le « gourou » juif de Mohamed VI, Azoulay, avait immédiatement licencié des responsables d'un programme politique de la télévision d'Etat au Maroc quand son contenu ne lui a pas plus !

* Attendez vous à une sacrée soirée juive payée par les contribuables à toute la racaille enjuivée et putes dans le pays !

* On a promis des centaines de millions pour faire oublier Gaza. Comment alors ne pas fêter le génocide perpétré par les juifs ? Sur 2M, et sur toutes les chaines juives, on dansera ainsi au rythme des bombardements génocidaires juifs à Gaza !

* Nous sommes tous avec le peuple palestinien. J'espère que les 2 chaines marocaines prennent en considération les sentiments des marocains et annulent tous les programmes décadents juifs.

Source : http://radioislam.org/gaza/television-m6-au-service-d-Israel.htm

Le roi du Maroc compte sur le Mossad pour conserver son royaume et nuire à ses voisins

Mohamed Ibn Khaldoun, 27 Août 2014 | 10:09

On se rappelle des déclarations fracassantes de l’écrivain juif franco-marocain Jacob Cohen. Il avait publié dans son blog un article sur la présence du Mossad au Maroc. Cet article avait suscité des réactions auprès des observateurs politiques, sans faire réagir le sérail du roi.

L’auteur avait révélé que le conseiller juif du roi Hassan II, puis de Mohammed 6 (VI), André Azoulayn’était en réalité qu’un espion du Mossad. L’auteur ajoute que le conseiller du roi était déjà un membre de l’organisation des sayanim du Mossad quand il vivait à Essaouira, et que son réseau était très actif. Suite à cette déclaration,les autorités royales ont gardé le mutisme, aucun commentaire n’a été enregistré émanant du sérail. De même, la personnalité ciblée n’a pas réagi. Alors qu’indirectement les autorités de Rabat avaient annulé une conférence qui devrait être organisée par l’écrivain antisioniste Jacob Cohen sur le sujet de la coexistence des juifs et des musulmans au Maroc. Cette annulation a été expliquée par le fait d’éviter d’enflammer le sujet de l’accusation de son compatriote le conseiller du roi.

Cette accusation est venue suite à la parution du livre de Jacob Cohen « Le printemps des Sayanim ». Les sayanim sont les juifs de la diaspora qui, pour des raisons « patriotiques », collaborent à plein temps avec le Mossad et d’autres organismes sionistes. Cela est une règle depuis la création de ce réseau terroriste hébreu, tous les juifs du monde sont recensés comptés et pointés régulièrement, et devront obligatoirement devenir des espions « patriotes » dans les pays où ils se trouvent, en particulier dans les pays du Maghreb, où le sionisme international considère que le grand Israël passe de Jérusalem jusqu’à Casablanca !

Le réseau a été créé dans les années cinquante et a été utilisé dans beaucoup d’opérations des services secrets ou à des fins de propagande, ainsi que pour inciter les juifs à quitter leurs communautés pour venir s’installer comme colons en Palestine.L’infiltration par Israël de la cour royale marocaine n’avait pas comme seul propos de faire partir les juifs du Maroc. Le Mossad voulait aussi influencer la politique d’Hassan II et empêcher tout rapprochement entre lui et l’Egypte de Gamal Abdel Nasser.

Récemment, le président israélien Shimon Peres a organisé une réception en l’honneur de l’agent israélien qui avait organisé les premières immigrations de juifs marocains en Israël. David Littman est arrivé au Maroc en prétendant être un clergyman anglais et s’est installé à Casablanca. Il a mis au point une méthode pour transférer les juifs marocains en Israël connue sous le nom d’Opération Mural, qui ciblait des enfants juifs marocains. Littman prétendait organiser des séjours de vacances d’été en Suisse pour les enfants pauvres, mais en fait il les envoyait en Israël. A cette époque, les militants algériens étaient conscients et avaient signalé ce coup fumant au roi Mohammed V, mais la gentillesse du roi avait laissé faire. Pour les observateurs politiques, ce laisser-faire s’est vu récompenser en argent, plus encore durant le règne du roi Hassan II, qui a personnellement supervisé les départs des juifs du Maroc vers Israël.

L’auteure française Agnes Bensimon décrit dans son livre Hassan II et les juifs la manière dont le Mossad a initié les négociations avec Hassan II après la mort de Mohammed V. Le nouveau roi a exigé un demi-million de dollars pour faciliter le départ d’un premier contingent de 50 000 juifs, et la même chose pour le contingent suivant. Cela a aussi été révélé par Simon Levy, un des juifs marocains qui a résisté à la pression d’émigrer en Israël et qui est mort il y a deux ans après avoir été un dissident pendant le règne d'Hassan II. L’argent pour le transfert des juifs marocains a été viré par Israël sur des comptes secrets en Suisse, au nom même du roi, semblerait-il.

Mais Ahmed Reda Kidira, l’ami du monarque qui a négocié les transactions pour le compte du roi et qui a plus tard été nommé conseiller, n’a pas été oublié. Les opérations lui ont permis de financer son quotidien Les Phares, qui était de fait le porte-parole du palais et dont la spécialité était de dénoncer les critiques du roi. La « guerre des Sables » ou l’agression marocaine contre l’Algérie en 1963 a fourni à Israël l’occasion qu’ils attendaient lorsque Gamal Abdel Nasser s’est rallié à l’Algérie nouvellement libérée contre l’attaque marocaine.

Hosni Moubarak était alors chef d’escadrille, son avion a été touché par la DCA marocaine, il a été fait prisonnier pendant plusieurs mois. Les transactions durant cette époque entre Rabat et Tel-Aviv ont été conclues via Téhéran sous les auspices du shah d’Iran. Mais la coopération militaire entre les deux pays a continué. On pense qu’Israël a joué un grand rôle dans la construction du grand mur de sécurité de 2 600 km à l’ouest du Sahara destiné à empêcher les attaques du Front Polisario qui se bat pour l’indépendance de son territoire depuis 1975. Le conflit n’est toujours pas résolu en dépit du cessez-le-feu de 1999. Pendant les six années de guerre qui l’ont précédé, les combattants du Polisario ont souvent pris des armes à l’armée marocaine fabriquées en Israël ou en Afrique du Sud du temps de l’apartheid.

La coopération militaire a souvent entraîné une coopération des services secrets, surtout après que le chef du Mossad, Yitzhak Hofi, a organisé une rencontre secrète au Maroc en 1976 entre Hassan II et Yitzak Rabin, le Premier ministre israélien. La collaboration du roi avec Israël qui s’en est suivie a été largement documentée par des écrivains et des dissidents. Selon l’écrivain égyptien Mohamed Hassanein Haikal, dans son livre Kalam fi siyassa (A propos de politique), Hassan II a même autorisé le Mossad à installer des micros dans les lieux du Maroc où se réunissaient les sommets arabes. Le rôle le plus fameux qu’Hassan ait joué cependant, c’est quand il a aidé à l’accord de paix entre l’Egypte et Israël.

Israël lui en a été infiniment reconnaissant : il a émis un timbre de commémoration en son honneur à sa mort en 1999. En échange des services du roi du Maroc, Israël et le Mossad l’ont aidé contre ses opposants principalement. On a bien reconnu la main du Mossad dans l’enlèvement et l’assassinat de l’opposant marocain le plus célèbre, Mehdi Ben Barka, à Paris en 1965. On pense aussi que les Israéliens ont alerté le roi sur plusieurs coups d’Etat et autres complots fomentés contre lui dans les années 1960 et 1970.

Aujourd’hui, le Mossad espionne l’Algérie à partir du Maroc. C’est ce qu’a révélé l’ancien chef des renseignements militaires israéliens (Aman), le général Âmos Yadlin, en déclarant que les services secrets sionistes comptent des collaborateurs marocains résidant au Maroc pour cette mission, celle d’espionner le Maroc et l’Algérie. Le Mossad disposerait de 3 000 agents dans 11 pays arabes. L’ancien patron de la sécurité de l’armée sioniste ajoute :

« Au Maroc et en Tunisie, nous avons des agents disséminés à différents niveaux, dans les milieux politiques, économiques, culturels et sociaux, et peuvent faire la promotion d’Israël, tout comme ils peuvent contribuer à la déstabilisation des gouvernements.»

Il fait comprendre, aussi, que des réseaux israéliens, similaires à ceux implantés au Maroc, étaient en service également dans d’autres pays de la région, comme la Libye et l’Egypte :

« Nous sommes capables de provoquer et d’exacerber des crises tribales, confessionnelles et des tensions sociales, et ainsi maintenir ces pays sous pression interne », a indiqué ce sinistre général sioniste, ancien chef des renseignements de l’armée.

Par ailleurs, Abderraouf Ayadi, secrétaire général du mouvement Wafa tunisien, a indiqué qu’environ 300 agents du Mossad sont actuellement actifs en Tunisie, ainsi que des agents arabes. Hamma Hammami, le chef du Parti ouvrier communiste tunisien (POCT), a précisé que « des services de renseignement étrangers tentent de diriger la Tunisie vers la « somalisation ». Des Etats du Golfe n’ont pas intérêt à ce que la révolution réussisse. Des Etats occidentaux ont également intérêt à ce que cette révolution ne soit pas couronnée de succès ».

Le Mossad a toujours espionné l’Algérie, à travers une variété d’agents et de traîtres. On indique, selon certains dossiers confidentiels, que des anciens collabos algériens avec les autorités d’occupation (Sdece, DST, 2e bureau, etc.) avaient été réactivés après l’indépendance, alors que des familles juives d’Algérie avaient durant l’occupation manipulé l’administration et l’état civil, en usurpant des états civils de familles algériennes disparues dans les massacres perpétrés par l’occupant français. Ce qui n’est pas chose facile à découvrir après un demi-siècle d’indépendance, mais le réaménagement général de l’administration de l’état civil en Algérie actuellement peut activer dans le bon sens pour découvrir certaines manipulations, notamment les usurpations d’identité.

Ceci d’une part, de l’autre, des observateurs se sont interrogés sur « l’appartenance » du Mouvement terroriste Mujao, auteur de l’enlèvement le 5 avril 2011 de diplomates algériens à Gao, au Mali. Cette organisation est suspectée de travailler pour le Mossad. Par l’enlèvement de ressortissants français, Israël veut impliquer la France où le lobby sioniste est très actif, pour détourner les regards de son occupation barbare des territoires palestiniens. Comme par hasard, le Mujao n’a pas été cité parmi les groupes terroristes dans le continent africain !

Alors qu’on se rappelle qu’en milieu des années soixante-dix, un espion du Mossad a été interpellé à Oran, il portait un passeport allemand et activait sous la couverture de professeur à l’université d’Es-Senia. Cet espion s’intéressait à l’activité de la base navale de Mers El-Kebir.

Au milieu des années quatre-vingt, c’est la découverte d’un autre espion, un médecin algérien. La liste n’est pas close, durant les années quatre-vingt, le Mossad a activé dans les milieux des commerçants juifs de Marseille qui a accueilli des Algériens de toutes couches, certains sont tombés dans le piège du Mossad, mais très vite repérés et localisés.

    

  Les massacres de villageois Rorhinjas se font avec la supervision directe de généraux israéliens ! Cela est une information publique et connue de tous sur les médias anglophones!

   Le mossad avait armés et financé et entrainés des milices hutus au Rwanda qui ont exterminé les tutsis avec des machettes fournies par la France de Mitterrand;  et la France a financé radio milles collines qui appelait au génocide ; fort de cette expérience des milices de boudhistes ont été crée pour exterminer les Rorhnijas avec des machettes comme au Rwanda mais cette fois beaucoup de pays financent ces milices et achétent les machettes ceux du CommonWealth comme l'Arabie les émirat le Qatar des appels aux meurtres de musulmans sont publics à la télévision birmane mais aussi sur certaines radios crée sur le modèle franco-israélien de radio milles collines!

   L'opération Turquoise fait polémique
Quelque 2.500 soldats français ont été envoyés au Rwanda de juin à août 1994 dans le cadre de l'opération "Turquoise", autorisée par l'ONU, afin de mettre fin aux massacres en cours. Auparavant alliée au régime rwandais alors constitué d'Hutus, la France a toujours assuré qu'elle avait cessé de fournir des armes aux forces rwandaises quand elle a eu connaissance des massacres. Mais l'intervention française au Rwanda a toujours fait polémique, et plusieurs voix ont dénoncé le fait que la France, sous couvert d'une opération humanitaire, aurait en réalité protégé et réarmé les génocidaires. Lors d'une audition parlementaire en 2014, Hubert Védrine a reconnu implicitement les faits : "Il y a eu livraison d’armes pour que l’armée rwandaise soit capable de tenir le choc (…) Donc il est resté des relations d’armement, et ce n’est pas la peine de découvrir sur un ton outragé qu’il y a eu des livraisons qui se sont poursuivies."

   

 

Des archives encore classifiées. Les documents cités par la Revue XXI confirmeraient que la France a toujours soutenu les génocidaires Hutus tout en ayant conscience que ceux-ci venaient de commettre le génocide dans les trois mois précédents. L'État français aurait ainsi violé un embargo sur les armes décrété un mois plus tôt par l'ONU, qui avait déjà employé le terme de "génocide" pour parler du Rwanda.

"Oui, la France savait tout des massacres", en conclut Patrick de Saint-Exupéry. "Il y a une implication extrêmement importante et, à vrai dire, mystérieuse des plus hautes autorités françaises dans les événements du Rwanda", a encore indiqué le journaliste àL'Obs. Les archives évoquées par le haut fonctionnaire sont toutefois inaccessibles aux chercheurs et aux historiens. Selon Patrick de Saint-Exupéry, François Hollande n'a pas tenu sa promesse de déclassifier les documents sur le génocide au Rwanda "à cause du constat qu'a réalisé ce haut fonctionnaire qui a vu des documents extrêmement compromettants".

  Mitterand a envoyé son fils Jean christophe dans un kibboutz  Kfar Hanassi en 1970 pendant six mois ! Donc Mitterand était lié au Mossad et donc a pu autoriser le génocide au Rwanda mais aussi le génocide du peuple algérien et la création des GIA?

L'implantation du Mossad en Afrique pour le pillage des diamants de l'or et bois précieux et la dissémination du sida s'est fait avec la complicité du Maroc ! Comme en Birmanie et au Rwanda le génocide des musulmans centrafricains se fait avec des machettes !

    

    En Centrafrique, l'appartenance religieuse vous condamne à la mort. Epuration religieuse, nettoyage ethnique, il s'agit plus précisément d'un génocide farouchement soutenu par le Président déchu François Bozizé et son entourage et des généraux israéliens.
 
La vidéo a été tournée en Centrafrique. On aperçoit plusieurs ex-officiers des Forces Armées Centrafricaines en uniforme militaire, reconvertis dans la milice "terroriste" Anti-Balles AK (Anti-Balaka). Une fosse commune est creusée et des musulmans centrafricains capturés qu'on aperçoit en arrière-plan, sont un à un allongés sur le sable et égorgés avec une machette soigneusement aiguisée. Chacun attend son tour calmement et impuissant en regardant ses prédécesseurs passer à l'abattoir. Les Anti-Balaka n'hésitent plus à filmer leurs forfaits et ne tiennent pas considération de l'âge, que ce soit un enfant ou un personne âgée. S'agissant des femmes, elles sont violés, parfois soumises à l'esclavage puis égorgées. Une nouvelle technique se répand, elle consiste à faire chauffer la « balaka » (machette) afin d'augmenter la souffrance pendant le démembrement vivant de la victime.
 
« Certains les appellent des patriotes, d'autres des terroristes, à vous de le déterminer selon la vidéo », souligne Ferdinand Taïno. 
 
Par ailleurs, l'un des chef des Anti-Balaka à Bangui, le fameux « Rambo » a admis recevoir « sa solde » en tant que soldat des FACA. Ce qui est le cas des milliers d'autres soldats ayant appartenus aux FACA. Autrement dit, le génocide des musulmans est subventionné par le pouvoir de Bangui.
 
Sans le savoir, le Tchad a contribué au paiement de la solde des FACA en débloquant et octroyant cinq milliards à l'Etat centrafricain pour le paiement des fonctionnaires centrafricains. Ce qui reste toutefois un geste de bonne volonté salué par plusieurs pays.


 Le Mossad a toujours voulu un génocide contre les musulmans de Centrafrique; des israéliens d'origine marocaine ou maghrébine ont publié des articles dans des journaus et des livres incitant au génocide des musulmans cela pour éliminer des concurents dans l'industrie du diamant et aurifère en RCA! L'armée israélienne est présente en Centrafrique et y possède des aéroports clandestins avec l'aval des grandes puissances et de la France et du Maroc ces bases servent au pillage massif de milliers de tonnes d'or chaque année; des généraux israéliens possédent le tiers des compagnies d'extraction des diamants et de l'or en Centrafrique comme la Sodiam !

 

   

Contrairement à Badica, la Sodiam qui est une compagnie israélienne appartenant au général du Mossad Lévy n’a néanmoins pas été inquiétée dans le rapport de l’ONU qui relève toutefois que la société continue d’acheter des pierres brutes qu’elle stocke pour le moment. Ce qui provoque l’indignation d’Abdulkarim Dan-Azoumi, lequel dénonce un acharnement. « Il a la malchance, si je puis dire, d’être musulman et ce rapport n’est pas juste », soupire un de ses proches qui ignore tout des circuits financiers de Badica.

L’activité illégale des envoyés spéciaux de HSBC Private Bank dans l’univers des diamants d’Anvers a donné lieu à une enquête des autorités belges. « La banque n’avait aucune licence pour une présence en Belgique », souligne un enquêteur belge qui pointe des rendez-vous réguliers au Carlton d’Anvers ou encore au Radisson Blu Park Lane. Interrogé le 29 septembre 2014 par la police judiciaire fédérale belge, le directeur juridique de HSBC Private Bank, David Garrido, botte en touche. Quant au devoir d’information sur les risques de créer une société off-shore n’ayant aucune activité réelle, comme Kampala « Holdings S.A » d’Abdulkarim Dan-Azoumi, il rétorque sans ambages : « ce n’est pas quelque chose d’illégal et je vous réponds que c’est une question de droit civil ».


                  

Il est clair, en tout cas, que lorsque le gouvernement de Luanda a confié à la fin de l’année 1999 à la Société SODIAM ASCORP [19][19]  L’Angola Selling Corporation est contrôlée à 49 %... le monopole d’exportation des diamants angolais, la question du financement des armes a une nouvelle fois pesé : l’homme retenu pour présider à cette réorganisation n’est autre, en effet, que le diamantaire israélien d’origine soviétique, Lev Leviev [20][20]  Ce fils d’une importante famille juive de Tachkent,..., dont les liens privilégiés avec Arkady Gaydamak [21][21]  Les relations entre Leviev et Gaydamak sont complexes :..., l’homme de l’« Angolagate » en France, et plusieurs marchands d’armes russes ne sont plus à démontrer.

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En Sierra Leone [22][22]  Alahji M. S. Bah, « Diamonds and Mercenaries, Exploring... également, l’exploitation des mines de diamants a donné naissance, sur les ruines du régime Momoh, à une véritable économie de guerre. Les combats entre, d’un côté, les gouvernementaux secondés par les Nigerians de l’ECOMOG (Force ouest-africaine d’interposition), les mercenaires anglais du colonel Bob Mackenzie, ceux d’Executive Outcomes [23][23]  De 1995 à 1997 Executive Outcomes est intervenu en..., ceux de Sandline [24][24]  En 1998, Global Exploration Corporation, la compagnie...et finalement la MINUSIL (Mission des Nations unies pour la Sierra Leone) épaulée par les Britanniques (depuis octobre 1999), et de l’autre, les rebelles du RUF de Foday Sankoh, se sont en effet tous concentrés, en dehors de la capitale, autour des mines d’or et de diamants du district diamantifère de Kono et Tongo. L’importance de la question des diamants dans ce conflit a été une nouvelle fois mise à jour, lorsque les pressions exercées sur le RUF (pour qu’il cède ses mines de diamants en application des accords paix de mai 1999) n’ont abouti qu’à une reprise des combats [25][25]  Prise d’otages en juin 2000 de 500 Casques bleus par....

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Depuis 1998, la République démocratique du Congo (RDC) est à rajouter au nombre des pays victimes des « conflict diamonds ». Dans les deux camps en effet, l’exploitation des mines de diamants est un enjeu stratégique. Du côté gouvernemental, les mines de la région Mbuji-Mayi dans le Kasaï oriental font l’objet de toutes les « attentions » [26][26]  Laurent-Désiré Kabila, suivant les traces de Mobutu,... de l’armée congolaise comme des alliés zimbabwéens qui ont massé autour de la ville une partie importante de leur troupes.

 

   BANGUI, 11 Mai 2017 (RJDH)–Le Chef de l’Etat centrafricain est en visite d’Etat en Israël pour renforcer la coopération entre Bangui et Tel-Aviv. S’appuyer sur le modèle israélien et ses acquis pour le développement de la RCA est l’objet de la visite de trois jours qu’a effectuée Faustin Archange Touadera et sa suite.

Ce vœu est aussi celui du Président centrafricain qui a déclaré qu’Israël est une référence pour la RCA, désireuse de tourner la page de sa longue crise politico-militaire. « Israël est une référence pour nous et nous voulons nous inspirer de votre modèle de réussite», a souligné Touadera.

Que peut-on espérer de cette relation ?

La RCA a expérimenté dans les années 1960 le modèle de développement israélien avant que les relations se refroidissent. L’ancien président François Bozizé voulait relancer en 2009 la coopération avec l’Etat Hébreu par Samuel Sternfeld, homme d’affaire israélien reconverti en marchand d’armes. Mais le voyage des émissaires centrafricains à Tel-Aviv a été annulé car un détachement des FACA à Ndélé était attaqué.

Dans un contexte où le gouvernement table sur les mesures dérogatoires pour réarmer les FACA, Israël est un Etat stratégique sur lequel le régime de Bangui peut compter en vue de faire de avancer le processus de levée totale de l’embargo sur les armes.

Israël semble déterminé à s’imposer sur le marché centrafricain et son Ambassadeur a été reçu le 02 mai par le président Touadera accompagné d’hommes d’affaires Hébreux, notamment Jacques Edery et l’entreprise Nikuv International Projects (NIP) qui veut gagner « un important marché de numérisation et de fabrication de documents administratifs en Centrafrique ». La société NIP est en compétition avec le groupe d’un centrafricain, Mr Dominique Yandocka et l’affaire continue de faire couler encre et salive.

La République Centrafricaine entretien des relations étroites avec l’Israël, matérialisée par la Jeunesse Pionnière Nationale (JPN). C’est pour la première fois qu’un Président centrafricain visite l’Etat Hébreu reconnu par la RCA le 23 décembre 1988.

    

Mais au-delà de la communauté de destins, la volonté de séduire l’Afrique subsaharienne obéissait à des raisons plus prosaïques. En pleine guerre froide, Israël menait son propre combat diplomatique. Il s’agissait de rompre une situation d’isolement en s’assurant le vote des pays africains aux Nations unies et de renforcer la sécurité de l’État en formant un « cordon sanitaire » autour des pays arabes perçus comme hostiles.

Au milieu des années 1960, Israël – farouchement hostile au régime d’apartheid sud-africain – entretenait des relations diplomatiques avec plus de trente pays africains. Il y a envoyé ses experts, formé des unités d’élite, vendu des armes. En 1966, une dizaine de pays africains ont reçu une aide militaire directe d’Israël. Un certain général congolais, Joseph-Désiré Mobutu, a même bénéficié, en 1963, d’un entraînement de parachutisme… Deux ans avant de prendre le pouvoir !

Cette politique d’ouverture s’est altérée à partir de la guerre des Six Jours, en 1967 : Israël est devenu une puissance conquérante. Mais la véritable rupture a eu lieu au moment de la guerre du Kippour, en 1973. Le franchissement du canal de Suez par les forces israéliennes a heurté les pays africains, et le choc pétrolier a accru leur dépendance pétrolière vis-à-vis des pays arabes. Résultat : à l’exception du Malawi, du Lesotho et du Swaziland, tous ont coupé avec Israël – qui s’est alors rapproché de l’Afrique du Sud raciste. L’isolement de l’État hébreu a atteint son paroxysme le 10 novembre 1975, avec la résolution 3379 des Nations unies assimilant sionisme et racisme. Les seuls pays africains à s’y opposer étaient le Malawi, le Lesotho, la République centrafricaine, le Liberia et la Côte d’Ivoire. 

      

 

C’est une information dont le Président français François Hollande, et son ministre de la défense auraient surement aimer s’en passer, dans leur croisade militaire africaine de plus en plus critiquée.
En effet Une vidéo qui tourne en ce moment sur le site youtube et les réseaux sociaux, incrimine l’armée française dans le génocide actuel dont sont victimes les musulmans de Centrafrique.
On y voit l’armée française désarmer uniquement les milices musulmanes, mais pas les milices chrétiennes appelées anti-Balaka. Au contraire on y voit plutôt une certaine complicité entre ces anti-balaka et l’armée française, notamment un haut gradé appartenant à cette milice qui relaie des consignes à ses hommes, des consignes provenant directement de l’armée française. « il m’a dit d’attendre de ne rien faire, ils vont d’abord ratisser le lieu désarmer les musulmans et quand ils auront fini c’est là que nous allons attaquer ». « il m’a aussi donné deux numéro sur lesquels je pourrai le contacter ».

 

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france
Une proximité qui dérange et décrédibilise complètement l’intervention militaire française en Centrafrique, où elle était sensée pacifier le pays en désarmant tout le monde. L’armée française en s’associant ainsi aux anti-balaka soutiendrait donc indirectement le massacre des populations musulmanes de Centrafrique.
Mais dans quel but ? pourquoi ne désarme t’-elle pas aussi les anti-balaka, qu’est ce qui se cache derrière cette inaction volontaire ? Est ce calculé ? autant de questions sans réponse.
La république centrafricaine est toujours plongée dans le chaos alors que le conflit s’apprête à fêter son premier triste anniversaire le 24 mars prochain, date à laquelle les rebelles Séléka venus du nord avaient renversé le président Bozizé, et pillé les populations majoritairement chrétienne, créant ainsi l’instabilité dans le pays et tout l’engrenage qui a suivi.

     

 

Les services de renseignement sud-africains accusent Israël « d’alimenter l’insurrection, » les ventes d’armes et de « s’approprier » les ressources africaines.

Des documents secrets obtenus par l’unité d’enquête d’Al Jazeera exposent un profond dédain par les espions de l’Afrique du Sud pour leurs homologues israéliens

En effet ces évaluations des services de renseignement accusent Israël de mener des politiques « cyniques » en Afrique qui comprennent « l’alimentation de l’insurrection », « l’appropriation des diamants » et même saboter l’approvisionnement en eau de l’Égypte.

La méfiance politique de la part des Sud-Africains n’est guère surprenante étant donné la vaste coopération militaire et répressive d’Israël avec le régime d’apartheid renversé en 1994. Le gouvernement sud-africain actuel est dirigé par le Congrès national africain, qui soutient l’Organisation de libération de la Palestine.

Une analyse produite par les services de renseignements sud-africains critique vertement une tournée des pays africains par le ministre israélien des Affaires étrangères en 2009, en la qualifiant « d’exercice de cynisme. »

Ce voyage de neuf jours d’Avigdor Lieberman en Ethiopie, au Nigeria, au Ghana, en Ouganda et au Kenya avait jeté les bases pour les ventes d’armes et l’appropriation des ressources africaines, en se dissimulant derrière « une façade philanthropique ».

Israël a longtemps entretenu des liens avec les pays africains sur la base de sa propre sécurité et de ses besoins diplomatiques. Ses liens avec l’ancien régime d’apartheid en Afrique du Sud étaient largement basés sur les besoins militaires, et incluaient la coopération dans le développement d’armes nucléaires.

Le Kenya, où les forces spéciales israéliennes ont préparé et organisé un raid pour libérer des otages détenus à l’aéroport d’Entebbe en Ouganda en 1977, est depuis longtemps un allié important.

Des rapports dans les médias israéliens et nigérians ont révélé le mois dernier que les États-Unis avaient bloqué la vente prévue par Israël d’hélicoptères militaires au Nigeria.

Les médias israéliens ont récemment salué l’approfondissement des liens d’Israël avec le président Goodluck Jonathan pour empêcher une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies le 30 décembre dernier, qui avait pour but d’imposer un calendrier pour un retrait israélien des territoires palestiniens occupés.

Le Nigéria avait tout d’abord signalé qu’il appuierait la résolution palestinienne, mais son abstention a finalement empêché la résolution d’obtenir la majorité voulue à l’intérieur du Conseil.

     

Rédigé par une équipe d’enquêteurs diligentés par le Conseil de sécurité de l’ONU, le rapport présente des preuves photographiques de fusils automatiques produits par les Industries militaires israéliennes (IMI) trouvés dans l’arsenal de l’armée et de la police du Sud-Soudan. Connus sous le nom de Galil ACE, les fusils ont notamment été utilisés par les gardes du corps de politiciens de haut rang et d’officiers supérieurs de l’armée.

Le Sud-Soudan a obtenu l’indépendance en 2011 après une guerre civile qui a duré des décennies. Dans les jours qui ont suivi sa création, des personnalités de l’industrie de l’armement israélienne se sont précipitées pour défendre leurs intérêts auprès de ce nouvel allié et contrer l’influence de l’Iran au Soudan.

Depuis sa sécession en 2011, le Soudan du Sud a sombré dans la guerre civile entre factions politiques opposées.

L’armée sud-soudanaise et les milices pro-gouvernement armées par Israël se livrent à la « politique de la terre brûlée », caractérisée par le viol systématique des femmes et des enfants, les massacres aveugles et l’incendie de villages entiers avec des familles à l’intérieur des maisons, selon le rapport de l’ONU.

Le Soudan du Sud n’est pas le seul pays africain où l’industrie de l’armement israélienne tire profit de l’effusion de sang.

Selon l’Institut international de recherche de la paix de Stockholm (SIPRI), Israël ne donne pas d’informations détaillées sur ses ventes d’armes, dont la plupart sont négociées par des intermédiaires très discrets, le plus souvent des militaires retraités ou des membres de la diaspora israélienne.

Toutefois, des reportages occasionnels, des déclarations publiques de fonctionnaires et des enquêtes menées par des organisations non gouvernementales ont permis, ces dernières années, de lever le rideau et de se rendre compte que l’implication militaire israélienne touche plus d’endroits d’Afrique qu’on ne peut le dire en un seul article.

Grâce à ces sources, SIPRI a pu montrer qu’Israël a vendu ses principales armes au Cameroun, au Tchad, à la Guinée équatoriale, au Lesotho, au Nigéria, au Rwanda, aux Seychelles, à l’Afrique du Sud et à l’Ouganda, de 2006 à 2010.

Le champion du marché de l’armement

Malgré sa petite taille, cela fait des décennies qu’Israël est classé parmi les 10 premiers exportateurs d’armes du monde, un exploit impressionnant pour une nation de la taille du New Jersey.

Cette réussite tient en partie au fait qu’Israël se sert de la Cisjordanie occupée et de Gaza comme laboratoires pour tester et affiner les armes et les méthodes de domination et de contrôle. Cette dynamique permet aux entreprises militaires israéliennes de commercialiser leurs produits comme des armes « testées au combat » et « qui ont résisté au combat » – des étiquettes convoitées qui lui donnent un avantage concurrentiel dans le commerce international des armes.

Le succès d’Israël s’explique également par son empressement à faire des affaires avec des régimes répressifs que même les États-Unis et les pays européens évitent d’armer directement.

Dans le cas du Sud-Soudan, l’ampleur des atrocités a contraint l’Union européenne à imposer un embargo sur les armes et à prononcer des sanctions contre les dirigeants militaires des pays.

Les États-Unis aussi ont suspendu l’aide militaire et prononcé des sanctions, mais il faut noter que l’administration Obama a aidé avec enthousiasme l’armée sud-soudanaise à se développer, tout en sachant qu’il y avait plusieurs milliers d’enfants soldats dans ses rangs.

Israël, de son côté, a accueilli le Soudan du Sud à une expo d’armes pas plus tard qu’en juin.

Aide au génocide

Fournir secrètement des armes à des régimes meurtriers n’est guère nouveau pour Israël.

Sous la direction de Yitzhak Rabin, alors premier ministre, et Shimon Peres, alors ministre des Affaires étrangères, Israël a fourni les forces gouvernementales rwandaises à dominante hutu ainsi que l’armée rebelle dirigée par Paul Kagame, en balles, fusils et grenades, alors même qu’un génocide était en cours dans ce pays, dans les années 1990.

En plus d’armer les tueurs, Israël a formé les forces militaires et paramilitaires rwandaises dans les années qui ont précédé le bain de sang.

Après avoir visité les champs de la mort, un marchand d’armes israélien se serait félicité d’être un humaniste parce que, grâce à ses balles les victimes étaient mortes plus vite qu’avec les machettes. « Je suis en fait un médecin, » s’est-il vanté.

Depuis, Israël a noué des liens étroits avec Kagame, le président autocratique actuel du Rwanda, qui bénéficie d’un grand soutien en Occident.

Des dépôts d’armes pour les despotes

Comme les contrats d’armement avec les Israéliens diminuent aux Etats-Unis et en Europe en raison de la réduction des budgets de défense, des pays en voie de développement d’Amérique latine et d’Afrique sont devenus les clients les plus dynamiques d’Israël.

Les ventes d’armes israéliennes à l’Afrique ont doublé entre 2012 et 2013 et augmenté encore de 40 % en 2014, atteignant 318 millions de dollars cette année.

Il est difficile de savoir si ces chiffres regroupent à la fois les armes et l’entraînement militaire fourni par Israël à l’Ouganda et peut-être au Rwanda, à titre de compensation pour avoir accepté d’accueillir des réfugiés africains expulsés d’Israël.

Alors qu’Israël n’a aucun scrupule à contribuer au désordre dans les pays africains, il refuse d’accorder l’asile aux Africains sur son sol, préférant les mettre en prison et les renvoyer vers les horreurs auxquelles ils avaient échappé. Certains ont été emprisonnés, torturés et même tués depuis leur expulsion.

Ce qui est clair, c’est qu’Israël traite avec le who is who des régimes africains dictatoriaux qui oppriment brutalement leurs citoyens.

La Brigade d’intervention rapide du Cameroun (BIR), qui se livre à des assassinats extrajudiciaires de routine et se rend coupable de « disparitions », est formée par un commandant de l’armée israélienne à la retraite, Mayer Heretz.

En 2009, la BIR a été déployée pour écraser des manifestations contre l’inégalité économique, et a tué au moins 100 manifestants.

La garde présidentielle du Cameroun connue pour sa brutalité, et sans laquelle le dictateur Paul Biya ne pourrait pas se maintien au pouvoir qu’il occupe depuis 33 ans, a été formée par un autre commandant de l’armée israélienne à la retraite, Avi Sivan.

Prolonger la loi des régimes répressifs en Afrique est une tradition israélienne de longue date.

Israël a équipé le régime d’apartheid d’Afrique du Sud en armes dans les années 1970 et 80 en violation des sanctions internationales.

Sauvegarder la prédation entrepreneuriale

Des décennies de vol et de colonisation de la terre et des ressources palestiniennes ont donné à Israël une expérience unique pour dompter la résistance et s’adonner au pillage colonial.

Comme Jimmy Johnson, un militant spécialisé dans le commerce d’armes israélien, l’a expliqué : « Le nationalisme ethnocentrique du 19ème siècle qui a conduit à la création d’Israël … occulte souvent le fait que la dépossession des Palestiniens inclut un transfert massif de richesse du colonisé vers le colonisateur et de l’occupé vers l’occupant « .

Israël ne se contente pas de livrer des armes à l’Afrique. Il offre un parfait exemple de prédateur néocolonial qui parvient à garder les fruits de cette prédation hors de portée d’une classe moyenne de plus en plus dépossédée par les ravages du capitalisme mondialisé et abandonnée.

L’occupation israélienne est « exportée pour lutter contre la redistribution de richesse », comme l’a noté Johnson.

Juste au sud du Cameroun, les entreprises militaires israéliennes ont engrangé des millions de dollars en vendant du matériel militaire au petit pays riche en pétrole de Guinée équatoriale.

La Guinée équatoriale abrite l’une des sociétés les plus inégalitaires du monde.

Le dictateur impitoyable de l’ancienne colonie espagnole, Teodoro Obiang, s’est lui-même enrichi grâce aux généreux versements des compagnies pétrolières américaines, en échange desquels elles peuvent exploiter les énormes réserves de pétrole du pays sans entrave.

Pour préserver son pouvoir, Obiang entretient une garde présidentielle presque certainement formée par Israël, tout en se reposant sur du matériel israélien perfectionné à Gaza pour protéger les plates-formes pétrolières d’Exxon.

Les forces de sécurité d’Obiang ont la réputation de pratiquer largement la torture et les exécutions sommaires d’opposants politiques.

En 2008, Israël a conclu un contrat d’armement d’environ 100 millions de dollars avec la Guinée équatoriale, qui comprenait l’achat de quatre bateaux de patrouille IMI Shaldag et d’un bateaux lance-missiles de classe Saar, fabriqués par Israel Shipyards. « Les bateaux de l’IMI sont destinés à sécuriser les plates-formes pétrolières en mer », selon le journal israélien Haaretz.

Ce sont les mêmes bateaux que la marine israélienne utilise pour faire respecter le blocus maritime de Gaza et tirer sur ses habitants.

Pendant qu’Israël aide les entreprises américaines de pétrole et la famille Obiang à accumuler de l’argent, 1 enfant sur 10 meurt, en Guinée équatoriale, avant son cinquième anniversaire. En outre, moins de la moitié des citoyens du pays ont accès à l’eau potable.

Dans la province de Cabinda en Angola, l’Aerostar, un drone fabriqué par la société israélienne Aeronautics Defense Systems, protège les plates-formes pétrolières maritimes des entreprises privées, y compris Chevron.

Dans le delta du Niger, un assortiment de drones de surveillance israéliens, comme l’Aerostar et le Seastar d’Aeronautics ainsi que le bateau de patrouille Shaldag d’Israel Shipyards, protègent les plates-formes pétrolières de Chevron contre d’éventuels oppositions au pillage des ressources du Nigeria par les entreprises.

Tout cela en plus du système de surveillance d’Internet installé au Nigeria, en 2013, par le plus grande firme d’armement israélienne, Elbit Systems.

Exporter la « guerre contre le terrorisme »

Avec la montée de Boko Haram, le Nigéria a adopté ces dernières années la « guerre contre le terrorisme », une théorie initiée par Israël pour justifier sa conquête permanente de la Palestine.

« Israël a été un allié crucial et loyal dans notre lutte contre Boko Haram, » aurait dit un fonctionnaire du gouvernement nigérian, au début de l’année.

« C’est une triste réalité qu’Israël a beaucoup d’expérience en ce qui concerne le terrorisme. Nos partenaires israéliens ont utilisé leur expérience, et leur expertise unique acquise au fil d’années de lutte contre le terrorisme au sein de leurs propres frontières, pour nous aider », a ajouté le responsable, en faisant l’amalgame entre la résistance palestinienne à la violence coloniale israélienne et les actes de terrorisme perpétrés par un groupe militant qui n’a rien à voir avec les Palestiniens.

Un militant chrétien nigérian qui soutient pleinement la conduite de son gouvernement, a déclaré au Jerusalem Post : « Je suis comme un colon israélien en Cisjordanie au milieu des Palestiniens. »

Cette attitude a eu des conséquences absolument désastreuses.

Depuis 2012, sous couvert de combattre Boko Haram, l’armée nigériane a exécuté de manière extrajudiciaire 1 200 personnes et arrêté arbitrairement 20 000 garçons et jeunes hommes, dont au moins 7 000 sont morts en détention militaire de famine, de négligence médicale et de surpopulation.

Au Kenya, les escadrons de la mort de l’Unité de service générale, l’aile paramilitaire de la police et de l’armée de ce pays, ont eux aussi adopté le « livret de règles israéliennes » des exécutions extrajudiciaires pour faire taire des religieux musulmans.

Les officiers des escadrons de la mort interrogés par Al Jazeera, l’année dernière, ont révélé queleurs unités étaient formées par Israël.

« Exporter l’expérience du sionisme »

Dans un livre paru en 1987, La connexion israélienne, Benjamin Beit-Hallahmi a décrit le soutien d’Israël aux tyrans des pays en voie de développement comme la « conséquence directe de ce qu’il fait chez lui. »

Selon lui, « Israël ne fait qu’exporter dans le Tiers Monde l’expérience du sionisme au Moyen-Orient, » caractérisé par la conquête et la pacification.

Israël n’exporte « pas seulement une technologie de domination, mais la vision du monde qui sous-tend cette technologie, » at-il ajouté.

Il exporte « la logique de l’oppresseur … un certain état d’esprit, un sentiment que le Tiers Monde peut être contrôlé et dominé, que les mouvements radicaux dans le Tiers-Monde peuvent être éradiqués, que les Croisés modernes ont encore un avenir. »

Voilà exactement ce que fait Israël dans l’Afrique d’aujourd’hui. Nul doute que cela fera couler encore beaucoup de sang.


En savoir plus sur http://reseauinternational.net/les-armes-israeliennes-alimentent-les-atrocites-en-afrique/#tKwYK0AEJ8vJeMFU.99

 

« Des politiques destructrices »

Le rapport « Géopolitique du pays et évaluation du renseignement » rédigé par l’Afrique du Sud en octobre 2009 a accusé Israël de poursuivre « des politiques destructrices » en Afrique, avec notamment :

 

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- La mise en danger de la sécurité de l’approvisionnement de l’eau en Égypte : des scientifiques israéliens, selon le rapport, « ont créé un type de plante qui fleurit sur la surface ou les rives du Nil et qui absorbe ces grandes quantités d’eau pour réduire de manière significative le volume d’eau qui atteint l’Égypte. » Le rapport n’apporte cependant aucune preuve supplémentaire concernant cette affirmation.

 

 

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- Le renforcement de l’insurrection au Soudan : Israël « travaille assidûment à encercler et isoler le Soudan de l’extérieur, » dit le rapport, « et alimente l’insurrection à l’intérieur du Soudan. » Des agents du Mossad ont également « mis en place un système de communication qui sert à la fois à espionner et isoler les télécommunications présidentielles. » Israël a longtemps été en désaccord avec Khartoum, et a soutenu le mouvement sécessionniste qui a finalement rompu et a créé le Sud-Soudan, avec lequel il a des liens diplomatiques. Khartoum continue à accuser les Israéliens d’être responsables des attaques au Soudan.

 

 

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- La subordination des services de renseignement du Kenya : « Dans le cadre de son safari en Afrique centrale, le Mossad avait exposé aux Kenyans les activités d’autres réseaux d’espionnage étrangers ». En retour, dit le rapport, le Kenya lui a accordé la permission d’installer un siège sécurisé à Nairobi et lui a fourni « un accès privilégié aux services de renseignement du Kenya ».

 

 

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- La prolifération des armes : Israël a « contribué à armer certains régimes africains et a aggravé les crises dans d’autres, y compris en Somalie, au Soudan, en Érythrée et en Afrique du Sud », selon le document. Aujourd’hui, il « est à la recherche de nouveaux marchés pour sa gamme d’armes légères » et fournit secrètement des armements à « certains pays, notamment l’Inde », y compris « des armements nucléaires, chimiques, laser et ceux utilisant des technologies de la guerre classique ».

 

 

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- L’appropriation des richesses minérales de l’Afrique : Israël « cherche à s’approprier les diamants africains », révèle le rapport sud-africain, ainsi que « l’uranium, le thorium et autres éléments radioactifs utilisés pour la fabrication du combustible nucléaire ».

 

 

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- La formation de groupes armés : « Des retraités militaires israéliens sont à l’affût de possibilités d’emploi en tant que formateurs de milices africaines, » dit le rapport, « tandis que d’autres membres de la délégation facilitaient des contrats pour que des Israéliens forment diverses milices. »

 

« Un exercice de cynisme »

En 2009, lorsque Lieberman a fait sa tournée officielle en Afrique, le ministère israélien des Affaires étrangères avait publié une déclaration le citant comme disant : « la visite en Afrique est très importante dans le renforcement et l’amélioration de la position d’Israël dans la communauté internationale. »

Mais les analystes de renseignement sud-africains ont une autre interprétation de cette initiative.

« Alors que Liberman [sic] parlait avec les dirigeants africains de la faim, du manque d’eau, la malnutrition et des épidémies affligeant leurs nations, » écrivent-ils, « les promesses de Tel Aviv aux États africains pouvaient être considérées comme un brillant exercice de cynisme. »

Le document d’Afrique du Sud ajoute : « les tentacules militaires, sécuritaires, économiques et politiques d’Israël ont atteint toutes les parties de l’Afrique, derrière une façade philanthropique ». Et il considère que le Premier ministre Benjamin Netanyahu a lancé une offensive diplomatique afin de gagner des amis en Afrique.

Mais l’Afrique du Sud ne peut actuellement être considéré comme faisant partie des amis, si l’on se fie à l’évaluation de l’Agence de la Sécurité d’État. Lieberman a encore contrarié le gouvernement d’Afrique du Sud en novembre 2013 quand il a averti la communauté juive du pays, forte de 70000 personnes, qu’elle faisait face à un « pogrom » et ne pouvait se sauver qu’en immigrant en Israël « immédiatement, sans délai, avant qu’il ne soit trop tard. »

« Le gouvernement d’Afrique du Sud est en train de créer une atmosphère de sentiment anti-israélien et d’antisémitisme, » avait déclaré Lieberman, « qui aboutira à un pogrom contre les juifs dans le pays, et ce n’est qu’une question de temps ».

Le Conseil juif sud-africain avait condamné les propos de Lieberman comme « alarmistes et inflammatoires », et avait noté que les juifs sud-africains enregistraient un taux d’antisémitisme relativement faible.

 

    

L’enquête qui suit met en lumière les dégâts occasionnés par le centre impérialiste du capitalisme et du sionisme sur la périphérie livrée à tous les fléaux ravageurs tels que les guerres ethniques, le pillage des ressources, l’esclavage, la prostitution, la pédohilie, l'alcoolisme la vente de drogue, les massacres et autres calamités tel que dissémination du Choléra de Ebola et du Sida, et où sévit le fanatisme sous ses différents aspects, profitant de la fébrilité sentimentale des populations laissées dans l’ignorance, handicap majeur pour l’épanouissement d’un projet viable de prospérité et de modernité, non seulement pour l’Afrique, mais pour toute la planète. Le personnage-clé de notre enquête, qui représente le centre décisionnel par excellence dans le continent africain, ou l’homme sans qui rien ne peut se faire, est l’Israélien Dan Gertler. Pour la plupart des citoyens du monde, ce nom n’évoque rien. Dotés de pragmatisme et d’une ruse inégalable, les agents de l’entité sioniste sont à la pointe de la domination capitaliste et ne s’embarrassent d’aucun scrupule, étant très loin de nos petits sentiments, qu’ils soient religieux ou idéologiques. Ils nous plongent dans la tourmente de nos échecs dus, entre autres, à notre naïveté indécrottable qui n’a jamais réussi à se transformer pour atteindre un stade de réflexion mature et stratégique. Nous sommes manipulés par ces forces obscures qui connaissent bien nos faiblesses alimentées par notre fibre religieuse et nos différents affects. Deux mondes, deux visions parallèles, cohabitent pour le bonheur de quelques-uns et le malheur de la plupart des autres. Pendant ce temps, les forces sionistes ont mis en place un véritable plan de mise à sac du continent africain et de la planète. Le sioniste Dan Gertler est le pur produit de ce système capitaliste dominateur qui a ravagé l’Afrique et perverti le monde.

Qui est Dan Gertler ?

Son grand-père, Moshe Schnitzer, était appelé «Monsieur Diamant». Arrivé de Roumanie en Israël en 1934, il avait rejoint l’organisation paramilitaire Irgoun, milice sioniste ultranationaliste, qui a commis des actes de terrorisme pour créer l’Etat israélien. Dans les années 1950, Schnitzer a joué un rôle majeur dans le commerce afro-israélien du diamant avec son entreprise Schnitzer-Greenstein. Il a ensuite fondé la bourse du diamant à Tel-Aviv en 1960, qui est devenue l’une des plus grandes bourses mondiales de diamants ; elle a exporté en 2013 plus de 9 milliards de dollars de pierres brutes et polies. Le commerce des bijoux en diamant aux Etats-Unis dépasse les 30 milliards de dollars par an, et 99% de tout ce qui n'est pas synthétique ou artificiel implique les diamants du sang et les syndicats du crime organisé. Israël achète plus de 50% des diamants bruts du monde, et les Etats-Unis acquièrent les deux tiers de ceux-ci. En Israël, les usines de diamant sont situées dans Nethanya, Petah Tikva, Tel-Aviv, Ramat Gan, Jérusalem et d'autres villes à travers le pays, mais la plupart des bureaux sont à Tel-Aviv, dans le quartier financier de Ahad Ha'am Street. Le père de Dan Gertler, Asher Gertler, et son oncle, Shmuel Schnitzer, géraient l'entreprise familiale d'origine. Shmuel est président de la bourse du diamant d’Israël et co-fondateur du Conseil mondial du diamant, cette dernière organisation consacrant plus d'argent pour promouvoir la fausse image de diamants «sans conflit» qu’elle n’en dépense pour aider les peuples spoliés ou brutalisés par l'industrie diamantifère. Dan Gertler, né en 1973, est réputé comme étant un aventurier brutal, peu sociable et très religieux, effectuant régulièrement des pèlerinages auprès du rabbin David Abuhatzeira de Nahariya, au nord d’Israël, dans le but de le consulter et de recevoir sa bénédiction. Notons que l’ancêtre d’origine marocaine de ce rabbin a été l'un des leaders du transfert de la communauté juive marocaine vers Israël. Père de neuf enfants, Gertler est établi en Israël, mais passe le plus clair de son temps en Afrique où il surveille ses nombreux intérêts. Il a fondé le groupe d’entreprises Dan Gertler International (DGI) en 1996. Dès 1997, il était déjà impliqué dans un plan d’achat de diamants au Libéria et en Sierra Leone, en échange d’une formation militaire et de livraisons d'armes. A l’heure actuelle, il possède un réseau complexe d’une multitude de sociétés interconnectées, basées dans des paradis fiscaux et implantées en Afrique, en Inde, en Russie, en Belgique et aux Etats-Unis. Elles sont impliquées dans le commerce du diamant, du cuivre, du cobalt, de l’or, du minerai de fer, du pétrole, dans l’immobilier, l’agriculture, l’huile et la banque, avec leurs corollaires inévitables : l’esclavage, le trafic d’armes et de drogue, l’incitation et le financement des guerres en Afrique, des coups d’Etat, des dictatures et le blanchiment d’argent. Juif ultra-orthodoxe dans une famille plus libérale sur le plan religieux, il a rencontré Joseph Kabila par l'entremise du rabbin de la communauté Habad-Loubavitch de Kinshasa. Devenu ami intime de Joseph Kabila, Gertler était aussi très proche de son ex-conseiller et financier, Augustin Katumba Mwanke, décédé dans un accident d’avion en 2012 dans des circonstances non encore élucidées. Mwanke avait convaincu Kabila de nommer l’Israélien en qualité de consul honoraire du Congo-Kinshasa à Tel-Aviv. Ancien gouverneur du Katanga, Mwanke était aussi directeur d'Anvil Mining Australie, détentrice de 90% des actions de Anvil Mining Congo Sarl qui exploite un gisement de cuivre et d’argent à Dikulushi, dans le district du Haut-Katanga et rachetée en 2011 par Minmetals Resources (Chine). Notons qu’un groupe d'experts de l’ONU réuni en 2002 avait cité Mwanke pour les ventes d'armes illégales et le pillage du Congo : Mwanke négociait l'achat d'armes par des banques belges et la société minière de la RDC, Miba. Mwanke effaçait personnellement 1 000 000 $ par jour à travers ses participations dans Katanga Mining et aurait été à l'origine du retrait au canadien First Quantum de ses actifs de Kolwezi pour les revendre aux sociétés de Dan Gertler.

Un constat effarant

Les activités congolaises de Gertler ont été pilotées par le Belge Pieter Deboutte, entouré de Piyush Shukla et des Congolais Yves Kabongo et Robert Mampuya. Associé avec un autre Israélien controversé, Beny Steinmetz, comme lui fils d'une grande famille diamantaire, Dan Gertler a racheté en 2006 des exploitations de cuivre de Kananga et Tilwezembe, au Katanga, rassemblées au sein de la société Nikanor, qu'ils ont introduite sur le marché alternatif londonien. Les deux hommes d'affaires ont également repris la Banque internationale de crédit (BIC, cinquième établissement de la RDC), avant de la revendre au nigérian First Bank en 2011. Via une autre société immatriculée aux îles Vierges britanniques, Dan Gertler a aussi fait une incursion dans le secteur pétrolier en acquérant les licences d'exploration de deux blocs sur le lac Albert, associé cette fois avec le Sud-Africain Khulubuse Zuma, neveu du président Jacob Zuma. Naturalisé congolais, Gertler, dont la fortune est estimée à 2,2 milliards de dollars selon Forbes, est propriétaire d’une villa luxueuse à Lubumbashi, la capitale du Katanga, grande province du sud du Congo, et offre des repas casher à ses invités. Chaque repas arrive par avion privé de Kinshasa. Le jet d'affaires spécial qui transporte les repas sur quelques centaines de miles coûte au Congo quelque 23 000 dollars par voyage.

 

                                           Or, le revenu moyen des citoyens congolais – quand ils survivent – est d’environ 139 euros (chiffres 2010), 70% de la population souffrant de malnutrition, tandis que de vastes étendues du pays sont toujours sans électricité ni eau courante. Sous la direction des patrons blancs, la terre est volée au peuple congolais, les grèves sont écrasées par les forces des sociétés de sécurité partenaires des entreprises, et les surveillants noirs arrêtent et torturent les voix de l’opposition qui disparaissent systématiquement et sont jetés aux crocodiles. Chacun sait que la CIA, le Mossad, les grandes compagnies minières, les financiers retors et les trafiquants d’armes agissent dans l’ombre sans que les médias occidentaux n’en parlent. Le constat est pourtant effarant. Rien qu’au Congo, 1 500 personnes sont tuées et 1 000 femmes sont violées chaque jour, on compte 2 millions de déplacés, et 5 à 8 millions de personnes ont été massacrées depuis 1996, selon les chiffres de l’IRC (International Rescue Committee) et de l’ONU. Alors que les Africains sont les victimes d’un génocide perpétuel, les massacreurs se cachent derrière l'Histoire et se plaignent d’être les persécutés, prétendant qu'ils sont les sauveurs.
Dan Gertler se plaît d’ailleurs à déclarer qu’il mérite le prix Nobel pour ses œuvres caritatives et continue à offrir des repas casher ramenés de Kinshasa à ses invités, avec la bénédiction du rabbin Chlomo Bentolila, grand prêtre du Chabad de l'Afrique centrale. Rabbi Chlomo Bentolila est le rabbin de Kinshasa depuis 1991 et il a survécu au terrorisme de Mobutu Sese Seko grâce à sa collaboration avec lui. Il est membre de la Chabad Lubavitch, et émissaire du réseau mondial basé à Brooklyn, sa femme Miriam étant la sœur de rabbi Mena'hem Hadad, grand prêtre à Bruxelles. Dan Gertler invite souvent des gens au Congo pour des rituels sacrés juifs, comme pour le bar-mitsva en juin 2005 du fils du rabbin Bentolila, et dont les invités sont venus sur des vols spéciaux d'Israël, de New York et de Bruxelles. La réception a eu lieu dans le luxueux hôtel Memling. Joseph Kabila a envoyé une délégation importante, mais n'y a pas assisté, chargeant ses plus proches conseillers de lui adresser une bénédiction en son nom. Les intérêts israéliens sont préservés en partie grâce à l'appui du Comité de la communauté juive de Kinshasa, étroitement liée avec la structure du pouvoir à Kinshasa en vue d’exercer une influence et d’assurer le contrôle de la paix israélo-anglo-américano-belge et leurs intérêts sur la scène géopolitique. En juin 2007, la communauté israélite de Kinshasa a reçu la visite de l'ambassadeur israélien Yaakov Revah, directeur du département Afrique du ministère israélien des Affaires étrangères. Revah a également voyagé à Lubumbashi pour des réunions avec Dan Gertler et ses agents, y compris Moïse Katumbi Chapwe, le gouverneur du Katanga, où ils ont bénéficié d'une belle réception avec, toujours, le repas casher de 23 000 dollars envoyé de Kinshasa. La communauté israélite de Kinshasa entretient des relations politiques très intimes avec le parti PPRD, le Parti de la République populaire pour la reconstruction et la démocratie, de Joseph Kabila. Le 1er mars 2006, lors d'une cérémonie officielle, le président de la communauté israélite de Kinshasa, Ashlan Piha, a reçu la médaille du Mérite civil du Congo. Dan Gertler est proche de politiciens israéliens, notamment Avigdor Lieberman, chef du parti d’extrême droite Israël Beytenou, et son comparse diamantaire Beny Steinmetz est, quant à lui, un ami d’Ehud Olmert. Ami inséparable de Gertler, Chaim Leibovitz est également très proche de Lieberman, et est un visiteur régulier dans les bureaux du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Steinmetz est considéré comme l'un des milliardaires les plus importants en Israël et est impliqué dans de sombres affaires de corruption et de versements de pots-de-vin notamment en Guinée qui lui valent une enquête extérieure du FBI. Le groupe Steinmetz, qu’il contrôle avec son frère Daniel, est l'un des plus gros clients du syndicat du diamant De Beers. Steinmetz est également impliqué dans un conglomérat israélien de l'immobilier dont les investisseurs sont les milliardaires israéliens David et Simon Reuben, ainsi qu’Olayan Group, une société d'investissement d’Arabie Saoudite très liée à Bechtel Corporation, cette dernière ayant obtenu de manière douteuse les contrats pour la reconstruction de l'infrastructure civile de l'Irak après l’invasion américaine. Parmi les partenaires internationaux du groupe saoudien, on trouve AlphaGraphics, BP Solar, Crédit Suisse, Carrefour, HSBC, JP Morgan, Chase Manhattan, Coca-Cola, Bechtel, Morgan Stanley, Goldman Sachs, Kimberly-Clark, Sama Airlines, Colgate-Palmolive, CS First Boston, Toshiba, Xerox, Burger King, Kraft Foods, Baxter International, Occidental Petroleum, Cardinal Health, Scania AB, etc


En savoir plus sur http://reseauinternational.net/la-politique-israelienne-en-afrique-fomenter-des-guerres-et-saccaparer-les-ressources-naturelles/#BmMvW8rISEwGYtYB.99


En savoir plus sur http://negronews.fr/politique-la-france-complice-de-genocide-en-centrafrique/#OLOkI8Jh7OhYhoxz.99

Les dirigeants de l’armée du Myanmar se sont livrés à une frénésie d’achats auprès des industries israéliennes d’armement. Ils ont même rencontré le président et le chef d’Etat-major israéliens. Malgré les crimes de guerre qui sont commis par ce pays du Sud-Est asiatique, Israël continue à maintenir d’importants liens avec lui dans le domaine dit de la «sécurité».

 

    En Birmanie, jusqu’en 1994, Setraco était représentée par la société locale ABCS (Associated Business Consultancy Service), elle-même représentée par U Aye Zaw Win et suspectée, comme l’ensemble des sociétés liées à la junte, de blanchiment de l’argent de la drogue. Au Vietnam, Pichon a négocié pour, ou a été en contact avec Elf, Total, Bolloré, la CGE, Alcatel, Dassault, GEC-Alsthom, Matra, Thomson... - une liste suggestive. En 1994, il a essayé de vendre à ce pays deux navires de guerre russes, prolongeant le juteux filon du recyclage des armements de l’ex-URSS.

  Résumant ce tableau, le journaliste Francis Christophe a affirmé devant la mission parlementaire d’information sur les entreprises pétrolières : « Une nébuleuse d’entreprises françaises centrée sur la société Brenco a monté un véritable circuit de blanchiment permettant à l’armée birmane d’acquérir des hélicoptères polonais en justifiant de l’origine des fonds par le versement de Total ». Total ayant reconnu avoir versé 15 millions de dollars à son partenaire birman MOGE (Myanmar Oil & Gas Enterprise), les achats du Slorc seront découpés en tranches de quinze millions de dollars : « Une dizaine de ces tranches a été identifiée, dont au moins quatre - soixante millions de dollars - pour la fourniture d’hélicoptères polonais. Le procédé était tellement connu qu’une plaisanterie circulait parmi les intermédiaires opérant à Rangoon [...] : on pouvait (presque) tout vendre au Slorc, à condition que la facture soit un multiple de quinze millions de dollars ».

 

   En Birmanie, la quasi-totalité des hôtels de luxe sont de pures opérations de blanchiment. Michel Roussin s’est rendu au moins quatre fois à Rangoon. Sa société Eiffage a obtenu d’y construire un hôtel Sofitel (enseigne du groupe français Accor), bien que ses coûts soient sans commune mesure avec ceux des entreprises de la région, tout à fait compétentes. Les travaux ont été interrompus, laissant depuis trois ans une vilaine carcasse de 50 mètres de haut. Accor s’est toujours refusé à indiquer l’identité de son partenaire birman. En deux autres mastodontes, le Trader’s et le Shangri-la, il est associé au groupe Kuok, partenaire du “roi de l’opium” Lo Hsing Han . « À la fin d’avril 1997, une délégation du gouvernement birman en exil (issu des élections remportées par la LND en 1990) en visite à Paris, dirigée par le Premier ministre, le Dr Sein Win, s’étonne auprès de ses interlocuteurs au ministère des Affaires étrangères et au Parti socialiste du soutien sans faille apporté au Slorc par une équipe d’anciens membres des services secrets. [...] Il nomme MM. Roussin et Marchiani. Évoquant leur rôle dans les livraisons d’armements au financement lié à la drogue, il demande une clarification sur cette French-Slorc Connection, ses liens avec la compagnie Total et la position du gouvernement français ».

 

    

Total est à nouveau rattrapé par ses liens troubles avec la junte birmane. Dans un rapport publié aujourd’hui, queLibération a pu lire en avant-première, l’ONG américano-thaïlandaise Earth Rights International (ERI) accuse le géant pétrolier français et son partenaire américain Chevron (ex-Unocal) d’être les principaux soutiens financiers de la junte, au pouvoir depuis 1962, ainsi que d’avoir « contribué à un haut niveau de corruption en Birmanie » et de se rendre indirectement complice de « travail forcé et d’exécutions » sur le site du gisement gazier de Yadana, dans le sud du pays (1). Contactée hier par Libération, la direction de Total n’a pas souhaité s’exprimer avant d’avoir lu ce rapport.

Après deux ans d’enquête, ERI révèle que le gisement de Yadana a permis au régime birman d’engranger 4,83 milliards de dollars (3,31 milliards d’euros) entre 2000, début de l’exploitation du site, et 2008. Sur la même période, les enquêteurs avancent que « Total aurait perçu approximativement 483 millions de dollars [331 millions d’euros]et Chevron, 437 millions de dollars [299 millions d’euros] après avoir déduit 30% de taxes imposées par le régime et 10% de coûts de production ».

MANNE. Selon les enquêteurs « 75% des revenus du projet Yadana vont directement au régime militaire ». Loin d’être versée au budget national, cette manne détournée par les généraux « est localisée dans deux grandes banques offshore à Singapour, réputées pour abriter des fonds des gouvernements de la région et des diasporas ». D’après ERI, il s’agit d’une part de la « Overseas Chinese Banking Corporation (OCBC), qui détient la plupart de ces revenus », d’autre part de « DBS Group ». L’OCBC, précise ERI, est « une des plus grandes institutions financières du marché malaiso-singapourien » et DBS group « la plus grande banque du Singapour en terme d’avoirs ».

EarthRights International conclut que « Yadana a été un élément décisif permettant au régime militaire birman d’être financièrement solvable ». Autrement dit, il a pu « à la fois ignorer la pression des gouvernements occidentaux et refuser au peuple birman toute demande démocratique ».

Régime autoritaire doté de solides et croissants moyens financiers, le Conseil d’Etat pour la paix et le développement (nom officiel du régime) a pu agir à sa guise dans la région de Tenasserim où est installé le gisement et le pipeline reliant la mer d’Andaman à la Thaïlande. Là, dans un corridor long de 60 km, vivent près de 50 000 personnes. Total et Chevron ont confié leur sécurité et celle de leurs installations à l’armée birmane. Selon ERI, « au moins 14 bataillons militaires interviennent dans la région pour assurer la sécurité du pipeline ». C’est dans cette zone difficile d’accès qu’Earth Rights International enquête depuis une quinzaine d’années.

 

Donner sa terre sans compensation

Un habitant raconte en 2008 comment les militaires l’ont contraint à donner son terrain pour la construction d’une route près du gazoduc. « L’officier Saw Khun Chow est venu avec un dossier et nous a demandé de signer un papier pour la compensation qu’on était supposé obtenir. L’acte stipulait qu’on « donnait sans contrainte nos terres à l’Etat ». Tous les villageois ont refusé. On en a parlé avec le bureau et on a tous refusé de signer. L’officier a alors sorti son pistolet en disant « Si vous ne signez pas, je vous descends sur le champ ». Alors on a dû signer. »

Les défenseurs des droits humains israéliens déposent une requête officielle auprès de la Cour suprême pour que cette dernière oblige le ministre de la Défense à expliquer pourquoi il ne met pas un terme aux accords commerciaux avec les militaires du Myanmar suite aux rapports concernant des crimes commis contre des citoyens et des minorités ethniques de ce pays, y compris de possibles crimes contre l’humanité.

La requête a été déposée par le procureur Eitay Mack et par une série de militants des droits humains. Elle fournit des précisions sur les crimes qui ont été commis par le régime et continuent à l’être, et apporte notamment des preuves sur liens importants qui ont été établis entre, d’une part, les dirigeants militaires birmans et, d’autre part, des cadres supérieurs du gouvernement et de l’armée israéliens ainsi que des entreprises de sécurité.

Depuis que le Myanmar (également connu sous le nom de Birmanie) a gagné son indépendance de la Grande-Bretagne en 1948, une guerre civile continuelle a été menée dans plusieurs régions du pays. En novembre 2015, la Birmanie a tenu des élections démocratiques, gagnées par Aung San Suu Kyi, lauréate du prix Nobel de la Paix [1].

Cependant le gouvernement ne contrôle réellement ni les forces de sécurité de l’Etat ni les milices privées, qui obéissent encore à la Junte qui contrôlait le pays jusqu’à ces élections. Or ces forces continuent à commettre des crimes contre l’humanité,des crimes de guerre et les violations graves des droits humains partout dans le pays, en particulier contre les minorités ethniques, dont certaines populations ne bénéficient même pas d’un statut de citoyenneté. Elles continuent à perpétrer des crimes de guerre et à violer la loi internationale dans les zones de conflit, en particulier celles de Shan et de Kachin, où des tueries, des arrestations, des tortures et des viols sont commis à grande échelle contre des civils et contre toute personne soupçonnée de soutenir les rebelles.

Ce qui a motivé le dépôt de cette requête actuellement ce sont les actes commis contre la population Rohyngya. La dernière en date des opérations des forces de sécurité en octobre dernier dans l’Etat de Rakkhine a entraîné des tortures, des disparitions et des assassinats de civils. Des femmes et de jeunes filles sont violées et des villages entiers sont incendiés.

Les déclarations par l’ONU et un rapport publié par des chercheurs à Harvard dénoncent les crimes contre l’humanité que commet la Junte dans les régions de Shan et de Kachin. Mais selon le rapport, le gouvernement israélien continue à fournir des armes au régime. Toujours selon ce rapport, le général Maung Aye est, entre autres, responsable de ces crimes.

Maung a visité Israël en septembre 2015. Les dirigeants de la Junte se sont rendus en Israël pour faire un plein d’achats auprès des industries israéliennes de sécurité. A cette occasion ils ont rencontré le président israélien Reuven Rivlin, le chef d’Etat-major de l’armée israélienne et les dirigeants des systèmes de défense. Ils ont même été hébergés dans des bases des forces aériennes et navales israéliennes. Michael Ben Baruch, directeur du département israélien des exportations dans le domaine de la sécurité, a visité Myanmar l’année dernière. Selon la requête d’Eitay Mack, Israël a fourni au Myanmar des fusils d’assaut et un entraînement militaire, l’été dernier.

Au cours de cette visite – cachée aux médias – et dont nous publions ici les premières photos, les chefs de la junte ont admis avoir acheté des navires de patrouille Super Dvora ainsi que des équipements et un entraînement.

En août 2016, Tar Ideal Concept LTD, une entreprise israélienne qui fournit de l’équipement militaire et de l’entraînement, a posté sur son site des photos d’entraînements avec des fusils CornerShot fabriqués en Israël, en annonçant fièrement que ces fusils étaient utilisés par les militaires au Myanmar. Selon le site de l’entreprise, l’ex-chef de la police israélienne, Shlomo Aharonishki fait partie de conseil de direction.

Malgré les rapports confirmant les villages brûlés, les viols et les autres crimes contre l’humanité, le ministre de la Défense israélien a pour l’heure refusé de stopper les exportations de matériel de sécurité en Birmanie et d’annuler les permis d’exportation en question.

Cette situation ne devrait pas nous surprendre. En effet, il se passait des choses similaires lors des génocides au Rwanda et en Bosnie dans les années 1990, et Israël a également coopéré dans l’assassinat de militants de gauche en Argentine et au Chili dans les années 1970. Mack a également déposé une requête exigeant que ces crimes plus anciens et la collaboration israélienne dans ces crimes soient exposés.

Dans le cas de la Birmanie, tout comme dans celui du Soudan du Sud, le ministère de la Défense persiste à poursuivre les exportations. Or ces crimes sont commis en ce moment – et ils peuvent être stoppés. (Article publié sur le site israélien +972; traduction A l’Encontre)

____

[1] «Désormais, ils osent la critiquer. Les musulmans de Birmanie, qui représentent moins de 5% de la population, n’ont plus le même respect pour la lauréate du Prix Nobel de la Paix 1991. «Nous nous demandons pourquoi elle ne fait rien pour nous», s’interroge Mohamed (nom d’emprunt), un jeune musulman de l’ethnie rohingya. Comme 100’000 autres, la plupart apatrides, il vit dans un camp de déplacés depuis les violences religieuses de 2012.

Le 9 octobre 2016, plusieurs groupes d’assaillants non identifiés ont attaqué trois postes frontières de cette région de l’ouest de la Birmanie, adossée au Bangladesh. L’armée a ensuite mené des «opérations de sécurité», tuant plus de 80 suspects. Certains sont morts en détention.

Les militaires sont suspectés de représailles contre la minorité rohingya, longtemps persécutée en Birmanie. L’ONU a affirmé recevoir quotidiennement des accusations de viols et d’exécutions extrajudiciaires dans cette région. Le gouvernement d’Aung San Suu Kyi nie les faits relatés. Il reproche à la presse et aux organisations internationales de colporter des rumeurs. Pourtant, 65’000 Rohingyas ont fui les opérations militaires en trouvant refuge au Bangladesh ces trois derniers mois.

«Nous n’avons pas accès aux régions touchées par les opérations militaires pour évaluer les besoins humanitaires, et y répondre, regrette Pierre Péron, porte-parole de l’Agence pour la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha) à Rangoun. Ce gouvernement est pire que le précédent (celui des anciens militaires) en ce qui concerne l’accès des personnels humanitaires.» Dans le nord de l’Arakan, les cliniques mobiles de santé primaire gérées par les organisations non gouvernementales sont fermées.

L’ONU n’hésite plus à critiquer le gouvernement d’Aung San Suu Kyi pour sa gestion de la crise arakanaise, qualifiée de « «contre-productive» et focalisée sur le «court terme». L’institution estime que les conditions de sécurité très instables dans l’Arakan ne peuvent justifier un blocage presque total de l’aide humanitaire ces trois derniers mois.

Elle a évoqué la possibilité de «crimes contre l’humanité» et demandé à Aung San Suu Kyi de se rendre sur place pour évaluer la situation, ce qu’elle n’a pas fait. Un représentant du Haut-Commissariat aux réfugiés a parlé de «nettoyage ethnique», confirmant les allégations de«meurtres, massacres, viols et pillages». (La Croix, 18 janvier 2017)!

 

« Cette politique est fortement liée à l’oppression et à la dépossession du peuple palestinien par Israël. Les armes utilisées contre les Palestiniens sont vendues comme des armes ‘’testées sur le terrain’’ à certains des pires régimes de la planète. »

Le chef militaire de la Birmanie a justifié vendredi la destruction des villages rohingyas, invoquant une « affaire inachevée » remontant à la Seconde Guerre mondiale.

« Soutien au génocide »

Penny Green, une universitaire qui étudie les crimes de guerre présumés contre les Rohingyas, a déclaré à MEE que de nombreux gouvernements « prêtaient leur soutien au génocide actuel ».

« Il n’est pas du tout surprenant que la dernière escalade en date dans le génocide des Rohingyas par la Birmanie n’ait pas conduit l’État israélien à cesser son approvisionnement en armes à l’armée birmane », a-t-elle observé.

« Le propre bilan du gouvernement israélien en matière de violence et de terreur contre le peuple palestinien à Gaza est une preuve assez claire de son indifférence aux préoccupations éthiques et aux droits de l’homme.

« L’année dernière, a poursuivi Penny Green, qui est directrice de l’Initiative internationale contre les crimes d’État à l’Université Queen Mary de Londres, le gouvernement britannique a dépensé plus de 300 000 livres sterling du contribuable dans la formation de l’armée birmane, et le commandant en chef birman, le général Min Aung Hlaing, a été accueilli par les chefs des armées de l’UE, impatients de s’engager dans la vente d’armes et la formation [de l’armée birmane] », a-t-elle ajouté, citant les chiffres fournis par l’organisation Burma Campaign.

Plus de 60 000 réfugiés rohingyas ont quitté leurs foyers pour fuir les violences de plus en plus intenses dans l’État birman d’Arakan, cherchant refuge au Bangladesh.

Des images satellitaires montrent des dizaines de villages rohingyas incendiés par l’armée birmane.

Le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, a accusé vendredi la Birmanie de commettre un génocide contre les Rohingyas.

Ni le ministère israélien de la Défense ni l’ambassade israélienne au Royaume-Uni n’ont répondu aux demandes de commentaires formulées par MEE.

Birmanie : le marchand d’armes israélien collabore avec la France, le Maroc et la Turquie

INFO PANAMZA. Paris, Rabat et Ankara coopérent avec l'Israélien Tomer Avnon, fournisseur et formateur de l'armée birmane qui accentue aujourd'hui sa répression des musulmans.

Le 07.09.2017 à 14h14

Depuis le 25 août, plus de 160 000 personnes -selon l'ONU- ont fui les violences qui ont éclaté en Birmanie pour se réfugier au Bangladesh. La majorité d'entre eux sont des musulmans rohingyas, minorité persécutée depuis 2012 et rentrée en résistance au mois d'octobre dernier.

 

 

 

 

 

 

 

 

L'armée birmane a depuis lancé une violente incursion dans l'État Rakhine, poussant des dizaines de milliers d'individus sur les routes. Dernier bilan à ce jour selon les militaires : plus de 430 morts rohingyas -qualifiés de "terroristes".

Fournisseur décomplexé de l'armée : l'État d'Israël et, principalement, unecompagnie israélienne dénommée Tar Ideal.

burmaParticularité de son patron Tomer Avnon : il entretient d'excellentes relations avec des officiels de France, du Maroc ou de Turquie !

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